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Economie

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Enfin des petits signes d’optimisme pour l’économie française. Une petite éclaircie dans un horizon économique encore bouché. Alors que la France a terminé 2013 sur une note terne avec une croissance de seulement 0,2% et un nombre record de personnes inscrites à Pôle emploi, ces derniers jours ont été marqués par une série de (petits) signaux positifs susceptibles d’instiller un peu de confiance pour l’ensemble de l’année. Le premier est intervenu vendredi 24 janvier avec la décision de l’agence de notation Moody’s de maintenir la note de la dette française à Aa1, soit le deuxième meilleur niveau de son échelle c’est-à-dire l’équivalent d’un 19/20. «Pour beaucoup d’observateurs, la non-dégradation a été une réelle surprise. Il faut croire en effet que le lobbyisme du gouvernement français et l’apparent tournant «social-démocrate» de François Hollande ont porté leur fruit», estime l’économiste Anthony Benhamou, du cabinet ACDEFI. Un regain de la confiance des ménages Mathieu Bruckmüller.

Comment l'économie française s'est transformée en trente ans. L'hôtellerie française en perte de vitesse. Les dentistes font grève pour obtenir des hausses de tarifs. VIDÉO - Les dentistes ferment leur cabinet, ce lundi. Selon leur principal syndicat, la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD), c'est «l'exaspération la plus totale» qui les pousse à l'action.

Comme hier, le crissement strident de la fraise du dentiste ne résonnera pas ce lundi dans les cabinets dentaires. La profession est appelée à mener une grève ponctuelle le lundi 3, par son principal syndicat, la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD). Deux motifs à cela. D'abord, les dentistes attendent depuis un an et demi la publication d'un décret instaurant une rémunération de 75 euros par demi-journée d'astreinte et une majoration de 30 euros pour les actes réalisés les dimanches et jours fériés.

Le deuxième volet des revendications, qui motive la grève des 2 et 3 février, puis celle des télétransmissions des feuilles de soins à l'Assurance-maladie les quatre jours suivants, est plus corsé. Les soins prothétiques et orthodontiques sont bloqués depuis… 25 ans. Quand (pour une fois) la vérité sort de la bouche d’Arnaud Montebourg. Assises de la fiscalité : des entreprises aux ménages, quels transferts ?/ Les pays émergents au pied du mur ? La commission des affaires sociales adopte 35 amendements sur la proposition de loi visant à reconquérir l’économie réelle 

Réunie le mercredi 29 janvier 2014 sous la présidence d’Annie David (CRC – Isère), la commission des affaires sociales a examiné le rapport d’Anne Emery-Dumas (Soc – Nièvre), sur la proposition de loi visant à reconquérir l’économie réelle, adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale le 1er octobre dernier. La commission a examiné 70 amendements présentés par sa rapporteure et par les trois commissions saisies pour avis sur ce texte (finances, lois et affaires économiques). Elle a adopté 35 amendements visant essentiellement à sécuriser juridiquement le texte, notamment au regard des principes constitutionnels du droit de propriété et de la liberté d’entreprendre, et à rendre opérationnelles certaines de ses dispositions. À l’article 1er, relatif à la nouvelle procédure de recherche de repreneur pour les entreprises de plus de 1 000 salariés, les principales modifications apportées par la commission visent à :