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Exosquelette et analyse

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Wearable muscle suit makes heavy lifting a cinch. I’M IN a lab in downtown Tokyo full of grinning engineering students, who are peering past PC monitors and half-completed gadgets to watch me try and lift 40 kilograms of rice.

Wearable muscle suit makes heavy lifting a cinch

No mean feat, but luckily I am about to be given a power boost. I shuffle between some boxes and squat down as instructed by research student Hideyuki Umehara, aware of the clutter around me as I fight for floor space with the lower half of a mannequin, an electric wheelchair and an eerily realistic robotic head. Umehara places the bag of rice onto my outstretched arms. Then he presses a switch on the rucksack-like jacket I’m wearing, my hips are propelled forward and gradually my legs straighten until I’m completely upright. It takes a second to register, but the 40 kg of rice I just picked up like a human forklift truck suddenly seem as light as a feather. The muscle suit is one of a series of cybernetic exoskeletons developed by Hiroshi Kobayashi’s team at the Tokyo University of Science in Japan.

Exosquelettes motorisés : les premières étapes avant Iron Man. À notre retour du salon lyonnais Innorobo, nous vous présentions EMY (Enhancing Mobility). Ce programme d'exosquelette activé par la pensée, qui en est au stade expérimental, se propose de faire marcher des personnes atteintes de tétraplégie. EMY n'est pas le seul programme d'exosquelette en route dans le monde. Voici un tour d'horizon des projets en cours et de ce qu'ils proposent. HAL (Cyberdyne) au Japon Le projet HAL est peut-être le plus avancé de tous. Aujourd'hui, 330 de ces exosquelettes sont en service dans des hôpitaux au Japon, plusieurs modèles sont également utilisés sur le chantier de décontamination à Fukushima. Ekso, anciennement e-Legs, et HULC (Ekso Bionics) aux Etats-Unis. 3D-printed robotic Titan Arm wins 2013 James Dyson Award. Nov.7, 2013.

3D-printed robotic Titan Arm wins 2013 James Dyson Award

Raytheon XOS 2 Exoskeleton, Second-Generation Robotics Suit. Exosquelette Interview - EXOSQUELETTE. Un exosquelette pour faciliter le travail des ouvriers- 16 juin 2015. TMS. 44 millions de travailleurs dans l'UE souffrent de troubles musculo-squelettiques (TMS) liés au travail.

Un exosquelette pour faciliter le travail des ouvriers- 16 juin 2015

Ces pathologies sont induites par une cadence élevée, une posture prolongée, des charges excessives ou encore des mouvements répétitifs. À ces différentes causes viennent s’ajouter un trop faible temps de récupération, le stress et certains facteurs personnels. L’exosquelette robotisé pour l’assistance au travail de Kawasaki. La société japonnaise Kawasaki a présenté son exosquelette d’assistance au travail, notamment pour soulever de lourdes charges.

L’exosquelette robotisé pour l’assistance au travail de Kawasaki

Cette combinaison robotique permettra de porter des charges allant de 30Kg à 40Kg, en demandant moins d’efforts à son utilisateur. Des moteurs placés au niveau des genoux et hanches, permettent d’apporter un soutien et une assistance lors des efforts, tandis que la batterie au lithium et l’unité de contrôle de la combinaison robotique sont placés en bas du dos. Sa conception lui permet de s’ajuster afin de s’adapter à la taille de l’utilisateur. Plus d’informations, vidéo et photos de L’exosquelette robotisé pour l’assistance au travail de Kawasaki dans la suite … Vidéo de L’exosquelette robotisé pour l’assistance au travail de Kawasaki : Encore à la phase de prototype, l’exosquelette de Kawasaki est actuellement testé dans ses usines, et devrait être mis en vente d’ici 2ans.

Un exosquelette grand public pour la manutention et les tâches quotidiennes. La marque EXHAUSS a présenté son nouvel exosquelette, le S, durant le salon Préventica qui se déroule de Marseille.

Un exosquelette grand public pour la manutention et les tâches quotidiennes

Ce nouveau modèle, d'abord destiné aux opérateurs industriels et BTP, promet de réduire la pénibilité du travail tout en prévenant les maladies musculo-squelettiques. Dans un second temps, il pourrait également s'ouvrir au grand public... EXHAUSS n'en est pas à son premier essai. La marque française, filiale de la société L'AIGLE qui construit des stabilisateurs de caméras pour le cinéma depuis 2003, avait effectivement lancé un autre modèle d'exosquelette durant le salon Préventica de l'année dernière.

Il s'agissait du modèle W, pour "Workers", le premier exosquelette de portage mécanique au monde, clame son constructeur. Un exosquelette imprimé en 3D redonne l'usage de ses bras à une fillette. La petite américaine Emma Lavelle, atteinte d'une grave maladie l'empêchant de bouger ses bras, peut désormais s'en servir comme bon lui semble.

Un exosquelette imprimé en 3D redonne l'usage de ses bras à une fillette

Ce miracle a eu lieu grâce au WREX, un exosquelette fabriqué... par une imprimante 3D. Emma Lavelle est une petite fille américaine qui souffrait depuis sa naissance d'arthrogrypose, une maladie orpheline provoquant des raideurs articulaires qui empêchent le développement des muscles. Grâce à un exosquelette imprimé en 3D, elle vient pourtant de retrouver l'usage de ses bras. À l'âge de 4 ans, elle découvre donc enfin le plaisir de jouer et de se nourrir elle-même.

Lorsqu'elle est sortie du ventre de sa maman, Emma avait en fait les jambes qui lui entourait la tête au niveau des oreilles. La maman d'Emma, Megan Lavelle, a alors assisté à une conférence où était présenté un exosquelette biomécanique, le Wilmington Robotic Exoskeleton (WREX). Or, ce dispositif est formé de pièces de métal trop lourdes et inadaptées à un enfant de l'âge d'Emma.

Poulpe volant.