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Biologie

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Quand la génétique a mis fin au concept de races humaines. 32 % Européen du Nord, 28 % Européen du Sud, 21 % Subsaharien et 14 % Asiatique du Sud-Ouest...

Quand la génétique a mis fin au concept de races humaines

Telles peuvent être les origines génétiques d’un individu. En séquençant pour la première fois le génome humain, en juin 2000, Craig Venter, un chercheur américain, a mis un point final au concept de race, qui a perdu tout fondement scientifique. La recherche génétique a établi deux faits indéniables. Le premier : tous les humains sont très proches. Ils sont encore plus proches entre eux que ne le sont les chimpanzés, alors que les humains sont bien plus nombreux. Chacun d’entre nous dispose de la même collection de gènes.

Et c’est alors que le second fait incontestable s’est imposé : tous les êtres humains actuels sont, au sens propre, des Africains. Nous sommes restés en Afrique pendant encore 200 000 ans environ. Quel est l’impact des éoliennes sur l’environnement ? Le vrai, le faux. Les éoliennes sont-elles mauvaises pour la planète ? C’est un point de désaccord fondamental entre les partisans et les opposants au développement de cette énergie. Le nœud de la discussion ? L’éolien, industrie moderne et récente, s’accompagne d’un cortège d’impacts environnementaux, sur les paysages, le bruit, l’impact pour les oiseaux, etc. Résultat : on n’a jamais aussi bien su quels étaient les impacts d’une source d’énergie, alors qu’il est impossible de quantifier les nuisances des centrales à charbon sur les chauves-souris ou celles de l’industrie nucléaire sur les populations d’oiseaux.

Les éoliennes ont cet avantage que la chaîne de causalité entre la machine et ses effets est simple à établir. Biodiversité : oiseaux et chauves-souris. Peur des rats : pourquoi nous dégoûtent-ils ? Ils grouillent sous nos pieds, vivent dans les égouts sans jamais être vus.

Peur des rats : pourquoi nous dégoûtent-ils ?

A peine les aperçoit-on, tard la nuit, courant le long d'un trottoir ou guettant au pied d'une poubelle. Il y a quelques jours une vidéo a fait parler d'eux : les rats sont sortis des soubassements qu'ils habitent, en masse, pour s'entasser dans une poubelle. Une prolifération qui inquiète d'autant plus que le rat renvoie à l'imaginaire de la peur, des ténèbres. Le rat, un symbole ambivalent Si le rat est aujourd'hui source d'inquiétude, il a longtemps été un symbole ambivalent. "Il se trouve qu’on l’appelle aussi Apollon le dieu aux rats, ou bien « le dieu-rat », en grec, Apollon Smintheus, dit encore "dieu des souris", expliquait Catherine Clément en août 2014, dans l'émission Nous serons comme des Dieux : Apollo Smintheus, est celui qui contribua à la naissance de Troie.

En Asie, le rat est bien mieux perçu qu'en occident. Peste noire et maladies Des rats des champs aux rats des villes Écouter. ECOLOGIE : Trier, manger bio, prendre son vélo... ce n’est pas comme ça qu’on sauvera la planète - Bibliobs - L'Obs. Alors que le gouvernement veut faire inscrire "l'environnement" dans la constitution, "l'Obs" republie le texte du philosophe Slavoj Zizek sur l'écologie.

En décembre 2016, des milliers de citadins chinois asphyxiés par le smog ont dû se réfugier à la campagne dans l’espoir d’y trouver une atmosphère plus respirable. Cette «airpocalypse» a affecté 500 millions de personnes. Dans les grandes agglomérations, la vie quotidienne a pris les apparences d’un film post-apocalyptique: les passants équipés de masques à gaz circulaient dans un sinistre brouillard qui recouvrait les rues comme une chape. Ce contexte a clairement fait apparaître la séparation des classes: avant que le brouillard n’amène à fermer les aéroports, seuls ceux qui avaient les moyens de s’acheter un billet d’avion ont pu quitter les villes. L’airpocalypse n’a cependant pas tardé à faire l’objet d’une normalisation. If humans used animal mating rituals (Humon comics)

Certains animaux sont-ils trop moches pour la science ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Clémentine Thiberge La vie est cruelle, même pour nos amis les bêtes.

Certains animaux sont-ils trop moches pour la science ?

Selon une étude australienne publiée, le 6 mars, dans la Mammal Review (La Revue des mammifères), les animaux moches font l’objet de moins d’études scientifiques que les espèces plus attrayantes. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs des universités de Murdoch et de Curtin ont répertorié 331 mammifères terrestres australiens et les ont répartis en trois catégories : les beaux (good), les méchants (bad) et les moches (ugly). L’équipe de recherche a ensuite comparé les études réalisées sur les différents groupes. Leurs résultats montrent que les beaux animaux (kangourous, koalas, porcs-épics) sont étudiés principalement sur leur physiologie et leur anatomie tandis que les méchants (les espèces invasives comme le lapin australien, les renards ou les souris) font l’objet d’études liées à leur place dans l’écosystème ou au contrôle des espèces.

Espèces en voie de disparition.