Modifier la variable ORACLE_BASE | ArKZoYd. Il y a parfois de petites choses qui nous chagrinent la vie. Parmi celle-ci on trouve une variable d’environnement ORACLE_BASE mal positionnée. On a le cas particulièrement sur les clusters ou les fichiers trace et audit de la base ASM sont généralement dans un autre file system que ceux des bases de données. Cela peut arriver aussi suite au mauvais positionnement de l’environnement lors de l’installation du noyau Oracle ou suite à une évolution de l’architecture du serveur. Si au niveau des bases de données déjà cela ne pose pas de problème, la localisation des fichiers de logs et d’audit étant fixés par les paramètres d’initialisation, Cela devient gênant lors de la création de nouvelles bases, dans ce cas il ne faut pas oublier de modifier les différents paramètres après coup, mais aussi et surtout lorsqu’il existe des scripts s’appuyant sur cette variable et notamment les scripts de purges des fichiers de trace et d’audit.
A vous de jouer … Oracle 10G SQL Pour les Nuls. Les paramètres de l’Optimizer d’Oracle | GuiregCAPITAINE.com. L’Optimizer est la partie la plus importante d’une instance Oracle. C’est lui qui choisit quelle chemin il va prendre pour prendre/modifier les données que vous lui ordonnez. Toutes les étapes qu’il va prendre s’appelle le plan d’exécution. Exemple de plan d’exécution généré via SQL*Plus : Plan d'exécution ---------------------------------------------------------- 0 SELECT STATEMENT Optimizer=CHOOSE (Cost=143 Card=1438 Bytes=503300) 1 0 TABLE ACCESS (FULL) OF 'PS_PERSONAL_DATA' (Cost=143 Card=1438 Bytes=503300) Sur celui-ci par exemple, on observe que l’Optimizer a choisi de scanner complètement la table PS_PERSONAL_DATA , qu’il a parcouru 1438 lignes soit 503,300 kiloBytes de données et que la requête a un coût estimé à 143.
Je paris que vous avez un certain nombre de questions qui vous viennent à la tête tout de suite : Comment il choisit son « chemin » ce fameux Optimizer ? Alors, il choisit en fonction de ce qu’on appelle « le coût ». Comment elle calcule le coût notre base de données ? Oracle iLearning. Mobile - Oracle Technology Network. Des options pour impdp | ArKZoYd. En travaillant sur la migration de données d’un datacenter vers un autre, j’ai eu l’opportunité d’utiliser le duo expdp/impdp en plus de rman pour reconstruire les nouveaux environnement.
Comme, bien entendu, ça ne se passait pas toujours bien, j’ai eu l’opportunité de découvrir des options intéressantes de impdp, surtout pour générer la structure de la base, qui s’appliquera particulièrement lorsque impdp échoue dans sa tâche principale car il tente d’effectuer des opérations sur un schéma pas encore créé. impdp n’est pas que là pour importer des données, il peut générer des scripts sql avec l’option sqlfile à partir du dump issu de expdp pour, par exemple, créer les tablespaces, ou les schémas et leurs objets. Tablespaces Ici nous ajoutons l’option include=tablespace à la commande impdp pour générer un script capable de créer les tablespaces nécessaire à une base de tests DEV1TST: L’exécution génère le script easy_create_tbs.sql dans le dossier aliasé par DATA_PUMP_DIR Objets Données. Samuel Delsol » Datapump : impdp & expdp.
Accueil > Oracle > Datapump : impdp & expdp Avec l’arrivée d’Oracle 11g il a maintenant près de 4 ans pour sa première release, certaines commandes oracle très utiles en 10g ont évolué en bien ou en mal suivant les personnes, pour ma part, je ne l’ai trouve pas forcément pratiques. Je m’explique, je prend l’exemple de la commande pour exporter ou importer des dumps oracle. En 10g, il vous suffisait, si le dump avait été réalisé avec la commande EXP, de regarder dans le fichier dump, et vous pouviez voir le nom des tablespaces présent dans la base, et vous pouviez donc recréer les fichiers tablespaces identiques dans la base de destination.
Ce n’est plus réellement le cas avec la commande EXPDP (existante aussi en 10g, mais moins utilisée), car pour visualiser les fichiers tablespaces à créer, il faut lancer une commande oracle, créant un fichier sql contenant le détail des fichiers à créer. (Remplacer « C:\database\nom_client\imp_exp_dir » par le répertoire de votre choix) Exporter et importer vos base de données Oracle avec DataPump | GuiregCAPITAI...
Lors de votre carrière de DBA, il vous arrivera à plusieurs reprises de devoir exporter et importer des données. Dans quel cas ? Par exemple, si vous voulez faire une sauvegarde basique de vos applications sans toucher à RMAN, par exemple pour vos bases de développement, vous pouvez faire des exports. De plus, cela peut vous être utile dans le cas d’une migration de votre base de données. Vous avez un petit jeu de données à basculer d’une base à une autre ? L’export et l’import est la bonne solution. Comme vous le savez, Oracle fournit des très bons outils pour à peu près toutes les tâches que vous devez faire.
Datapump est accessible via les exécutables expdp et impdp situé dans le dossier bin de votre ORACLE_HOME. Et Aussi, les utilitaires sont accessibles dans Enterprise Manager dans le dernier onglet nommé Data Movement. Avant de pouvoir utiliser DataPump, vous devez créer une Directory Oracle où vous allez stocker vos exports. 1. 1. Export de toute votre base 1. Export d’un schéma 1. 1. 1. Exporter et importer vos base de données Oracle avec DataPump | GuiregCAPITAI...