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Anonymous, quel impact pour Wikileaks? Alors que le collectif de hackers a lancé une vague de cyber-attaques contre des sociétés ayant lâché Wikileaks, le gouvernement américain n'a toujours pas pris une position claire sur le sujet. Le chapitre actuel de la saga WikiLeaks m'aura finalement forcé à sortir de ma semi-retraite de blogging! Alors que je cherche toujours à comprendre ce qu'il s'est passé ces dix derniers jours, voici quelques analyses sur Anonymous et les défis auxquels doit faire face un gouvernement Obama qui cherche en ce moment-même une réponse adéquate à WikiLeaks. L'impact de la récente vague de cyber-attaques lancée par les Anonymous à l'encontre des quelques sociétés qui ont évincé WikiLeaks de leur liste de clients –Amazon, EveryDNS, MasterCard, Visa et autres– est difficile à mesurer. Je ne pense pas que ces attaques vont pousser ces entreprises à réexaminer leur position, faire la paix avec WikiLeaks et leur offrir des bons de réduction pour compenser.

Illégalité? Le silence de WikiLeaks Evgeny Morozov. WikiLeaks : les Anonymous veulent redorer leur blason avec l'opération Leakspin. WikiLeaks et Anonymous: vengeance masquée | Nicolas Bérubé | Fuites de WikiLeaks. L'arrestation de Julian Assange a déclenché une vague d'attaques virtuelles qui a temporairement perturbé les sites de Visa, MasterCard et PayPal, la semaine dernière. Cette guérilla web est menée par un groupe composé de centaines d'internautes appelé Anonymous, une sorte de nuée sans chef qui décide spontanément de causer du tort à une organisation jugée fautive.

Jusqu'ici, le tableau de chasse d'Anonymous reste plutôt maigre: les actions symboliques des pirates informatiques visaient les sites des entreprises et n'ont pas affecté les transactions. Le chercheur et spécialiste du Net, Evgeny Morozov, a écrit dans Foreign Policy que ces manifestations virtuelles s'apparentaient davantage à une occupation qu'à une attaque destructrice contre un ennemi donné. «Comme le sit-in, cette technique vise à déranger brièvement un service ou une institution dans le but de faire valoir un point de vue. Pas très sophistiqué Or, ces gestes ne sont pas très sophistiqués, selon les experts. [MAJ] La guerre de l’information n’est pas la cyberguerre » Article » OWNI, Digital Journalism. En prenant activement la défense de WikiLeaks, les Anonymous ont-ils franchi un cap supplémentaire dans la guerre de l'information?

Le vocabulaire mérite d'être précisé. MAJ du lundi 13 décembre: Après l’opération Payback, les Anonymous ont décidé de lancer l’opération Leakspin, augmentant les attaques par déni de service distribué d’une vaste enquête contributive. Pour résumer, ils souhaitent se concentrer sur les mémos diplomatiques déjà publiés par WikiLeaks pour mettre au jour des informations qui n’auraient pas été révélées par les médias. Mais les soucis techniques des uns et des autres ne se sont pas arrêtés pour autant. Quelques minutes plus tard, Gawker était également attaqué. [DDOSWAR NOW!] Depuis hier , les Anonymous ont lancé une vaste campagne d’attaques contre les organismes qui ont décidé de fermer les vannes d’approvisionnement de WikiLeaks.

Pour le Guardian, jeudi 9 décembre est “le jour où la cyberguerre a été déclarée”. Il est pour l’instant relativement mineur. WikiLeaks : une temp?te de papier pour demain. Des hackers anonymes veulent attaquer les anti-Wikileaks. WikiLeaks : le groupe Anonymous change de stratégie. Ils continuent leur guérilla sur le web pour défendre WikiLeaks et son fondateur, mais changent de méthode.

Une partie des activistes se réclamant du groupe Anonymous a lancé une nouvelle campagne de soutien, l’opération Leakspin. Ils invitent les internautes à réaliser des publications à partir des informations publiées par le site de Julian Assange.L’objectif : leur donner encore plus de retentissement. Voir notre page spéciale WikiLeaks Finies les cyber-attaques contre les entreprises jugées hostiles à WikiLeaks.

La semaine dernière, l’opération Pay back avait temporairement perturbé les sites de Visa, MasterCard et PayPal, mais les transactions n’avaient pas été affectées. Certains manifestants du web se sont aussi fait entendre dans le monde réel, comme le weekend dernier, à Madrid, devant l’ambassade de Grande-Bretagne. Environ deux cents personnes sont venues dénoncer l’arrestation de Julian Assange. Les initiatives pour défendre WikiLeaks sont légion sur la toile. 14 décembre: Anonymous, WikiLeaks, la censure? : Le blog des blogs de la Tribune de Genève.

C'est la dose qui fait le poison. La démocratie peut être pervertie par des manoeuvriers politiques - c'est le propos de la perspective que je publie ce matin dans la Tribune. La liberté d'expression peut être remise en cause par ceux qui en abusent pour dénigrer ou insulter. La neutralité d'Internet et la totale libre circulation des informations sur le réseau finiront par être contrôlées par les Etats, comme les frontières genevoises dans l'espoir de mettre fin aux activités des malfrats et des malwares, sinon de les entraver. Celian Hirsch et Paolo Gilardi ont relancé leur blog à propos de WikiLeaks et de son ange gardien. On se réjouit de les retrouver régulièrement dans blog.tdg.ch. Le jeune libéral a publié hier soir un billet intitulé: WikiLeaks ou la censure? Le militant de la gauche anticapitaliste écrit "Avec Julian Assange". WikiLeaks ou la censure? Avec Julian Assange par Paolo Gilardi (...)

Dis Papa , pourquoi Maman , elle te tape ... par John Goetelen Il s’agit d’un récit. WikiLeaks, Anonymous, WikiLeaks. Il est poursuivi, menacé, détenu, mais une partie de son royaume est toujours intact. Alors que Julian Assange, arrêté à Londres le 7 décembre, lutte pour ne pas être extradé d’Angleterre, ce bunker continue d’abriter certains serveurs de WikiLeaks. Situé dans un quartier branché de Stockholm, ce centre baptisé « Pionen » (la pivoine) a été construit en 1943, puis renforcé pendant la guerre froide, pour résister à toutes les attaques, y compris nucléaires... Pendant ce temps,Leur technique : bombarder de connexions les sites d’entreprises ou d’organisations ­accusées d’avoir trahi WikiLeaks, jusqu’à les rendre momentanément inaccessibles.

Une pratique illégale, mais relativement simple pour qui dispose des logiciels adéquats. Le nom de code de ce champ de bataille virtuel est « Operation Payback » : opération vengeance. C’est un homme à la voix grave et posée, qui ne veut pas donner son nom. L’homme, que nous nommerons John, refuse de parler sur un téléphone « classique ». WIKILEAKS - Vit-on la première guerre de l'information ?, actualité Tech & Net : Le Point.

"Operation : Payback" (représailles). Les hackers n'ont pas peur du grand spectacle. Au contraire. Alors que les dernières révélations de WikiLeaks éclaboussent les gouvernements aux quatre coins du monde, une véritable cyberguerre fait rage. Anti-Assange et pro-Assange s'affrontent. Derrière cette opération "Payback", on trouve le groupe Anonymous (anonymes), des internautes, dont l'objectif est de "venger Julian Assange". Connus pour d'autres faits d'armes, notamment via le très controversé forum 4chan, ils ont fait tomber les sites de Paypal, de Visa, de Mastercard et de PostFinance. Autant d'attaques qui, pour Anonymous, sont des réponses aux tentatives de destruction de WikiLeaks. Bien d'autres groupes pro-Assange s'activent sur la Toile.

Surcharges de requêtes Cette cyberguerre a commencé quelques heures avant la publication des câbles américains par WikiLeaks, le 28 novembre. La guerre se déplace alors sur un autre terrain, celui de la politique. "Qui est terrorisé ? " Video WikiLeaks : le nouvel appel des Anonymous. «Les Anonymous vont s'en prendre à tous ceux qui ont entravé l'activité de WikiLeaks»