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Études & réflexion

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[Observatoire Ifop /Get it'lab] : La qualité de livraison, critère de taille pour les cyberacheteurs. " Le choix d'internet pour consommer demain ne portera pas sur le prix, mais sur les services associés ", témoigne Hélène Boulet-Supau, directrice générale de Sarenza. Des propos qui abondent dans le sens du 1er Observatoire Ifop /Get it'lab*, mené conjointement par Chronopost, Colizen et Generix Group.

Objectif : zoomer sur les attentes des internautes afin d'améliorer l'expérience e-logistique de demain. Mieux comprendre les abandons de panier, anticiper les attentes en termes de livraison (horaires, lieu de dépôt des colis...) et faire remonter les insatisfactions rencontrées tout au long du parcours d'achat sont à l'origine de la démarche. 19 % de commandes insatisfaites Premier élément de réponse : si les e-consommateurs sont de plus en plus confiants en augmentant leurs nombres d'achats sur la Toile (51% commandent au moins une fois par mois), ils sont aussi de plus en plus exigeants. Première d'entres elles : la date de livraison. " Le client doit être rassuré.

Pierre Gomy, Millward Brown : 'Le consommateur est un relais majeur de la communication des marques'. Pour faire de ses clients des ambassadeurs, il faut jouer sur leur fidélité. Social Rewards permet aux entreprises de faire gagner des points sur leur carte à leurs clients quand ils parlent d'elle sur un site social : Facebook, Twitter... Le but, en faire des ambassadeurs - récompensés - de la marque. Comment inciter à faire de ses clients ses meilleurs ambassadeurs sur les réseaux sociaux ? En les récompensant. L'antienne n'est pas nouvelle. Mais les moyens de le faire, eux, peuvent être plus ou moins incitants. Une solution, défendue par Social Rewards, est de combiner cette présence sur les réseaux avec les programmes de fidélité des entreprises. Etudier le taux de conversion Côté consommateur, il suffit de s'inscrire si l'entreprise à laquelle il est fidèle adhère au système.

Vers les secteurs du divertissement et du produit L'entreprise peut ainsi identifier qui sont les membres les plus militants sur le web et les récompenser en conséquence. L’innovation découle de l’aptitude à partager la connaissance. Dans le but de faciliter l'innovation, il est important d'améliorer les systèmes de partage du savoir.

L'Insa-Strasbourg a mis au point un modèle qui intègre les notions de nouveautés et de contexte dans lesquels les savoirs ont été acquis. Une entreprise peut tirer 75% de son chiffre d’affaire de produits ou de services qui n’existaient pas sur le marché cinq ans auparavant. Autant dire que l’innovation est un élément crucial de la réussite. C’est de ce constat qu’est partie une équipe de chercheurs de l’Insa-Strasbourg pour bâtir un nouveau modèle de partage de savoirs en entreprise (knowledge management), spécifiquement dédié à l’innovation. Ils ont conçu un prototype de logiciel pour tester leur propre approche. Mêler contenu et contexte Des logiciels existants encore trop lourds Cet outil est très différent des logiciel de gestion de connaissances habituels.

Pourquoi donner du feed-back. La reconnaissance silencieuse ne sert à personne. [Gladys Bronwyn Stern] Cet article a été écrit par Marina Barreau, qui a fondé et dirige Caminea, une société de conseils et d’accompagnement de dirigeants d’entreprises, après une carrière riche et diverse, au sein de différentes compagnies dont PagesJaune SA et DG de Mappy. Je la remercie chaleureusement de venir partager avec nous des morceaux de son savoir. J’espère que l’article vous plaira et surtout n’hésitez pas nous le faire savoir en commentaire ou sur les réseaux sociaux ! Pourquoi donner du feed-back ? Quand on pose la question à une personne sur ce qui la motive, on entend souvent : « quand on me félicite, qu’on reconnaît mon travail, que je réussis quelque chose,… ».

Cherchez l’erreur ! En ce qui me concerne j’ai toujours privilégié la stimulation positive qui permet, entre autres, d’être entendu dans le cas d’un feed-back négatif. Et vous, savez-vous donner un feedback riche et pertinent? Le livre blanc sur l’entreprise 2.0. Le livre blanc de l’entreprise 2.0 avec aperçu général. Un livre complet rédigé par des spécialistes issus de diverses disciplines afin d’obtenir une vision globale. J’ai eu l’honneur de rédigé la partie « Personal Branding ».

Voici un aperçu des thèmes traités: Formation, Positionnement dans le SI, Plateformes collaboratives, ROI, Conduite du changement, Relations sociales, Gouvernance et management, Veille, Gestion des connaisances, Storytelling, Social learning, Innovation participative intégrée et responsable, Communautés internes et RSE, BtoB, Personal Branding, Génération Y, Marque employeur, Social CRM, Médias sociaux. Le livre blanc collectif E2.0 Si on parle de « l’entreprise 2.0 » depuis 2006, date à laquelle le terme a été inventé par Andrew McAfee, on peut voir que cette année 2010 marque de nombreux retours d’expérience en France.

Bonne lecture à tous. "aïe" en interne. Ai-je le droit de critiquer mon boss sur le Web? Cas de figure n°1: les discussions sur Facebook sont-elles vraiment privées? Les faits: trois salariés ont été licenciés pour "incitation à la rébellion" et "dénigrement de l'entreprise" après avoir critiqué leur hiérarchie dans une conversation privée sur Facebook. Ils ironisaient sur le réseau social sur leur entrée dans le "club des néfastes". Un quatrième "ami" ayant accès à la conversation a fait une capture d'écran et l'a transférée à sa hiérarchie. Le conseil des Prud'hommes de Boulogne-Billancourt, qui devait se prononcer en délibéré jeudi 20 mai n'a pas réussi à départager les salariés et leur employeur.

Décryptage: "Le code du travail ne dit rien sur ce que l'on a le droit de dire ou non sur les réseaux sociaux. Pour juger ce genre d'affaire, il faut donc arbitrer entre la liberté d'expression dont jouissent tous les salariés dans et à l'extérieur de leur entreprise et l'obligation de loyauté et de discrétion auquel ils sont soumis dans leur contrat de travail. Les salariés veulent être davantage écoutés. Les salariés estiment que les systèmes de communication mis en place dans leur entreprise sont inadaptés. Voilà l'un des enseignements de la 18e édition de l'Observatoire du travail BPI/BVA/L'Express* dont les résultats ont été publiés le 29 mars.

Ils considèrent que la liberté d’exprimer son opinion ne semble plus garantie : - 38 % ont une image négative de leur entreprise quant à la possibilité d’y exprimer son opinion ; - 52 % pensent que lorsqu’on dit ce qu’on pense, on risque d’être mal vu (59 % dans les entreprises de plus de 500 salariés) contre 47 % en 2004. En dépit du foisonnement des nouveaux outils de communication interne, les salariés s’estiment majoritairement mal informés de la politique RH (à 55 %) et des orientations stratégiques (à 53 %) ; de même, ils ne s’estiment pas très bien informés de la vie de l’entreprise ou du service (à respectivement 43 et 44 %). Des processus participatifs qui peinent à se concrétiser en actions.

Quelles solutions face à la “marketing fatigue” ? La « marketing fatigue » touche des consommateurs harcelés et submergés par des messages commerciaux de moins en moins efficaces. Bon nombre de marques multiplient les envois pour compenser la baisse des taux de retour des campagnes d’e-mailing. Comment sortir de ce cercle vicieux ? En créant un cercle vertueux à partir des de données contextuelles et de l’appétit déclaré par le consommateur. La "marketing fatigue" touche des consommateurs harcelés et submergés par des messages commerciaux de moins en moins efficaces Fatal marketing fatigue ? Le terme « marketing fatigue » témoigne parfaitement de la situation actuelle. Faut-il se résigner à taper toujours plus fort et envoyer de plus en plus de messages à des cibles de plus en plus larges et de moins en moins précises ?

Mouloud Dey, Directeur Business Solutions, SAS La réalité n’est peut être pas aussi noire. Quand le client suscite l’interaction 1to1toMany : enfin ? Auteur : Mouloud Dey, Directeur Business Solutions, SAS. Comment les femmes améliorent les performances d'une entreprise ? Mercredi 28 juillet 2010 3 28 /07 /Juil /2010 09:37 Voici une étude de Mc Kinsey qui nous donne quelques éléments de réponse. D'après Mc Kinsey, les sociétés qui ont une forte représentation de femmes dans les fonctions de direction ou dans leurs équipes de management seraient plus performantes sur les aspects organisationnels et financiers.

Cette étude très intéressante ne s'arrête pas aux impacts des femmes en entreprises : elle tire un état des lieux détaillé sur la place et le rapport des femmes au monde du travail. Quelques éléments que je retiens : L'étude Women Matter de Mc Kinsey : Via : Le vide poches Billets en relation : Partager l'article ! InShare Par Julien Bonnel - Publié dans : Société 2. La fin du courage, de Cynthia Fleury. Ce matin, je me fais réveiller par France Inter. Lumineux réveil avec Cynthia Fleury, philosophe, qui vient de publier un livre déplorant "la fin du courage". Interviewée par France Inter, elle démontre combien le courage de défendre ses idées implique la solitude. Dans cet essai philosophique enlevé, Cynthia Fleury rappelle qu’il n’y a pas de courage politique sans courage moral et démontre avec brio comment un retour à l’exemplarité politique est non seulement possible, mais urgent. « J’ai perdu le courage comme on égare ses lunettes.

Aussi stupidement. Cela m’est arrivé alors que je voyais la société dans laquelle je vivais être sans courage. J’ai glissé avec elle. L'important en politique, c'est le COURAGE. La fin du courage: Amazon.fr: Cynthia Fleury. Les avantages & inconvénients d’être perfectionniste dans son travail. LeWeb'10. 16 Lessons on Using Social Media for Business. It's been over 6 months now since I started this blog with the aim of sharing a few ideas, developing my own book content and learning about the social web. As a result, I've learnt a few things along the way that I wanted to share with you so that you can apply them to your business if you are using social media or are thinking about using social media in your business.

Here are the 16 lessons that I've learnt so far: Define your goals to keep you on track — this all has to have a purpose otherwise how will you know what you are doing, where you are going, what you are creating and how you are getting on. We can be everywhere — the internet opens up potential markets across the globe and, so, thinking globally will help you expand your reach. These things I have not learnt in isolation but have learnt from a number of people. What lessons have you learned? Thanks to thiquinho for the image Link to original post Connect: Authored by: Adrian Swinscoe See complete profile. Digital Marketing Agency - Search Engine Optimization, Website Design - Connecticut - DigitalSurgeons.com.

Quinze ans d'Internet, un retour en images. Quel journalisme à l'ère de l'info-buzz ? - novövision. Réseaux sociaux : 10 raisons pour ne pas y être | Outils de l'intelligence collective | Scoop.it. Ce n’est pas vrai que les entreprises doivent impérativement être sur les réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter. Je suis un gestionnaire de communauté depuis de nombreuses années. Je propose l’idée aux entreprises d’avoir une présence soutenue sur les médias sociaux. Il faut être objectif lorsque nous travaillons dans ce domaine. C’est vrai, les Facebooks de ce monde contribuent largement à faire connaître les entreprises et à obtenir un meilleur retour à l’investissement. C’est une des nombreuses façons d’augmenter son revenu à partir du web. Mais ce n’est pas vrai que cette tactique est bonne pour toutes les entreprises. Prendre le virage des réseaux sociaux comporte une part de risque.

Avant de se lever un matin et me dire « aujourd’hui, je mets mon entreprise sur Facebook », il faut voir comment les réseaux sociaux répondront aux besoins de votre entreprise. Le temps à investir Nous travaillons tous très fort et nous avons tous beaucoup de boulot devant nous. Le trafic Oui ! Martin Roll: Iconic brands, story telling, brand myths, brand st. All companies aspire to build brands that eventually get etched in the culture of the society and become cultural icons. But very few companies are able to achieve this iconic status. Contrary to popular perception, iconicity does not happen by chance, but rather has to be carefully planned and executed. A look at some of the most iconic brands in history such as Coca-Cola, Harley Davidson, Giorgio Armani, Apple, Amanresorts and Singapore Airlines reveals some very common characteristics.

All these brands fulfilled three important requirements of being an iconic brand: Create an identity myth: For any brand to attain iconic status, it has to create an identity myth. Every society invariably goes through phases of prosperity and crisis. Involve multiple story tellers: Dissemination of brand information through the many participants of the society is critical for an iconic brand. Weave powerful brand stories: Great brands always have resonating stories that touch the lives of consumers. L'Observatoire Influencia - Brand content: les limites du «one shot» et la force du «génératif»

Publié le 11 janvier 2012 Trop d’opérations de contenus de marque sont sans lendemain avec le risque de n’être que des coups d’épées dans l’eau. Alors comment utiliser l’arsenal de communication au profit de marques denses, riches de sens et cohérentes? Lors du dernier événement du Club Brand Content le 6 décembre 2011, le débat avec le spécialiste international des media, Pascal Somarriba a porté sur la notion de brand content « génératif » et l’idée de constituer un patrimoine de contenus mobilisable à long terme. Pour qu’une opération de brand content soit stratégique, il faut qu’elle s’inscrive dans la durée et donne naissance à de multiples pousses. Macy’s, qui à partir d’une simple fiction «Yes Virginia», a créé un personnage devenu l’icône des fêtes de l’enseigne, illustre parfaitement cette notion.

La marque est un pôle de densité symbolique Sortir de l’opération spéciale unique ou du one shot Beaucoup d’opérations de communication et de brand content fonctionnent en one shot. Ombre numérique - Ethique et TIC. - Blog LeMonde.fr. IDC vient de sortir pour EMC une étude sur l'évolution de la quantité de données numériques sur notre planète, les problèmatique de stockage en particulier. Toujours un peu méfiant puisque l'étude a été commandée par une entreprise proposant des solutions de stockage. Mais comme IDC est un organisme sérieux, cela vaut le coup d'y jeter un oeil. Tout d'abord les prévisions de croissance donnent le tourni. Bien sûr l'urgence est sur les problèmes de CO2 et le GIEC a raison de s'y pencher. Mais jusqu'au pourra-t-on monter sans rencontrer de graves problèmes de pollution par les données ?

Même si on apprend à consacrer de moins en moins d'énergie et de matières premières pour stocker 1 Go, on va bien un jour rencontrer des limites ? Une autre alerte concerne la notion d'ombre numérique. Centralien, Dirigeant de société et Président d'association. Cette entrée a été publiée dans Actualité, société, technologie. Axa_guide_numerique. Web ubiquitaire, Web communautaire et réseaux | internet et intranet. Communication, Langages et Systèmes: Hypomnemata. (Ombre-numerique) Comment entreprendre le virage 2.0 » MediasSociaux. Technology Review: TR10: Reality Mining.

« Le commerce ennuyeux va mourir », Actualités. [Etude] 72% des internautes cherchent une relation privilégiée avec les marques. La stratégie, parent pauvre de la communication digitale des marques B2C ? par jean-marc Buret - Chronique e-Business. Stephane Hugon Sociologie du e-Commerce. Surestimation des habitudes d'achat des jeunes adultes. Panorama des outils de fidélisation pour e-marchands. Les marketeurs ont tout intérêt à favoriser les stratégies indirectes. Exporter ses flux produits. Les performances des sites de courses en ligne. Le dialogue social 2.0 : une nouvelle approche du dialogue dans l'entreprise?