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Partiel presse

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WIKILEAKS - Vit-on la première guerre de l'information ?, actualité Tech & Net : Le Point. "Operation : Payback" (représailles). Les hackers n'ont pas peur du grand spectacle. Au contraire. Alors que les dernières révélations de WikiLeaks éclaboussent les gouvernements aux quatre coins du monde, une véritable cyberguerre fait rage.

Anti-Assange et pro-Assange s'affrontent. Derrière cette opération "Payback", on trouve le groupe Anonymous (anonymes), des internautes, dont l'objectif est de "venger Julian Assange". Bien d'autres groupes pro-Assange s'activent sur la Toile. Surcharges de requêtes Cette cyberguerre a commencé quelques heures avant la publication des câbles américains par WikiLeaks, le 28 novembre. La guerre se déplace alors sur un autre terrain, celui de la politique. "Qui est terrorisé ? " "La première guerre de l'information a commencé. Éric Besson, ministre de l'Industrie et de l'Immigration, a demandé à ses services de trouver un moyen de faire fermer l'hébergement d'un site "intolérable". WikiLeaks : une guerre technologique.

Wikileaks : les soutiens s'activent, les dissidents aussi. Wikileaks : Anonymous, après l'opération "Payback", opération "Paperstorm" WikiLeaks: des pirates informatiques lancent une campagne d'affichage. Des pirates informatiques du groupe "Anonymous", déjà à l'origine d'attaques contre Visa et Mastercard, ont promis de lancer samedi une campagne d'affichage en soutien au fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, menacé de poursuites en Suède. "Operation Paperstorm" (Opération tempête de papiers) appelle les partisans de WikiLeaks à "imprimer un logo, un manifeste ou tout ce qui est visible ou fort" puis à l'afficher samedi dans les stations-service, les métros ou tout autre lieu public, explique un message diffusé sur le site twitter "AnonOps communications", utilisé par des pirates d'Anonymous.

"Il est temps de les frapper dans leur monde. Diffuser l'information à tous, dans tous les endroits", peut-on lire sur le message, qui présente également une vidéo montrant des affichettes sortant d'une imprimante d'ordinateur. Les feuilles de format A4 montrent un grand "Truth will out" ("La vérité sortira") écrit sur une photo de Julian Assange. Anonymous en soutien à Wikileaks, cyberguerre et attaques DDoS. La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre par Olivier Tesquet Depuis hier , les Anonymous ont lancé une vaste campagne d’attaques contre les organismes qui ont décidé de fermer les vannes d’approvisionnement de WikiLeaks.

Ce cortège hétéroclite d’internautes partisans de l’action – en ligne – directe, rendu célèbre par son combat contre l’Église de Scientologie en 2008, est entré dans une nouvelle phase de l’”Operation Payback” (littéralement, “Opération Riposte”), entamée il y a quelques semaines pour lutter contre les ayatollahs du copyright. A en croire certains, on serait entrés de plain-pied dans la première “infowar”, un cas concret de guerre de l’information généralisée1). Si on déroule le fil des événements, il faut bien reconnaître le climat d’extrême tension, marqué par une escalade de la violence qui, faute d’être physique, est moralement symbolique (en plus d’être juridiquement inquiétante).

Il est pour l’instant relativement mineur. Les attaques DDoS, légitimes? Affaire Wikileaks : les Anonymous veulent spammer les fax. [MàJ] Opération Payback : Anonymous attaque à tout-va. Le groupe Anonymous avait récemment fait parler de lui via son opération Payback pour soutenir les co-fondateurs de The Pirate Bay après leur procès en appel perdu. Par le biais d'attaques par déni de service, la vengeance d'Anonymous se tourne maintenant vers des sites comme ceux de PayPal, MasterCard ou encore Visa afin d'afficher un soutien à WikiLeaks. À un moment donné ou un autre, ces services financiers ont pris des dispositions pour bloquer les moyens utilisés par WikiLeaks afin de recevoir des dons par exemple ( PayPal est revenu sur sa décision ).

C'est en représailles que le groupe Anonymous a déclenché son action. Comme ces attaques informatiques interviennent en période de fin d'année, elles sont loin de passer inaperçues. Plusieurs vendeurs dans le monde se sont plaints de problèmes lors de transactions en ligne. WikiLeaks garde une position relativement distante par rapport à ces attaques. Sur son blog, PandaLabs suit l'évolution de la situation. Wikileaks : Qui attaque, qui déserte, qui soutient ?

Alors que Julian Assange s’est rendu à la police britannique, une guerre de tranchée s’organise sur le web et l’ensemble des sites dont les services sont utilisés par l’organisation sont amenés par le monde politique à se positionner. Entre ceux qui lâchent l’organisation et ceux qui lui apportent leur soutien, il n’est pas toujours simple de connaître les forces en présence dans ce qu’il convient d’appeler la première “Info War” entre les gouvernements et des nouveaux acteurs non-institutionnels, aidés par les nouvelles technologies qu’ils maîtrisent parfaitement.

Cette guerre de l’info est à replacer dans le contexte d’une régulation renforcée de l’internet que désire opérer une partie des gouvernements occidentaux depuis quelques années. Ceux qui restent Il fallait s’y attendre, le groupe Anonymous, proche du forum libertaire 4Chan, a manifesté spontanément son soutien à l’organisation. De manière plus large, c’est toute une partie du web militant qui se mobilise derrière WikiLeaks. #ens_id=1450400. WikiLeaks : LOIC, l'outil clé en main de l'"Opération riposte" Attaques contre le blog du service de paiement en ligne, PayPal, ou contre les sites de Visa et MasterCard. Pour protester contre le gel des comptes de WikiLeaks, des pirates informatiques ont lancé une "Opération riposte" sur le Web. Certaines de ces attaques semblent avoir été facilitées par un nouveau logiciel, mis à disposition par un groupe de pirates se faisant appeler Anonymous.

Baptisé LOIC (Low Orbit Ion Cannon), en référence au film La Guerre des étoiles, le programme, dont la première version était disponible dès la fin 2009 en téléchargement, est pensé comme un outil, clé en main, permettant de participer à une cyber-attaque, sans la moindre compétence informatique. Dans l'interface du programme, l'utilisateur n'a qu'à indiquer l'adresse URL "cible" du site Web qu'il compte attaquer.

LOIC est même disponible sur toutes les plates-formes informatiques, qu'il s'agisse de Windows, de Mac ou de Linux. “Opération riposte” ouverte à tous ! l’Infowar est lancé ! A l’heure où j’écris ces mots, l’info est en train de se diffuser comme une traînée de poudre. Ces dernières heures, l’équipe d’Anonymous a lancé une vaste contre-attaque nommé “Operation riposte” contre les principales entreprises qui ont coupé leurs services à Wikileaks dernièrement ; Visa, Mastercard, Paypal, tous ces services ont subi des ralentissement majeurs sinon des impossibilités pour se connecter dessus. Il se trouve que l’objet de cette contre-attaque est le soutien à Wikileaks et son fondateur Julian Assange, actuellement incarcéré à Londres. Comment l’attaque a lieu ? Voici un extrait de l’article du Monde qui évoque ce qui se passe actuellement : “…Pour faire aboutir des attaques de “déni de service” (DDOS), qui visent à saturer de requêtes les serveurs des sites visés par l’attaque, les pirates informatiques utilisent un “serveur maître” commandant à des “réseaux de robots” (“botnets”) parfois composés de centaines de millions d’ordinateurs.

En savoir plus… BBC, Gizmodo. WikiLeaks : le groupe Anonymous change de stratégie. Ils continuent leur guérilla sur le web pour défendre WikiLeaks et son fondateur, mais changent de méthode. Une partie des activistes se réclamant du groupe Anonymous a lancé une nouvelle campagne de soutien, l’opération Leakspin. Ils invitent les internautes à réaliser des publications à partir des informations publiées par le site de Julian Assange.L’objectif : leur donner encore plus de retentissement. Voir notre page spéciale WikiLeaks Finies les cyber-attaques contre les entreprises jugées hostiles à WikiLeaks. Certains manifestants du web se sont aussi fait entendre dans le monde réel, comme le weekend dernier, à Madrid, devant l’ambassade de Grande-Bretagne.

Pour beaucoup, les efforts menés pour empêcher les révélations du site s’apparentent à de la censure. WikiLeaks affirme que son but est de révéler les fausses vérités et que le site n’a rien à voir les menaces grandissantes de cyber-attaques. Les initiatives pour défendre WikiLeaks sont légion sur la toile. Les initiatives de soutien à Wikileaks se multiplient en ligne. Les Anonymous entrent "en guerre" aux côtés de WikiLeaks - Vu sur le web.