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Racisme

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Chimamanda Ngozi Adichie: The danger of a single story. Pinterest. Don't Mess Up When You Dress Up: Cultural Appropriation and Costumes. I don't think the author was suggesting that ALL white people think that Dia de los Muertos is "Mexican Halloween," but a large number do.

Don't Mess Up When You Dress Up: Cultural Appropriation and Costumes

Not everyone grew up in L.A. surrounded by first- and second-generation Mexican and Central American friends, like you did. But I think it's really, really important to keep this in mind: ... "but is also an act of appropriation in which someone who does not experience that oppression is able to "play," temporarily, an "exotic" other, without experience any of the daily discriminations faced by other cultures. " [from the first paragraph.] Yes, you grew up in L.A., surrounded by Mexican/Central American culture. I'm not telling you not to celebrate Dia De Los Muertos, and I don't think that's what the author is saying, either. And I have to agree with ayiman, as well. Anastasia (1997) : La révolution russe pour les nul-le-s. Lorsqu’ Anastasia est sorti en 1997, nombreux sont ceux qui ont cru qu’il s’agissait d’un film des studios Disney, bien qu’il s’agisse en fait d’un film de Don Bluth et Gary Goldman pour la Fox Animation Studio.

Anastasia (1997) : La révolution russe pour les nul-le-s

En y réfléchissant bien, il est finalement logique que la majorité des gens aient pu prendre Anastasia pour un Disney, car le film reprend un certain nombre de « ficelles Disney » au niveau des personnages et du graphisme. Un plagiat Disney ? Une (belle) princesse : Un (beau et viril) jeune homme ambitieux (qui tombe amoureux de la princesse) : Un méchant (moche) longiligne et dévirilisé : Cherchez l’intrus… et des petits animaux mignons… ou rigolos… En bref, Anastasia reprend les stéréotypes et les graphismes de Disney avec tout ce que cela implique de politiquement nauséabond. On retrouve également les mêmes normes spécistes que chez Disney, où les petits animaux mignons ou rigolos n’existent que pour le plaisir/service des humains.

Une vision déformée de l’histoire La populace… Pocahontas (1995) : être femme et indienne chez Disney. Pocahontas et Mulan, sortis respectivement en 1995 et 1998, sont souvent décrits comme une tentative de la part de Disney de réagir aux accusations de racisme, notamment dans Aladdin et Le Roi Lion, et de sexisme, notamment dans La Petite Sirène et La Belle et Le Bête.

Pocahontas (1995) : être femme et indienne chez Disney

Tous deux des succès commerciaux, ils ont pour personnage principal une femme, et qui plus est une femme qui vient d’une autre culture de la nôtre. En ce sens, ces films sont inédits chez Disney. Ils ont aussi en commun le fait de s’appuyer sur des personnages historiques. On dit bien « s’appuyer sur » plus qu’autre chose, car nous verrons que les accusations, surtout pour le film Pocahontas, de distorsions systématiques et de relecture de l’histoire ne manquent pas.

Ces deux films sont une tentative de la part de Disney de sortir des personnages féminins stéréotypés et de montrer des femmes fortes, qui poursuivent leur propre voie et sont indépendantes des hommes. Essayons de voir si ça a marché. Aladdin : Disney au pays des barbares. Aladdin est un des plus grand succès de Disney, et mérite donc qu’on s’y attarde assez longuement.

Aladdin : Disney au pays des barbares

Racisme et orientalisme: un cocktail signé Disney Le film s’ouvre sur une chanson (Arabian Nights) que Disney s’est vu obligé de modifier car la Ligue Arabo-Américaine Contre les Discriminations s’est plainte (plusieurs fois, et sur plusieurs mois) que celle-ci était raciste. Spécifiquement, les paroles qui posaient le plus problème étaient « Where they cut off you ear if they don’t like your face, It’s barbaric but hey, it’s home ».

Ces paroles n’étaient pas la seule chose que La Ligue avait remarquée. Elle avait remarqué que le héros de l’histoire avait un physique étrangement européen alors que le méchant de l’histoire, et même tous les méchants de l’histoire, ont des visages arabes. Cherchez l’intrus… Aladdin est truffé de stéréotypes et de clichés sur le monde arabe, et ce dès le tout début du film. Sortir du stéréotype avec Disney On n’est pas du même monde nous deux…bin pourtant si Liam.