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Elevages et abattoirs

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Dans le crâne d'un tueur. Voici un sujet concret auquel la plupart des gens ne pensent même pas, même ceux qui se battent pour les droits des animaux : comment les personnes dont la tâche est de tuer les poulets sont-elles affectées ?

Dans le crâne d'un tueur

C'est que la machine à tuer ne parvient jamais à trancher la gorge de tous ceux qui défilent, surtout de ceux qui n'ont pas été correctement insensibilisés par le bac électrique. Il y a donc un « tueur » dont la tâche consiste à attraper ces poulets de manière à éviter qu'ils soient ébouillantés vivants dans le chaudron. (Évidemment, le tueur ne peut les attraper tous, j'en reparle plus loin.) (En lisant ce qui suit, gardez à l'esprit que je travaillais dans le plus petit de tous les abattoirs de Tyson. Ils en ont des bien plus grands qui traitent des centaines de milliers de poulets par nuit. Voici la situation : votre supérieur vous informe que cette nuit c'est vous qui êtes de service dans a salle de mise à mort. Vous ne pouvez pas les prendre tous, mais vous essayez. Protéger les Animaux & la Nature (P.A.N) Les vaches sont des êtres sensibles, qui ressentent des émotions riches et variées, et qui en liberté jouent, nouent des amitiés, et ont un lien maternel très fort avec leurs petits… Mais dans l’industrie laitière, plus de 70% des vaches laitières subissent l’inhumanité de l’élevage industriel : entassées dans des hangars, elles sont traitées pendant toute leur (courte) vie comme de véritables machines à lait… Grossesses forcées : Pour fournir du lait, la vache doit être soumise à une grossesse chaque année (qui dure 9 mois, comme pour les humains).

Protéger les Animaux & la Nature (P.A.N)

Elle est donc engrossée de force dès l’âge de 15 mois (c’est encore un bébé !) Des alternatives existent… On peut faire le choix de la compassion : Des solutions existent pour ne plus contribuer à toute cette souffrance ! Laissons enfin le lait de vache à qui il appartient de plein droit… Les veaux !! PETIT POISSON DEVIENDRA GRAND… . . .

PETIT POISSON DEVIENDRA GRAND…

Pourvu que Dieu lui prête vie – ou, du moins, pourvu qu’on le laisse en paix ! Avant de devenir végane, j’ai fait les choses par étapes. D’abord la viande rouge, ensuite la viande blanche, puis le poisson. Paradoxalement, j’avais arrêté les produits laitiers et les oeufs bien avant de laisser tomber le poisson – peut-être pas si paradoxalement que cela car c’est mon intolérance aux produits laitiers qui m’a poussée à arrêter d’en consommer, avant que cela ne devienne un véritable choix éthique.

Il n’empêche, j’étais un brin paradoxale : je ne mangeais plus de viande mais je continuais de me gaver de sushis au restaurant japonais… Je crois que c’était la dernière survivance de mon ancien régime carné, l’ultime petite trace de ce qui me rattachait à ma famille, ma manière de leur dire : ‘Mais non, ne vous inquiétez pas, regardez, je mange du poisson !’ Bon, je suis gentille : Oui, on m’a déjà dit de ne pas jouer avec la nourriture… Idée n° 1 : les poissons ne souffrent pas.

Productions Animales.