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Carte des enfers. Résumé de La mort du roi Tsongor - La mort du roi Tsongor. La Mort du roi Tsongor est l’œuvre épique et tragique de Laurent Gaudé.

Résumé de La mort du roi Tsongor - La mort du roi Tsongor

Le roman publié en août 2002 aux Éditions Actes Sud, a obtenu le prix Goncourt des lycéens cette année-là et le prix des libraires, l’année suivante. L’histoire se déroule dans une Afrique ancestrale et imaginaire. Le vieux roi Tsongor, souverain de l’immense empire de Massaba, se prépare à marier sa fille. Résumé de La mort du roi Tsongor - La mort du roi Tsongor. Catabase. Orphée. Si la plupart des auteurs antiques s'accordent sur l'existence historique d'Orphée[3], pour Aristote, Orphée n'a jamais été poète.

Orphée

Selon lui, l’auteur des hymnes orphiques se nomme Cercops[4],[5]. Orphée est évoqué dans un poème d'Ibycos, au VIIe siècle[6]. La légende d'Orphée est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée ; il enseigna les initiations, et à s'abstenir des meurtres par l'instauration des expiations, but des expiations[7]. Il semblerait que le mythe d'Orphée ne soit pas propre à la seule culture de la Grèce antique, et qu'il ait des origines plus anciennes, peut-être paléolithiques. Cela a été remarqué dès la fin du XIXe siècle par le philologue Charles-Félix-Hyacinthe Gouhier, lequel indiquait un récit semblable chez les Iroquois. « Nous verrions volontiers, dans son voyage aux enfers à la recherche d’Eurydice, une légende remontant jusqu’aux temps paléolithiques et qui, à une époque impossible à préciser, aura été transportée au Canada »[8].

Orphée et Eurydice. Orphée avait reçu de sa mère le don merveilleux de la musique, alors les dieux lui avaient fait cadeau d'une lyre.

Orphée et Eurydice

Depuis, il jouait de l'instrument au gré de ses envies ou de sa mélancolie, pour le plus grand plaisir des êtres qui l'entouraient.Le poète n'avait aucun ennemi, pas même les bêtes féroces : charmées, elles finissaient toujours par s'étendre à ses pieds. Bien sûr, aucune jeune fille ne pouvait résister aux notes tendres et apaisantes que faisait naître Orphée, mais aucune ne trouvait grâce à ses yeux, jusqu'au jour où il rencontra l'envoûtante Eurydice.

Leur amour était si profond et si pur qu'ils décidèrent très rapidement de se marier. Mais ce bonheur fut de courte durée… Le mariage fut une fête pour tous les invités, chacun se réjouissant du bonheur des jeunes époux. Les Enfers étaient peuplés de créatures terrifiantes, toutes soumises à Hadès, le dieu des profondeurs de la Terre.

Orphée aperçut rapidement la lumière du jour : ils allaient enfin quitter les Enfers. La Porte de l'enfer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Porte de l'enfer

La Porte de l'Enfer est un groupe de sculpture monumentale (6,35 m x 4 m) du sculpteur français Auguste Rodin, qui constitua tout au long de sa vie son plus important travail, d'où furent extraites pendant plus de 30 ans ses plus fameuses sculptures individuelles dont le célèbre Penseur. Historique de l'œuvre[modifier | modifier le code] Mais le projet de musée prit du retard et fut abandonné en 1889, privant Rodin du financement pour faire fondre un bronze et lui laissant le temps de continuer à y travailler[2].

Lors de l'exposition universelle de 1900, Rodin expose une nouvelle version en plâtre de la Porte de l'Enfer, dépouillée de la plupart de ses éléments figuratifs, dans un pavillon place de l'Alma, remontée ensuite au musée Rodin de Meudon[2]. Les épreuves en bronze ont été fondues, après la mort de l'artiste. Éléments de l'œuvre[modifier | modifier le code] Galerie[modifier | modifier le code] Le mythe d Orphee. Laurent GAUDÉ, La porte des Enfers. Laurent GAUDÉ La porte des Enfers Actes Sud, août 2008 Laurent Gaudé est né à Paris en 1972.

Laurent GAUDÉ, La porte des Enfers

Il fait des études de lettres et commence à écrire du théâtre. Même si c'est pour ses romans qu'il est connu, il publie plusieurs pièces chez Actes Sud avant de leur proposer un roman. Le mythe de la descente aux enfers ou la métaphore d'un voyage spirituel - Du mythe au symbole. Catabase, descente aux enfers, on parle d’une descente physique ou de l’esprit, ou imaginaire, ou rituelle ou spirituelle.

Le mythe de la descente aux enfers ou la métaphore d'un voyage spirituel - Du mythe au symbole

Ce voyage qu’il ait lieu en enfer, au royaume des morts à des buts : acquérir des pouvoirs, trouver des réponses à des interrogations existentielles, fuir la réalité pour chercher un ailleurs … Le mythe de la descente aux enfers est un thème constant dans la littérature, un motif récurrent dans les mythologies. Toutes mythologies traitent du thème de la descente dans le monde souterrain du héros : le lieu apparait comme une épreuve qualificative et décisive dans la formation du héros épique, c’est un rite d’initiation. La croyance en un lieu où se prolonge l’existence de tous les humains après leur mort est très ancienne. Dans la mythologie grecque le royaume d’Hadès accueille tous les hommes après leur mort, mais ceux qui ont outragé les Dieux sont soumis à des châtiments éternels. De l’importance d’entreprendre une Nekuia dans le parcours de l’homme-héros Conclusion.