background preloader

P7 : Fiabilisation information Comptable

Facebook Twitter

Obligations en matière de protection des données personnelles - professionnels. Obligation générale de sécurité et de confidentialité Le responsable du traitement des données doit mettre en œuvre les mesures de sécurité des locaux et des systèmes d'information pour empêcher que les fichiers soient déformés, endommagés ou que des tiers non autorisés y aient accès.

Obligations en matière de protection des données personnelles - professionnels

Il doit prendre toutes les mesures nécessaires au respect de la protection des données personnelles dès la conception du produit ou du service. Ainsi, il est tenu de limiter la quantité de données traitée dès le départ (principe dit de « minimisation ») et doit démontrer cette conformité à tout moment. Obligations du responsable de traitement - Fil d’actualité du Service Informatique et libertés du CNRS. (voir l’article 32 de la loi "Informatique et libertés") Le responsable d’un traitement de données personnelles doit toujours veiller à : 1.

Obligations du responsable de traitement - Fil d’actualité du Service Informatique et libertés du CNRS

Recueillir le consentement de la personne avant d’utiliser une information qui l’identifie Les données que vous traitez doivent être exactes, complètes et mises à jour. Sauf dérogations, vous ne pouvez pas collecter des données sensibles (origines raciales ou ethniques, opinions politiques, philosophiques ou religieuses, appartenance syndicale, données relatives à la vie sexuelles ou à la santé). cf rubrique correspondante. La veille, une approche globale et stratégique.

Selon BADOT et COVA [1], le pouvoir s’est déplacé, glissant de l’accès des matières premières à l’accès aux sources d’information et à l’information.

La veille, une approche globale et stratégique

Cette nouvelle nécessité explique donc que l’une des conditions de survie de la firme est la veille quelle que soit son domaine d’étude. Pour BURGAUD, la veille est « une gestion de l’information qui se développe sur deux axes : spéculatif (recherche et recueil de l’information) et projectif (évaluation et projection des résultats éventuels) et qui concerne l’ensemble de l’entreprise aussi bien les fonctions technologiques que financières et commerciales. » L’AFNOR (norme XP X50-053, avril 1988) présente la veille comme une activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance de l’environnement technologique, commercial…pour anticiper les évolutions.

Historiquement ce sont les grands groupes industriels qui ont été les premiers à mettre en œuvre une démarche de veille. 1. 4 étapes pour établir une veille informationnelle efficace. Que vous soyez une entreprise (PME, TPE,…), une association, une marque ou encore un indépendant, réaliser une veille concurrentielle et informationnelle sur le Web se révèle être une stratégie plus que vitale.

4 étapes pour établir une veille informationnelle efficace

Afin qu’elle soit la plus efficace possible, 4 étapes seront nécessaires et quelques outils vous seront indispensables. Qu’elle soit concurrentielle, informationnelle ou encore d’e-réputation, la veille est une pratique devenue incontournable. Elle vous permet de soigner l’image de marque de votre structure, de savoir ce que les internautes disent à propos d’elle et prendre connaissance de l’avis des consommateurs concernant vos produits/services. Focus sur la construction d’un environnement de veille informationnelle, en seulement 4 étapes. Pour chacune, un ou plusieurs outils vous seront donnés. Établir votre stratégie / ciblage La première étape est déterminante puisque c’est elle qui conditionne l’efficacité des actions que vous allez ensuite mener. Recherche d'informations. Utilisation d'Internet à des fins personnelles au travail : un flou juridique. Les salariés français passent un mois à surfer sur Internet au bureau, sans motif professionnel, selon une étude publiée par Olfeo.

Utilisation d'Internet à des fins personnelles au travail : un flou juridique

Le Figaro fait le point sur ce que peut faire le salarié au travail. Consulter son profil Facebook, les petites annonces sur Le Bon Coin, regarder une vidéo sur Youtube... Les salariés français surfent de plus en plus sur Internet à des fins personnelles, selon une étude publiée ce jeudi, par la société Olfeo. Ils y consacrent en effet 1h15 par jour, ce qui représente un mois par an. Une pratique qui induit une baisse de la productivité de 17,6%, à en croire l'éditeur de logiciels de filtrage du net. L'utilisation d'internet à usage personnel est généralement tolérée au sein de l'entreprise, par le biais d'une charte informatique, qui n'est généralement pas très précise, même si «la grande majorité des entreprises en ont rédigé une», explique Virgine Devos, avocate associée chez August & Debouzy.

L’utilisation intensive d’internet par un salarié peut justifier son licenciement pour faute grave. Le 18 décembre 2013, la Cour de cassation a validé le licenciement d’un salarié n’ayant pas respecté l’interdiction faite par le règlement intérieur de son employeur de se connecter sur internet à des fins personnelles.

L’utilisation intensive d’internet par un salarié peut justifier son licenciement pour faute grave

(Cass. Soc., 18 décembre 2013, N° de pourvoi: 12-17832) Dans un contexte où internet est de plus en plus nécessaire, voire indispensable, pour l’exercice d’une activité professionnelle, les entreprises mettent généralement à la disposition de leurs salariés un ordinateur permettant notamment de se connecter à internet. Mais pour certains salariés disposant d’un poste de travail informatique connecté à internet, le réseau représente surtout une opportunité pour s’évader quelques instants des contraintes du monde du travail ou de "tuer le temps". Or, ces "escapades numériques" peuvent altérer la qualité du travail des salariés, affecter la productivité de l’entreprise ou compromettre la sécurité du réseau informatique de cette dernière.