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Livre Kishwar Desai

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Kishwar Desai. In Bihar fertility clinics,eye on the donor’s caste. Couples visiting the state's two fertility clinics — both located in Patna — seem more concerned about the caste of sperm or egg donors than their medical history and the norms guiding such clinics. Both the clinics have in recent months witnessed a number of people coming from faraway Purnia and Katihar. Recent Bollywood hit Vicky Donor may have a role to play in this current trend. The film's poster at Srijan, a fertility clinic, is meant to attract couples open to the idea of having babies through In Vitro Fertilisation (IVF) and Intra Uterine Insemination (IUI). The enquiries at these clinics, however, do not include anything about the Bombay High Court pulling up the Mumbai police for not probing into the role of a hospital in the death of Sushma Pandey (17), an egg donor, two years ago.

The most baffling question to doctors at these clinics is couples wanting to know the caste of sperm donors. ... contd. Please read our terms of use before posting comments. Kishwar Desai, sari noir. Kishwar Desai se souvient encore de cette femme venue la voir alors qu’elle dirigeait une chaîne de télévision dans la région du Pundjab. «Elle m’a dit qu’elle ne devrait pas être là, devant moi, car elle n’était pas censée être en vie. Ses parents lui avaient donné de l’opium à la naissance pour la tuer. Mais elle avait survécu. A l’adolescence, des proches lui avaient révélé ce terrible secret et elle avait continué malgré tout à partager la maison familiale !» «J’avais été marquée par un autre fait divers, confie-t-elle. Depuis plusieurs mois, l’Inde n’en finit pas de défrayer la chronique pour ses viols et ses meurtres de femmes à répétition.

Attablée dans une brasserie parisienne, brushing impeccable, plantureuse, souriante, Kishwar Desai fait partie de ces auteures de polars dont l’apparence ne laisse rien voir des atrocités foisonnant dans leur imaginaire. C’est peut-être parce qu’elle a longtemps été journaliste que Kishwar Desai pioche à ce point dans la réalité quotidienne. In boost to infertility treatment, govt allows import of frozen embryos. India has allowed the import of human embryos for artificial reproduction, opening up what is expected to be a huge segment of the medical tourism market.

The decision will allow foreign couples to bring in frozen human embryos and rent a surrogate womb in India for the baby to be born. The relaxed rules will also apply to other infertility-related treatment such as IVF. The decision was announced through separate notifications by the Central Board of Excise and Customs and the Directorate General of Foreign Trade over the last one month.

To ensure quality control, such imports will have to carry a no-objection certificate from the Indian Council of Medical Research (ICMR). “This was not permitted earlier but the new guidelines have streamlined the process and cleared grey areas on their import.” The medical tourism business is expected to grow by 30 per cent cumulatively to about $2 billion (Rs 12,000 crore) by 2015.

ICMR officials said the conditions for granting NOC are stringent. INDE • Le marché des mères porteuses sous tension. En réglementant le marché florissant et lucratif de la gestation pour autrui, le gouvernement indien a créé des obstacles quasi insurmontables pour de nombreux étrangers, souvent gays. Le Dr Shivani Sachdev passe en revue la liste de ses patients “en attente” sur son ordinateur et pousse un grand soupir.

“J’ai une quantité d’embryons congelés dans mon laboratoire et, à cause de ces nouvelles règles [régissant la gestation pour autrui (GPA) et l’adoption, instituées en décem­bre 2012], je ne peux plus rien faire”, explique-t-elle en levant un instant les yeux de son écran, pour aussitôt revenir à la liste. “Je ne peux tout de même pas les détruire. Il y a des parents qui attendent que le traitement commence et pour eux ces embryons ne sont rien de moins que leurs futurs bébés.” Une assistante pressée vient l’interrompre pour lui rappeler son rendez-vous avec un couple indien.

Cauchemar. Paperasse. Garhi Jharia Maria est une petite localité nichée dans le dédale urbain de Delhi Sud. Kishwar Desai reads from her novel, Origins of Love. En Inde, le «package GPA» enrichit plus les cliniques que les mères porteuses. Temps de lecture: 8 min Le 29 janvier, une jeune femme décédait dans une clinique de New Delhi après un prélèvement d'ovocytes. Quelques jours auparavant, la Haute cour de Mumbai demandait à la police d'approfondir ses investigations sur la mort d'une adolescente de 17 ans survenue en 2010, après sa troisième ponction ovocytaire dans une clinique de la capitale économique indienne.

«Mort dans l'industrie de la naissance»: si ce n'est quelques articles publiés dans la presse indienne, ces affaires ne retiennent guère l'attention. Elles dévoilent pourtant un secteur aux nombreuses zones d'ombre. La procréation médicalement assistée, dont la gestation pour autrui (GPA), n'est soumise en Inde à aucun encadrement législatif. Les cliniques dites «de la fertilité» se sont multipliées ces dernières années dans le pays. Toutes ne pratiquent cependant pas la GPA. Certaines cliniques, qui se sont spécialisées dans la GPA, en pratiquent plusieurs par mois. Des ovules d'Indienne? Aucune loi. Free company and business search engine, Free business pages in India | Tuugo local businesses and services.