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La chasse sur Médiéval et Moyen Age - Medieval et Moyen Age. Mardi 28 avril 2009 2 28 /04 /Avr /2009 18:07 Au Moyen Age, seigneurs et bourgeois pratiquent deux sortes de chasse : la chasse à courre et la volerie. La chasse à courre se pratique en repérant et en poursuivant un animal à cheval avec une meute de chiens. Quand la bête est cernée ou affaiblie, on la met à mort avec un épieu, une dague ou une lance : pour le sanglier l'arme utilisée est l'épée car plus noble, pour le cerf l'homme descend de son cheval. Cette chasse se pratique en forêt dans un espace délimité : surtout pour les cervidés et le sanglier.

Au XV eme siècle, il y aura même tout un cérémonial social avec costumes de saison particuliers, mise à mort et dépeçage. Contrairement à la chasse à courre, la chasse au vol se pratique en terrain découvert et nous serait venue d'Asie Centrale. Ces deux chasses exigent un personnel nombreux et expérimentés : veneurs, chasseurs, fauconniers, valets de chiens. Pour la chasse au vol, on utilise les rapaces de haut vol et ceux de bas vol. LES JOUTES AU MOYEN AGE - LE ROUGE ET LE NOIR. Coutumes et traditions : joutes et tournois au Moyen Age. Histoire, magazine, patrimoine et ancêtres. La France pittoresque. Il faut toutefois reconnaître que, presque de tout temps, chez toutes les nations belliqueuses, l’élite des guerriers s’est exercée, par des combats simulés, au métier des armes, et en France même on trouve des traces de jeux de ce genre avant les Xe et IXe siècles. Aussi longtemps que la chevalerie eut vraiment une mission politique et religieuse à remplir, les tournois furent de sérieuses écoles de prouesse, où les champions cherchaient avant tout à devenir de forts et adroits hommes de guerre, sans beaucoup se soucier de riches armures, de beaux équipements, ou même d’applaudissements de dames.

D’après des documents authentiques, voici quelles étaient les principales circonstances de ces fêtes en France aux XIIe et XIIIe siècles. C’était le prélude du grand combat, de la maître éprouve. Sauval décrit, dans son histoire de Paris, les lices plantées pour les tournois au Palais, au Louvre, à l’hôtel Saint-Paul, à celui des Tournelles, et autres lieux dans Paris. Roman de chevalerie.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Romance. Un roman de chevalerie est une œuvre romanesque, le plus souvent en prose, inspirée ou adaptée des romans courtois et des chansons de geste en vers des XIe et XIIIe siècles. Les premiers romans de chevalerie ont été Lancelot du Lac et Yvain ou le Chevalier au lion, tous deux de Chrétien de Troyes, au XIIe siècle. Le genre littéraire a bénéficié d’une grande popularité au XVIe siècle en Italie avec La Jérusalem délivrée du Tasse, ainsi qu'en Espagne et en France (Amadis de Gaule) et au Portugal (Palmerin d'Angleterre). Le roman de chevalerie a eu un regain de faveur au XVIIIe siècle, en particulier en France avec les adaptations du comte de Tressan, intitulées Extraits de romans de chevalerie, outre sa nouvelle traduction d'Amadis de Gaule.

Chrétien de Troyes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chrétien de Troyes Œuvres principales Ses œuvres majeures sont Érec et Énide, Cligès, Lancelot ou le Chevalier de la charrette écrit probablement en même temps que Yvain ou le Chevalier au lion, et Perceval ou le Conte du Graal, œuvre inachevée. Ses romans reflètent les idéaux politiques et culturels du milieu pour et dans lequel il écrit. Biographie Nous ne savons que peu de chose sur la vie de Chrétien de Troyes, si ce n'est ce qu'il en dit lui-même dans ses ouvrages.

Certitudes sceau de Marie de Champagne Ces deux mécènes sont des personnages de haute noblesse, et ils donnent des repères précieux pour dater avec plus de précision la vie de Chrétien de Troyes et l'écriture de ces deux romans entre 1164 (année du mariage de Marie avec le comte de Champagne Henri le Libéral) et 1191 (année du décès du comte de Flandre)[8] . … et suppositions On[Qui ?] Son œuvre Tous ses textes sont en langue romane et nous ne lui connaissons aucun écrit en latin. Yvain ou le Chevalier au lion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Yvain ou le Chevalier au lion est un roman de chevalerie de Chrétien de Troyes. « Le Chevalier au lion » est l'autre nom de messire Yvain dans les romans courtois, ayant trait aux chevaliers de la Table Ronde.

Écrite vers 1176 en octosyllabes, l'œuvre de Chrétien de Troyes puise son inspiration dans la matière de Bretagne, et probablement à la même source que le conte gallois Owein (ou Le Conte de la Dame à la fontaine), qui ne lui serait pas antérieur, mais aurait été davantage composé d'après une source commune dont il ne reste aucune trace. Cette œuvre nous est connue grâce à neuf manuscrits différents[1]. Le roman a en outre inspiré l'auteur Hartmann von Aue qui l'a adapté en allemand sous le titre d'Iwein. Selon Jean-Pierre Foucher, « l'auteur appréciait Yvain comme son meilleur roman courtois[2]. » Résumé[modifier | modifier le code] La reine Guenièvre, réveillée et attirée par l'histoire, l'écoute.

Yvain combattant Gauvain. La légende du roi Arthur. Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux.

Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. L'aventure est l'élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge : les chevaliers partent prouver leur courage, et surtout, avec la Quête du Graal, éprouvent leur foi et leur vertu… Les exploits du roi Arthur, de Merlin, de Lancelot ou de Perceval continuent, par-delà les siècles, à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aujourd'hui comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Le symbole de l’idéal chevaleresque La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230 Merlin l'Enchanteur, maître du destin. La légende du roi Arthur. Les premiers textes bretons où apparaissent les personnages de la cour arthurienne ne s’attardent pas sur les sentiments des chevaliers.

Les unions comme celle d’Arthur et de Guenièvre, les naissances comme celle d 'Arthur, sont évoquées dans une perspective historique et dynastique. Les héros agissent, combattent, construisent un monde chevaleresque dans lequel l’amour et les sentiments n’ont pas de place. Seule la passion du roi Uterpendragon pour la femme de son vassal, Ygerne, est décrite en quelques lignes : son coup de foudre, ses tourments amoureux et la ruse que lui propose Merlin pour passer une nuit avec Ygerne sont racontés par Geoffroy de Monmouth, puis par Wace. La conception d’Arthur, événement de premier plan dans la légende arthurienne, est ainsi mise en avant. L'amour chez Chrétien de Troyes Le "péché du monde" Au XIIIe siècle le roman arthurien, désormais constitué en genre littéraire connaît un vif succès. Roman de chevalerie.

Littérature au Moyen Age : le roman de chevalerie. REGLES DE L'AMOUR COURTOIS. Littérature et amour courtois (ancien français court, cour princière) - Encyclopédie Larousse. Étymologiquement, le terme « courtois » fait référence à la cour (de l’ancien français cort). En vieux français, le mot corteis prend le sens d'« honnête », « loyal ». Par ailleurs, ce qui est courtois s'oppose à ce qui est « vilain », c'est-à-dire le monde rude et grossier du paysan. Enfin, la notion de courtoisie renvoie à un ensemble de valeurs, de règles de savoir-vivre et surtout à une conception bien particulière de l'amour, car nul ne peut être parfaitement courtois sans aimer. L'amour courtois L’amour courtois est une conception de l'amour d'un homme pour une femme qui est née au xiie s., dans le midi de la France, avec les troubadours occitans, et qui s'est éteinte dans la seconde moitié du xiiie s.

Amour courtois et fin’amor La fin'amor (« amour parfait ») désigne plus précisément une religion de l'amour. Une conception de l'amour issue du modèle féodal : la dame suzeraine La relation amoureuse est régie par un véritable code du « savoir aimer ». La littérature courtoise La tenso.