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La régulation de l’économie collaborative en question. En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu'il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d'être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d'amendes !

En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d'appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. Des lois plus restrictives existent encore à San Francisco ou à la Nouvelle-Orléans, mais également à Paris ou Londres. Et il existe des règlementations à suivre pour devenir maison d'hôte ou Bed & Breakfast. L'économie collaborative dans la tourmente L'économie collaborative, ce nouveau perturbateur ! Hubert Guillaud. La régulation de l’économie collaborative en question. Pourquoi la sharing economy va bouleverser les modèles ? A la veille de LeWeb London 13, Altimeter Group dévoile ses prédictions sur le futur de la sharing economy.

Selon une étude réalisée par Altimeter Group, la sharing economy est sur le point de transformer le monde. Si elle n'est pour l'instant que balbutiante et non quantifiable, l'institut d'étude note l'existence d'un échantillon de 200 start-up qui ont reçu 2 milliards de dollars de financements en capital-risque depuis leur création. Un support financier, qui couplé à l'accès à la propriété de masse proposée par ces sociétés, et la capacité de leurs modèles à permettre la monétisation de produits inutilisés, leur promet un bel avenir.

Mais au-delà des facteurs économiques, d'autres, plus sociétaux, contribuent à l'essor de cette troisième vague du Web caractérisée par l'émergence des communautés. L'accroissement de la population d'internautes et la montée des valeurs propres au développement durable sont également des tendances qui confortent ces modèles. Tous les secteurs impactés... Consommation collaborative. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1].

Origines[modifier | modifier le code] Le terme avait été introduit par Ray Algar dans la revue Leisure Report d'avril 2007. Consommer en garde partagée. Bienvenue dans l’économie du partage ! La crise et Internet ont donné naissance à un nouveau citoyen consommateur qui tente d’échapper aux circuits marchands traditionnels pour privilégier l’échange direct de biens et de services. Il ne se contente plus de chercher la meilleure promo low-cost sur les comparateurs de prix. Par conviction ou nécessité, il préfère la location temporaire d’une voiture, d’une perceuse ou d’une machine à laver, en fonction de ses besoins, à un achat coûteux et définitif qui passe le plus souvent par la case crédit. Son mantra n’est plus la propriété, mais la location à l’usage. Lave-linge. Anticapitalistes ? Difficilement mesurable, le phénomène commence à compter, en France comme ailleurs.

«Rendez-vous». Mais confier son auto à un inconnu ne va pas sans risque. Sur Covoiturage, né en 2006, aujourd’hui la plus développée de ces start-up, le service était au départ gratuit pour le grand public. Emplois. Illustrations: Anne-Lise Boutin.