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Twitter se lancerait dans le e-commerce "in-tweet" avec Stripe. E-commerce Mag, le site du e-commerce et du commerce connecté. [Etude] Une majorité de français préfère acheter en ligne. Le dernier "E-Commerce Index" de Rakuten révèle que 51,7% des consommateurs français préfèrent acheter en ligne plutôt qu'en magasin et que l'achat à partir de tablettes a connu une progression intéressante (+41,9 %) l'an dernier, contre 9,7 % seulement pour les smartphones. Le tout dernier E-Commerce Index de Rakuten*, l’un des plus grands groupes mondiaux d’e-commerce, qui détient notamment la place de marché PriceMinister.com en France, démontre que 51,7% des consommateurs français préfèrent acheter en ligne plutôt qu’en magasin et que l’achat via des tablettes a connu une marge de progression de 41,9 % l’an dernier, contre 9,7 % seulement pour les smartphones sur la même période.

Le Royaume-Uni a détrôné les Etats-Unis comme marché numéro un de l’utilisation des tablettes, avec 12,2 % des Britanniques interrogés qui préfèrent la tablette, contre 11,3 % des Américains. En France, 88,4% des consommateurs utilisent d'ailleurs un PC pour effectuer leurs achats. L'e-commerce représentera 10% des ventes en France d'ici 4 ans. Selon les prévisions de Forrester, le montant des ventes de détail en ligne en France passera de 25 milliards d’euros en 2013 à 47 milliards en 2018, soit un taux de croissance annuel de +13,2%.

En Europe, sur la base de 17 pays étudiés, le taux de croissance annuel sera de +12%, avec un chiffre d’affaires qui évoluera de 134,9 milliards d’euros à 233,9 milliards sur la même période. Le Royaume Uni restera le pays où la part des ventes en ligne dans le volume total des ventes de détail est la plus élevée (15% en 2018), devant la France et l’Allemagne à 10%. L’Espagne (5%) et l'Italie (4%) ne devraient pas rattraper leur retard, malgré des taux de croissance annuel élevés (+18,6% et +16%). En comparaison, les ventes en ligne aux Etats-Unis vont atteindre 414 milliards de dollars en 2018, soit 10% du total des ventes de détail. La proportion des internautes européens achetant en ligne passera de 65% en 2013 à 75% en 2018. [E-commerce] Les tentatives de fraudes augmentent et se diversifient. Certissim, service de détection de fraudes liées aux paiements sur internet, vient de publier son « livre blanc » 2013, qui offre chaque année un tour d’horizon des méthodes de fraude dans le cadre des paiements sur internet.

Il met en garde contre une croissance des cas d'usurpation de comptes clients, ce qui rend très difficile la détection de la fraude. Service commercialisé par FIA-NET, filiale du Crédit Agricole spécialisée dans les services de paiement et de protection contre la fraude à destination du e-commerce, Certissim intervient auprès de 900 e-commerçants. C’est en se basant sur leurs déclarations d’incidents et sur les fraudes détectées par ses systèmes que FIA-NET publie chaque année son « Livre Blanc », avec l’objectif de donner une « vision objective de la fraude » et de l’évolution des techniques des fraudeurs.

Les tentatives de fraudes représentent près de 2 milliards d'euros Montée en puissance de la fraude identitaire La victime obligée de se justifier. Quand le e-commerce favorise les cours de bourse... Quand le e-commerce favorise les cours de bourse... Les entreprises bénéficiaient auparavant des canaux de distribution classiques : vente par correspondance, boutiques physiques, et démarchage commerciale terrain. Mais, avec l’essor du e-commerce depuis quelques années, ces dernières bénéficient d’un formidable canal de distribution pour promouvoir leur marque, et lancer de nouveaux produits. Les entreprises se forment au e-commerce Encore relativement récent pour les entreprises, le succès dans le e-commerce ne s’improvise pas.

Ce dernier demande en effet des techniques spécifiques, comme le référencement, ou l’animation d’une communauté web. Elles font donc le choix de sous-traiter ces opérations à des sociétés externes, ou des consultants spécialisés dans ce domaine. Une première technique efficace Si le marketing internet possède de nombreuses techniques spécifiques, certaines sont plus complexes que d’autres, et demandent une réelle expertise et un savoir faire.

Le Net, passage obligé pour les marques en Chine. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Harold Thibault (Shanghaï, correspondance) Lorsque Burberry a inauguré sa nouvelle boutique à Shanghaï, sur la prestigieuse rue de Nankin, ce jeudi 24 avril, la marque britannique de luxe a certes créé l'événement dans le monde réel, avec son égérie, le mannequin Cara Delevingne. Mais elle a aussi déployé un effort au moins équivalent pour susciter l'attention des Chinois dans le monde virtuel. Avec la publication de photos sur Sina Weibo, le Twitter chinois, et, en parallèle, sur le réseau social Wechat, une expérience, surtout au travers de photos, sur le thème du voyage à Londres. La maison au tartan a aussi ouvert pour l'occasion un espace de vente en ligne sur T-Mall, la déclinaison destinée aux grandes marques du très populaire site de vente en ligne Taobao.

Quitte à démystifier l'achat de luxe – à partir de 16 000 yuans (1 850 euros), les Chinois peuvent désormais s'acheter un trench en ligne. Le groupe Casino va coter son e-commerce à Wall Street. [Infographie France] 72% des utilisateurs de smartphone favorables au paiement mobile. « 60% des Français sont favorables au paiement mobile. » Voici l’une des principales informations issues d’une récente étude menée par Paypal, sur le paiement mobile en France. Réalisée en avril dernier, cette étude repose sur les réponses d’un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française. Les principaux chiffres de cette enquête on été mis en avant dans l’infographie suivante.

On y apprend notamment que : 7 Français sur 10 déclarent avoir déjà entendu parler du paiement mobile.32% des utilisateurs sont prêts à payer avec leur mobile une somme de 5 euros.72% des utilisateurs de smartphone sont favorables au paiement mobile.11% des sondés pensent que le paiement mobile représente l’avenir. L’infographie indique, par ailleurs, que les ventes sur smartphones et tablettes ont connu une croissance de 195% au 1er semestre 2012, sans compter le téléchargement des applications. Commerce en ligne : le chinois Alibaba se lance à Wall Street. Le poids lourd chinois du commerce en ligne Alibaba a lancé, mardi 6 mai, sa très attendue procédure d'entrée à Wall Street, qui pourrait devenir l'une des plus grosses introductions en Bourse de l'histoire.

Le groupe, souvent décrit comme un hybride entre Amazon et eBay, parties comme lui de la vente sur Internet avant de diversifier leurs activités, a enregistré un projet provisoire auprès du gendarme boursier américain (SEC). Alibaba ne précise pas encore combien de titres seront vendus ni à quel prix. Son projet mentionne seulement un volume indicatif de levée de fonds, destiné au calcul des frais d'enregistrement, d'un milliard de dollars (718 millions d'euros). Les analystes s'attendent à un volume final bien plus important, avec des estimations variables mais tournant généralement autour d'une quinzaine de milliards de dollars (11 milliards d'euros).

Lire le contexte de cette entrée en Bourse : Le cybermarchand Alibaba prépare une méga entrée à New York. La Fnac aussi lance son propre Amazon Premium. Pour 49 euros par an, les clients de Fnac.com bénéficieront d'un nombre illimité de livraisons à domicile ou en relais colis en 1 jour ouvré. Après Cdiscount mi-avril, la Fnac lance à son tour un service de livraisons illimitées sous forme d'abonnement à l'année, baptisé "Fnac Express+". En l'échange de 49 euros par an (39 euros pour les adhérents), ses clients pourront se faire livrer en un jour ouvré à domicile ou en livraison standard en relais colis tous les produits disponibles en stock sur Fnac.com.

Aucun minimum d'achat n'est exigé et tous les articles hors marketplace sont éligibles (voir le détail des conditions générales). Ce service est bien sûr inspiré du programme Amazon Prime (Premium en France). Leur intérêt numéro 1 : rendre captive la clientèle qui, ayant déjà réglé les frais de port à l'avance, sera moins tentée de se rendre sur un site concurrent où elle devrait encore régler la livraison. Comment l'e-commerce va envahir les caisses enregistreuses. Les marchands désirent majoritairement une plateforme technologique unique pour gérer leurs ventes offline et online.

Les systèmes d'e-commerce sont les mieux placés pour remplir ce rôle, selon la NRF. 40% des retailers désirent une plateforme technologique unique pour gérer leur relation client et leurs ventes sur l'ensemble des canaux, révèle une étude menée par la National Retail Federation auprès de 200 sociétés américaines et européennes de technologies pour la distribution. Pour ce faire, les retailers sont deux fois plus nombreux à vouloir se baser sur leur infrastructure e-commerce (38%) plutôt que sur leur infrastructure de points de vente (POS) (19%). Cette convergence omnicanale présente néanmoins un certain nombre de défis. Pourquoi les nouvelles habitudes de consommations seront-elles mieux adressées par une plateforme unique ?

S'engager dans cette direction implique des investissements conséquents dans le réseau de distribution physique. E-commerce : toutes les news et analyses.