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Robert Doisneau

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Robert Doisneau : "C'est toujours à l'imparfait de l'objectif qu'il conjugue le verbe photographier" / Portrait - Dossier. Biographie de Robert Doisneau - guilhem sur LePost.fr (14:03) Publié parguilhem post non vérifié par la rédaction 28/10/2009 à 13h59 - mis à jour le 28/10/2009 à 14h03 | vues | réactions Robert Doisneau est probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier notamment grâce à des photos comme « le Baiser de l'hôtel de ville ». Ses photographies en Noir et Blanc des rues de Paris et des situations du quotidien ont fait sa renommée. Doisneau aime à se promener dans les rues de Paris. Mon Studio Photo vous présente : Biographie de Robert Doisneau : Robert Doisneau est né le 14 avril 1912, à Gentilly, dans la banlieue de Paris. Après la guerre Robert Doisneau devient photographe indépendant en intégrant officiellement, en 1946, l’agence de photographie Rapho. Je vous laisse avec de superbes photos de Robert Doisneau : Et également plusieurs citations de Robert Doisneau : «Suggérer, c’est créer.

Histoire d'un baiser. Quand éclate, en 1993, l'affaire du « Baiser de l'Hôtel de Ville », Doisneau prend pour avocat Me Jacques Marchand. Souvenirs et confidences. Je mets au défi quiconque de détester Doisneau! Même ceux qui l'ont attaqué étaient furieux peut-être, mais il n'y avait pas de haine!» Me Marchand se souvient avec émotion de l'homme «au regard tendre», de l'artiste qui nous «apprend encore à regarder les autres». Leur rencontre remonte au début des années 90: époque à laquelle l'avocat est chargé de défendre le photographe devant la Ire chambre du tribunal de grande instance de Paris. Deux procédures ont été engagées se rapportant au Baiser de l'Hôtel de Ville, photographié quarante-trois ans auparavant. Retour sur image... Robert Doisneau et les Halles de Paris. Maison de la photographie Robert Doisneau. Le photographe Robert Doisneau.

Jeunesse grise derrière les rideaux de macramé d'une famille petite-bourgeoise, il apprend à 15 ans le métier de graveur lithographe à l'école Estienne et entre dans la vie active en dessinant des étiquettes pharmaceutiques. C'est chez André Vigneau, dont il devient le jeune opérateur en 1931, qu'il découvre le monde de la création artistique qui l'animera désormais. Quatre années au service publicité des usines Renault soldées par un licenciement pour retards répétés, lui permettent d'accéder au statut convoité de photographe indépendant. La guerre éclate alors mettant un frein brutal à ses projets. Dans l'euphorie des années d'après-guerre, bien qu'il soit quotidiennement soumis à la commande pour des raisons matérielles, il accumule les images qui feront son succès, circulant obstinément « là où il n'y a rien à voir », privilégiant les moments furtifs, les bonheurs minuscules éclairés par les rayons du soleil sur le bitume des villes.