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Patriarchy

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La toute fin des années 70 marque le début d'un cycle de films masculo-centrés, souvent anti-féministes et insistant avec véhémence sur les fonctions du Père et leur transmission au fils.



Ces films mettent en scène une riposte conservatrice à la critique féministe des rôles domestiques. Ce cycle, inauguré par Kramer Contre Kramer, prévient les femmes: si vous voulez abandonner vos impératifs domestiques, faites le, mais vous n'occasionnerez que des traumatismes et du malheur.

D'autres films comme The Great Santini insiste sur l'échec possible des valeurs patriarcales en mettant en scène un père tyrannique, mais dont la mentalité machiste et réac est au final comprise comme une aliénation et une compensation vis à vis des injonctions qu'il subit. Ici, les valeurs patriarcales s'incarnent dans le militarisme et l'impérialisme.

La saga Star Wars est emblématique ce cycle reaganien glorifiant le Patriarcat (au sens premier: transmission de l'autorité du père au fils) tout comme le cinéma de Stallone, grand "poète" de la success story masculine-capitaliste.

Tender Mercies (1983) La loi des seigneurs (1983) Officier et gentleman (1982) La maison du lac (1981) Un fils pour l'été (1980) The Great Santini (1979) The Great Santini (1979) Trailer. Kramer contre Kramer (1979) KRAMER VS. KRAMER - Trailer ( 1979 ) Kramer vs. Kramer vs. Women. Movie Review: Kramer vs. Kramer vs. Women Hatched from Avery Corman's anti-feminist novel about a child custody battle, Kramer vs. Kramer tries feebly to be fair and "liberated. " But the film's superb acting and contagious humanism are corrupted by a calculated message: today's young mother cannot cope with both child and career — but Superdad can! Experience with a wrenching custody battle of my own sparked my curiosity about the fanfare surrounding this picture.

All the fuss is over a father making his debut as hero of the hearth. Meryl Streep, bound and gagged by the script's cliche caricature of a woman seeking independence, manages to evoke a painfully sensitive, sympathetic portrayal of the mother, Joanna, who has abandoned (horrors!) Joanna reappears, after 18 months, as a "whole person" — with a $31,000-per-year job and a "good therapist. " Such a noble sacrifice makes for great melodrama, but is totally uncharacteristic, unwarranted, and unnecessary. Kramer vs. Des gens comme les autres (1980) ORDINARY PEOPLE (Robert Redford,1980) - Trailer.