Russie : Vladimir Poutine autorisé à se présenter aux élections présidentielles de 2024 et de 2030. Par Sudouest.fr avec AFPPublié le 11/03/2020 à 10h28Mis à jour le 11/03/2020 à 11h02 Les députés russes ont adopté mercredi la réforme portée par Vladimir Poutine qui ouvre la voie à son maintien au pouvoir, théoriquement jusqu'en 2036.
Ses opposants dénoncent un putsch Le texte voté définitivement mercredi par les députés russes contient l'amendement pour "réinitialiser" le compteur de mandats présidentiels de Vladimir Poutine, afin de lui donner le droit de se représenter en 2024 mais aussi en 2030. Les députés ont été 383 à voter en faveur du texte, 43 s'étant abstenus - les députés communistes - et aucun n'ayant voté contre.
Elections régionales en Russie : les alliés de Navalny revendiquent des victoires symboliques. Les Russes étaient appelés aux urnes dimanche 13 septembre dans 41 régions pour des élections locales qui se déroulent dans un contexte tendu pour Vladimir Poutine.
Ils devaient désigner des gouverneurs, des Assemblées régionales ou municipales et quatre députés du Parlement. Le scrutin se déroule depuis vendredi, sur trois jours, notamment dans des bureaux de vote mobiles et en plein air, officiellement pour limiter les risques liés au coronavirus. Ce système, déjà expérimenté fin juin pour la réforme constitutionnelle, avait été marqué par des fraudes, selon l’opposition. Les alliés de l’opposant russe Alexeï Navalny, victime d’un empoisonnement présumé, ont revendiqué dimanche soir des victoires symboliques dans deux villes sibériennes aux élections régionales, marquées selon des observateurs indépendants par une série d’irrégularités. Manifestations pro-Navalny en Russie, beaucoup de monde et de police – Libération. Vladimir Poutine signe la loi l’autorisant à rester à la tête de la Russie jusqu’en 2036. Le président russe marque une fois de plus sa détermination à ne pas lâcher le pouvoir.
Vladimir Poutine, 68 ans, a signé, lundi 5 avril, la loi lui permettant de se présenter pour deux nouveaux mandats présidentiels. Un acte ouvrant la voie à son maintien au Kremlin jusqu’en 2036. Cette loi, publiée sur le portail officiel russe, avait été définitivement adoptée par le Parlement en mars, après un référendum constitutionnel organisé à l’été 2020. Aux commandes du pays depuis 2000, Vladimir Poutine a, en deux décennies, éliminé toute réelle concurrence politique en Russie, jugulant l’opposition et les médias indépendants.
En Russie, les proches d’Alexeï Navalny appellent à la mobilisation contre le pouvoir le 21 avril. La collision s’annonce brutale, et elle est au minimum symbolique.
Les partisans d’Alexeï Navalny ont appelé à une mobilisation dans toute la Russie, le mercredi 21 avril, jour où Vladimir Poutine doit délivrer son discours annuel devant les deux chambres du Parlement. Cette adresse à la nation, repoussée depuis plusieurs mois, est l’un des moments-phares de la présidence russe. M. Alexeï Navalny : "Ils ne veulent pas le laisser vivre, mais ils ne peuvent peut-être pas le laisser mourir", explique Marie Mendras, chercheure au CNRS. "Ils ne veulent pas le laisser vivre, mais ils ne peuvent peut-être pas le laisser mourir", explique sur franceinfo Marie Mendras, chercheure au CNRS et professeure à Sciences Po, alors que l'état de santé d'Alexeï Navalny, l'opposant russe emprisonné, est de plus en plus inquiétant et que la pression s'accroit sur Moscou autour de la situation ukrainienne.
La France qui menace la Russie de sanctions, les États-Unis qui ont récemment sanctionné Moscou pour piratage ... pourquoi Moscou maintient la pression, sept ans après le début de la guerre dans le Donbass ? Marie Mendras : Vladimir Poutine essaie de rentrer dans un nouveau bras de fer parce qu'il se trouve lui-même en grande difficulté chez lui. Je crois qu'il essaie aussi de détourner l'attention de l'assassinat re-programmé d'Alexeï Navalny, puisqu'ils n'ont pas réussi à l'empoisonner en août dernier. Donc ces menaces de sanctions, Vladimir Poutine n'y prête pas tant attention que ça ? Russie : Poutine signe une loi donnant une immunité à vie aux anciens présidents - Le Parisien. Il est désormais intouchable ou presque.
Vladimir Poutine a signé ce mardi une loi qui offrira aux anciens présidents russes une immunité à vie, et non plus uniquement concernant les actes effectués dans l'exercice de leur fonction. Un texte qui bénéficiera dans un premier temps à Dmitri Medvedev, seul ex-président de la Fédération de Russie encore en vie, et dont Poutine profitera le jour où il quittera le Kremlin. Ce nouveau texte dispose qu'un ex-président russe « ne peut être poursuivi pénalement ou administrativement ». Il ne peut pas, par ailleurs, être arrêté par la police, subir un interrogatoire ou être perquisitionné.
Joe Biden assure que Vladimir Poutine « paiera les conséquences », alors que la Russie est accusée d’ingérence électorale. La Russie a annoncé, mercredi 17 mars, avoir rappelé son ambassadeur aux Etats-Unis pour consultations, tout en assurant vouloir éviter la « dégradation irréversible » de ses relations avec Washington.
Cette décision de Moscou intervient quelques heures après des déclarations de Joe Biden sur Vladimir Poutine. Dans un entretien, diffusé mardi par la chaîne américaine ABC, le président des Etats-Unis s’est vu demander s’il estimait que le maître du Kremlin était « un tueur ». Ce à quoi le démocrate a répondu : « Oui, je le pense. » Il n’a pas précisé s’il pensait à l’empoisonnement de l’opposant russe Alexeï Navalny en août 2020, imputé par les Etats-Unis à la Russie. Joe Biden a également promis que Vladimir Poutine paiera « le prix » de ses actes, notamment des ingérences électorales que lui reproche Washington. Une « attaque » contre la Russie. Affaire Navalny : la Russie dans le collimateur de l'ONU. Russie : plus de 2 500 arrestations lors de manifestations en soutien à l'opposant Alexeï Navalny. Retrouvez ici l'intégralité de notre live #NAVALNY 20h57 : "Les Etats-Unis condamnent fermement l'emploi de méthodes brutales contre les manifestants et les journalistes ce week-end dans des villes à travers la Russie", écrit dans un communiqué le porte-parole du département d'Etat américain, Ned Price. 20h00 : 20 heures !
La justice russe maintient l’emprisonnement d’Alexeï Navalny – Libération. Alexeï Navalny : l’hôpital de Berlin publie les détails de l’empoisonnement au Novitchok. Les médecins berlinois qui ont soigné Alexeï Navalny ont rendu publics, mercredi 23 décembre, les détails cliniques de son empoisonnement au Novitchok.
L’opposant russe se félicite sur Twitter et Facebook de la publication de cette « preuve » médicale que réclamait Moscou depuis des mois. « La vérification de l’implication d’un agent Novitchok (…) n’a été réalisée que plusieurs jours après avoir établi le diagnostic d’empoisonnement (…) et n’a pas affecté les décisions thérapeutiques », précisent les auteurs. Vladimir Poutine, président à vie ? "Plus personne ne qualifie la Russie de démocratie" Les Russes ont une semaine, à partir de ce 25 juin, pour se prononcer sur les changements que Vladimir Poutine veut apporter à la constitution du pays.
Cette nouvelle loi fondamentale lui permettrait de rester au Kremlin jusqu’en 2036. Il aurait alors 84 ans. Le texte imprime également une tonalité très conservatrice à la constitution russe, en y inscrivant des notions comme Dieu, le mariage hétérosexuel et la famille. Newsletter info. Europresse. Russie-UE : L’affaire Navalny empoisonne les relations diplomatiques - Ici l'Europe. Publié le : 12/02/2021 - 18:50 Nous nous intéressons cette semaine au bras-de fer entre l’Union européenne et la Russie de Vladimir Poutine. Car il n’a pas suffi au maître du Kremlin d’emprisonner son principal opposant Alexeï Navalny, à son retour de cinq mois de convalescence post-empoisonnement en Allemagne. Il ne lui pas suffi non plus d’envoyer des milliers de manifestants pro-démocratie russes derrière les barreaux.
Il a aussi infligé une gifle diplomatique à l’Union européenne. Alors que le haut représentant pour la Diplomatie européenne, Josep Borrell, était en visite à Moscou, le Kremlin a annoncé l'expulsion de trois diplomates européens, au motif qu’ils avaient participé aux manifestations de soutien à Alexeï Navalny. Des milliers de Russes rendent hommage à l’opposant Boris Nemtsov, assassiné en 2015. Des milliers de Russes et des diplomates occidentaux se sont rassemblés dans le centre de Moscou, samedi 27 février, en mémoire de l’opposant Boris Nemtsov, l’un des principaux détracteurs du président Vladimir Poutine jusqu’à son assassinat il y a six ans. Dès la matinée, un flot continu est venu déposer des fleurs sur le mémorial de fortune érigé à la mémoire de Boris Nemtsov sur les lieux de sa mort, régulièrement démantelé par les autorités. L’anniversaire de la mort de Nemtsov est généralement marqué par une marche de l’opposition dans le centre de Moscou, mais il a été décidé cette année de ne se rendre qu’au mémorial en raison des restrictions sanitaires dues à la pandémie.
Selon l’ONG Compteur blanc, qui se consacre au suivi des manifestations, environ 7 800 personnes avaient pris part au rassemblement à 17 h 30 (15 h 30, heure de Paris). « Nous nous rassemblons ce jour chaque année à cet endroit pour montrer au pouvoir que nous n’avons pas oublié et n’oublierons pas.