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Sarkozy propose aux professeurs de travailler plus pour gagner 25% en plus - Presidentielle 2012. Les députés adoptent la «TVA sociale» L'Assemblée nationale a adopté mercredi l'article premier du projet de loi de finances rectificative pour 2012 qui crée la «TVA sociale», un mécanisme censé réduire le coût du travail, stimuler l'emploi et doper la compétitivité de l'économie. Cet article porte de 19,6 à 21,2% le taux de la TVA en contrepartie d'un allègement des charges patronales. >>TVA Sociale: Vos questions, nos réponses par ici Faute d'un nombre suffisant de députés de la majorité, la commission des Finances de l'Assemblée avait rejeté lundi ce dispositif du «collectif» budgétaire. Après ce couac, le Premier ministre François Fillon avait appelé mardi sa majorité à voter «massivement et rapidement» ce texte, la mettant en garde sur le fait que toute division sur la TVA sociale «affaiblirait notre candidat» Nicolas Sarkozy et chacun des députés UMP.

«Une baisse du pouvoir d'achat», dénonce le PS «C'est en réalité une augmentation des prix qui s'annonce, donc une baisse du pouvoir d'achat (...). Reuters. Politique : L'affiche de campagne de Nicolas Sarkozy dévoilée. Pour cette seconde campagne électorale, le président sortant abandonne les paysages ruraux au profit de l'horizon marin. Adieu collines verdoyantes et petit village de campagne. Pour son affiche de campagne 2012, que Le Figaro s'est procurée, le président sortant renonce aux paysages ruraux pour mettre en avant un décor maritime. Seule constante, un ciel bleu azur dénué de tout nuage. L'affiche de campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. De quoi faire écho à sa métaphore du «capitaine qui n'abandonne pas son navire» énoncée lors de sa déclaration de candidature au 20 heures de TF1 mercredi soir. L'abandon de la France rurale au profit d'un paysage maritime évoque également la volonté d'ouverture à l'international de l'actuel président.

Le slogan est aussi le nom de domaine du site du candidat. » La petite histoire du slogan de campagne de Nicolas Sarkozy » Nathalie Kosciusko-Morizet, la voix du candidat » Le noyau dur de l'équipe du candidat Sarkozy. Sarkozy peine à convaincre la presse - Politique. Revue de presse du 16 février 2012 "Un contact perdu" avec les Français pour Pascal Quinio ou "une autre vision de l'avenir " pour Paul Henri du Limbert : l'éditorialiste de Libération et celui du Figaro livrent sans surprise une interprétation diamétralement opposée de l'intervention du chef de l'Etat.

Pour Pascal Quinio, " à force d'en faire trop en faveur du peuple, Nicolas Sarkozy a indiqué qu'il n'avait pas échappé au syndrome classique de l'enfermement dans sa tour d'ivoire élyséenne". A contrario, Paul-Henri du Limbert évoque "une seconde rupture" par opposition à un candidat socialiste "représentant d'une social-démocratie bonhomme que la rigueur des temps a rendu désuète". Mais la plume du Figaro est bien la seule à trouver des vertus aux discours du président. Pour la grande majorité des éditorialistes de la presse régionale, Nicolas Sarkozy a déçu. " Il n'y a dans cette candidature rien qui fasse rêver.

La vraie-fausse campagne du tartuffe de l'Elysée. (Dessin de Louison) Parce qu’il a bien géré sa campagne de 2007, beaucoup pensent encore que le président peut rebondir. Mais la pré campagne totalement abracadabrantesques du candidat non officiel de l’Elysée remet sérieusement en cause une telle hypothèse. Une déclaration de candidature déjà ratée ? Le président de la République sera bien candidat à sa réélection, comme on pouvait le pronostiquer. Toutes ses déclarations, dimanche dernier, lors des vœux à la presse, devant les députés UMP ou en déplacement ont levé le peu d’ambigüité qui pouvait subsister sur le sujet.

Aujourd’hui, les stratèges de l’Elysée se posent les questions de la date de candidature officielle. Un temps envisagée tôt, elle avait été repoussée à mars mais les mauvais sondages plaident pour l’avancer un peu. Une stratégie totalement absurde Tout d’abord, depuis deux semaines, l’UMP critique « l’arrogance » du candidat socialiste. L’agitation comme programme Du même auteur. Sarkozy et Hollande, guest-stars du dîner du Crif. "Oh ! Fillon is here ? " Même quelques journalistes étrangers ont fait le déplacement au dîner annuel du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), dans le très chic Pavillon d'Armenonville, en plein bois de Boulogne, mercredi soir. Il faut pourtant s'armer de patience pour pénétrer dans l'enceinte hypermondaine : les cartons d'invitation et accréditations spéciales ne permettent pas d'éviter les fouilles minutieuses des sacs et le passage par un portique de sécurité.

Et pour cause : outre la venue du Premier ministre, Nicolas Sarkozy, présent pour la deuxième année consécutive, est l'invité d'honneur de ce rendez-vous éminemment politique. Son arrivée aux côtés de la famille du soldat Gilad Shalit est très attendue. Ce n'est pas tout à fait le Palais des festivals : ni marches ni tapis rouge. Enrico Macias embrasse Fillon Christine Kelly, membre du CSA, fait la queue elle aussi pour y entrer. Bayrou brille par son absence "Sarkozy avait l'air sincère, c'était bien" Le piège tendu par Guéant s'est-il refermé sur le PS? Claude Guéant a-t-il réussi son coup? Le ministre de l’Intérieur, auteur d’une sortie polémique ce week-end sur les «civilisations qui ne se valent pas», récidiviste ce mardi matin sur le plateau de la matinale de Canal +, a entraîné une réaction non moins polémique d’un député radical de gauche martiniquais, tranchant avec les réactions fermes mais mesurées des pontes socialistes jusque là sur le sujet.

«Vous, monsieur Guéant, vous nous ramenez jour après jour à ces idéologies européennes qui ont donné naissance aux camps de concentration», a lancé l'élu Serge Letchimy, alors que le ministre semblait rigolard. Résultat: le gouvernement, fait rarissime, quitte l’hémicycle, la séance est suspendue et François Fillon demande à la gauche des excuses. Le piège s’est refermé sur le PS La gauche et le PS se retrouvent pile à l’endroit où François Hollande redoutait que la droite l’entraîne: sur le terrain glissant de la polémique et de l’invective. L’UMP à l’attaque. Angela Merkel en campagne pour la réélection de Sarkozy. Angela Merkel et Nicolas Sarkozy ont affiché leur unité lundi soir, lors d'une interview diffusée pendant le journal de 20 heures de France 2, préenregistrée à la sortie du conseil des ministres franco-allemand.

Dans cet entretien d'une quinzaine de minutes, la chancelière allemande a confirmé qu'elle allait faire campagne en faveur du chef de l'État français. "Nous faisons partie de la même famille politique", a-t-elle expliqué, rappelant que Nicolas Sarkozy avait lui-même mouillé sa chemise pour elle en 2009, quelques mois avant sa reconduction à la chancellerie. Le président français s'est ensuite employé à montrer qu'il n'était pas à la remorque des Allemands, et ce, malgré la décision de Standard and Poor's de retirer à l'Hexagone son triple A et d'épargner l'Allemagne.

"Il ne s'agit pas de se copier, mais nous allons converger", a-t-il expliqué, prenant en exemple la politique familiale de la France admirée par son homologue. François Hollande dans le viseur. Réforme de la dépendance : Sarkozy abandonne une promesse de campagne. L'annonce n'est pas sans précédent. La réforme de la dépendance ne se fera pas. Nicolas Sarkozy vient de déclarer son abandon alors qu'il en avait fait sa dernière priorité. En février 2011, il disait encore au moment de lancer le « grand débat national » sur la question : « Ce débat je l'ai souhaité, je l'ai voulu malgré (…) les mises en garde de ceux, si nombreux, qui le trouvaient trop risqué au regard des enjeux et des échéances électorales.

Une fois de plus, il aurait donc fallu attendre... Mais attendre quoi ? Une réforme sans cesse repoussée depuis 2007 La réforme de la dépendance était l'une des mesures phares du programme de Nicolas Sarkozy en 2007. « Je créerai une cinquième branche de la sécurité sociale pour consacrer suffisamment de moyens à la perte d'autonomie », promettait même le candidat UMP.

Sarkozy à la télévision: l'Allemagne érigée en modèle. En 2007, ses détracteurs l'avaient surnommé "Sarko l'Américain" en raison de ses sympathies transatlantiques. En 2012, les Français rééliront-ils "Sarko le Berlinois" ? S'il n'a pas profité de son intervention sur neuf chaînes de télévision pour officialiser son entrée en campagne, Nicolas Sarkozy a en tout cas joué son va-tout dimanche soir pour tenter d'inverser la courbe du chômage qui explose et celle de ses sondages qui s'effondrent. Et à en croire le nombre de fois où il a cité en exemple l'Allemagne, Angela Merkel ou son prédécesseur, le social-démocrate Gerhard Schröder, le président de la République semble avoir trouvé le modèle sur lequel il souhaite rebâtir sa crédibilité perdue. Merkel, alliée et soutien d'un candidat qui ne dit pas son nom Etrange constat quand on se souvient que Nicolas Sarkozy a débuté son entretien par une pointe d'ironie à l'égard de la chancelière allemande.

Présidentielle : "Il y a un calendrier" par LCP Un programme pour quel bilan ? 1 sur 12. Le président, presque candidat, "ne se dérobera pas" Sarkozy: «Vous n'entendrez plus parler de moi si je suis battu» Nicolas Sarkozy a confié à des journalistes qui l'interrogeaient qu'il arrêterait la politique en cas d'échec à la présidentielle, tout en s'affirmant convaincu d'être en mesure de l'emporter. Lors de son déplacement en Guyane ce week-end, le Président s'est livré à une longue discussion avec des journalistes, dont une de l'AFP, en précisant à plusieurs reprises que ses propos n'étaient pas destinés à être publiés.

Mais ils ont été dévoilés par plusieurs médias. Au cours de cette discussion à bâtons rompus, on lui a demandé ce qu'il ferait, en cas d'échec, s'il arrêterait la politique. Il a répondu : «Oui, j'en ai la certitude. J'ai 56 ans, je fais de la politique depuis trente-cinq ans, j'ai un métier [il est avocat, ndlr], je changerai complètement de vie, vous n'entendrez plus parler de moi si je suis battu.» «Je fais ça pendant cinq ans et je pars faire du fric» Des propos qui peuvent paraître étonnants, mais qui ne sont pas nouveaux dans la bouche de Nicolas Sarkozy.

Peut-être. Taxe Tobin: Sarkozy change radicalement d'avis - VIDÉO. "C'est le bal des hypocrites mes chers compatriotes. Ceux qui me disent 'il ne faut pas faire [la Taxe Tobin] avant les autres', c'est parce qu'ils pensent que les autres ne le feront pas et comme cela on ne le fera pas nous-mêmes", clamait Nicolas Sarkozy le jeudi 19 janvier au sujet d'une nouvelle taxe sur les transactions financières. "La France montrera donc l'exemple, elle fera la taxe sur les transactions financières, elle entraînera derrière l'ensemble de l'Europe et je l'espère l'ensemble du monde".

Un discours volontariste, quitte à ne pas fédérer l'ensemble de l'Europe. Déjà, cette volonté farouche de ponctionner les traders et boursicoteurs a de quoi étonner de la part du président qui a supprimé le 1er janvier 2008 l'impôt de bourse, une taxe qui reposait exactement sur le même principe: 0,3% était prélevé sur le montant de chaque transaction, à l'achat comme à la vente, comprise entre 7630 et 153.000 euros (0,15% au-delà). Nicolas Sarkozy parlera aux Français à la fin du mois - Presidentielle 2012. Annoncera-t-il sa candidature ? En profitera-t-il pour répondre aux critiques de François Hollande ? Une chose est sûre, Nicolas Sarkozy s'exprimera dans quelques jours. Il a annoncé ce dimanche matin, alors que la droite et la gauche se disputent la responsabilité de la perte du triple A de la France, qu'il prendrait la parole «à la fin du mois». «Une crise sans précédent, peut-être depuis un siècle» Nicolas Sarkozy a fait cette annonce lors d'un discours à Amboise (Indre-et-Loire) où il rendait hommage à Michel Debré, un des pères de la Vème République.

Dans son discours, il a évoqué les réformes qu'il proposera mercredi aux partenaires sociaux lors du sommet social qu'il a organisé. « Je leur dirai les décisions importantes qu'il faut prendre sans perdre de temps», a expliqué le chef de l'Etat. «Je leur dirai que la crise peut être surmontée, pourvu que nous ayons la volonté collective et la force de réformer notre pays, a expliqué le chef de l'Etat.

Nicolas Sarkozy pourrait reproposer une "union civile" pour les couples homosexuels. Les comptes de la campagne de Sarkozy en 2007 vont être saisis par la justice - Présidentielle 2012. Les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2007 font l'objet d'une réquisition judiciaire, révèle Sud Ouest, mardi 10 janvier. "Le millier de documents déposés à la commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) retraçant les dépenses et surtout les recettes déclarées par le candidat devrait être prochainement passé au peigne fin par des juges d'instruction", écrit le site du quotidien.

Ces réquisitions s'inscrivent dans le cadre de l'affaire Bettencourt, désormais instruite à Bordeaux. Le juge Jean-Michel Gentil constate que le nom d'Eric Woerth, ancien ministre, ancien trésorier de l'UMP et ancien président de l'Association de financement pour la campagne de Nicolas Sarkozy, est abondamment cité. Claire Thibout, la comptable de Liliane Bettencourt, a ainsi affirmé lui avoir remis des enveloppes de billets. A Mulhouse, Nicolas Sarkozy dénonce une "folie" de François Hollande.

Nicolas Sarkozy : son bilan, son boulet - Le bilan de Sarkozy. L’équation de la présidentielle, cru 2012, est sans doute plus simple qu’on ne veut bien le dire. Cela tient d’abord au contexte. La crise était encore l’année dernière essentiellement financière et internationale. Elle prend désormais un tour à la fois national et social. Montée du chomage, pression sur le pouvoir d’achat, avec, en toile de fond, la dette qui renforce la menace des agences de notation. Pour la première fois depuis plus de quinze ans – depuis 1995, en l’occurrence –, une compétition présidentielle va se jouer à l’écart des thématiques sécuritaires qui firent le miel de Jacques Chirac, en 2002, et de Nicolas Sarkozy, en 2007. Jugement sévère y compris à droite Est-ce jouable ?

Or, pour 70% des Français, ledit bilan reste globalement négatif (voir tableau 1). 33% l’estiment même "très négatif". Un lien brisé avec les Français La faute à la crise ? Ce chiffre-là est à coup sûr le plus inquiétant pour lui. Le style, c’est l’homme. Un président paradoxal, dur et trop peu cru. Sarkozy, ou la stratégie de la victimisation. Nicolas Sarkozy a un souci: les Français ne l'aiment pas. Pour un candidat à la présidentielle, c'est fort ennuyeux. Luc Ferry, ancien ministre de l'Education nationale, a évoqué «un problème majeur car la détestation est personnelle».

A droite, tous ceux qui ne se voilent pas la face pensent pareil. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne croient pas dans les chances de leur mentor de l'emporter. A gauche, François Hollande a depuis longtemps théorisé sur le rejet par les Français de la personnalité du président de la République. Dès lors, que faire? «Du sang et des larmes» Et quitte à jouer sur ce registre autant aller jusqu'au bout. A l'UMP, l'impopularité chronique du président est longtemps resté un sujet tabou. L'autre versant de la stratégie désormais développée consiste à jouer la victimisation. >>Retrouvez toutes les chroniques d'Antoine Guiral Antoine GUIRAL. Sarkozy veut reconquérir le vote enseignant.

Nicolas Sarkozy veut une Education meilleure pour le même prix. Sondage : Sarkozy rattrape Hollande. Fillon accuse Hollande de «scorpionite» La cote de confiance de Sarkozy s'effrite encore.