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Régime de Vichy

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Régime de Vichy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Régime de Vichy

Le nom de régime de Vichy désigne le régime politique dirigé par le maréchal Philippe Pétain, qui assure le gouvernement de la France au cours de la Seconde Guerre mondiale, du au durant l’occupation du pays par l’Allemagne nazie[3], et dont le siège se situe à Vichy[5], situé en zone libre jusqu'en novembre 1942. Au cours de la guerre, cette collaboration prendra plusieurs formes : coopération économique, arrestations de résistants, de francs-maçons, et d'opposants politiques ainsi que de rafles de Juifs sur le territoire métropolitain. Sur le plan militaire, le régime n’est pas un allié officiel pour le Troisième Reich mais le gouvernement Laval reconnaît la Légion des volontaires français (LVF) comme une association d’utilité publique[9] et contribue aussi à l’effort de guerre allemand via la collaboration de son industrie militaire — comme défini dans les conditions d’armistice[10]. Les circonstances[modifier | modifier le code]

Pétain

La loi du 23 avril 1941 portant organisation générale des services de police en France. 1 Cet article est la version revue et corrigée en février 2008 d’un texte originellement publié dans (...) 2 Loi que l’on serait fondé d’appeler « loi Darlan » du nom du ministre de l’Intérieur qui la co-sign (...) 1La loi du 23 avril 1941 2 « portant organisation générale des services de police en France » publiée dans le Journal Officiel de l’Etat français du 6 mai 1941 est bien un texte fondamental de l’histoire de la police contemporaine (lire le texte).

La loi du 23 avril 1941 portant organisation générale des services de police en France

Elle représente un point d’aboutissement de toutes les réformes mises en œuvre par la IIIe République et contient, y compris la régionalisation de 1991, les prémisses de l’organisation actuelle de la police française. Mais c’est curieusement un texte tabou dont on chercherait en vain la lettre, même dans les « histoires de la police » qui ne manquent pourtant pas d’y faire une allusion généralement appréciative.

Pourquoi une telle absence ? Sa genèse est également embarrassante. 3 M. 9 G. 15 Voir sur ces points précis la thèse de M.O. La police sous l’occupation allemande - POLICEtcetera - Blog LeMonde.fr. Pour le 65° anniversaire de la Libération de Paris, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à ceux qui ont libéré la capitale et notamment à la police parisienne.

La police sous l’occupation allemande - POLICEtcetera - Blog LeMonde.fr

Un hommage bien modéré si on le compare au discours grandiloquent de Dominique de Villepin, cinq ans auparavant. Le Président a évoqué une minorité de policiers résistants « à l’image de leurs compatriotes », tandis qu’à l’époque le Premier ministre commémorait « la mémoire des 167 policiers tombés pour la liberté des Parisiens ». L’un appelle à se « montrer digne de l’héritage », tandis que l’autre déclamait : « soyez les dignes héritiers de vos grands anciens ». Mais qu’en est-il ? Pas facile de répondre à ces questions. À l’époque, la préfecture de police de Paris est toute puissante, tandis que les services de sûreté, compétents sur le territoire national, font figure de parents pauvres. Pourtant, la police n’est pas à droite, et la sûreté de la rue des Saussaies est même marquée à gauche.

France : Les archives de la police sous l'Occupation en ligne en 2015. Procès-verbaux d'interrogatoires, lettres de délation… La préfecture de police de Paris est sur le point de lancer la numérisation de ses archives datant de la Seconde guerre mondiale, afin de les mettre à disposition du grand public à partir de 2015.

France : Les archives de la police sous l'Occupation en ligne en 2015

La France des années noires va bientôt connaître un coup de projecteur. La lettre hebdomadaire de la Préfecture de police (PP) a annoncé cette semaine le lancement prochain d'une opération de numérisation des archives de la police sous l'Occupation, dans la perspective d'une mise en ligne sur Internet pour le grand public. Actuellement, les quelque 200.000 documents peuplent 15 kilomètres de rayonnage dans les sous-sols de la préfecture, sur l'île de la Cité à Paris. Protégés par la loi pour une période de 75 ans, ils sont accessibles uniquement sur demande aux historiens, aux écrivains, aux chercheurs ou encore aux journalistes. Un «délai de sérénité» Fragiles, ces archives sont également sensibles. «Au cœur des passions humaines»