REY Benoît. Après 6 ans d’odyssée de Curiosity sur Mars, l’heure de vérité ! Science&Vie. Août 2018. p.91-98. Composant structurel en plastique renforcé de fibres avec des propriétés parafoudre obtenus par carbone nanotubes et couches métalliques. BARUCH Jacques-Olivier. Un GPS stellaire pour naviguer dans l’espace. Sciences et Avenir. Avril 2018. p.48-50. Le télescope pour la mission Wfirst de la Nasa est entré dans une nouvelle phase. Décélérateur pour corps en atterrissage dans le domaine aérospatial. SpaceX réussit à poser le 1er étage de sa fusée sur une barge flottante. C'est une grande première pour SpaceX.
L'entreprise américaine a réussi à faire atterrir le premier étage de sa fusée Falcon 9, haut de 70 mètres, sur une barge flottante dans l'océan Atlantique. Cet atterrissage s'est produit moins de dix minutes après le décollage de la fusée à Cap Canaveral, en Floride. Le lanceur a d'abord propulsé la capsule de fret Dragon vers la Station spatiale internationale (ISS), la première mission de fret de SpaceX depuis l'accident de sa fusée il y a neuf mois. Deux minutes et demie après la séparation du reste du lanceur, le premier étage de Falcon 9, qui se trouvait alors à plus de 100 kilomètres d'altitude, a commencé sa descente avec des moteurs en rétrofusée, se posant en douceur sur une petite plateforme en mer.
L'ESA imprime des os et de la peau en 3D pour aller sur Mars : Siècle Digital. Dans le cadre des mesures de sécurité, pour une future expédition sur Mars, des scientifiques de l’ESA (l’agence spatiale européenne) travaillent sur la bio-impression 3D, d’os et de peau.
Une fois lancés dans cette mission spatiale, les astronautes ne pourront plus faire marche arrière. Si jamais certains d’entre eux se fracturent un os, ou se brûlent, ils pourraient s’en sortir grâce à ces échantillons de peau et d’os. Des os et de la peau bio-imprimés Alors que des scientifiques ont déjà réussi à imprimer une cornée en 3D, les traitements des patients avec de la peau ou des os imprimés en 3D, n’en est qu’à ses balbutiements sur Terre. Pourtant, les scientifiques travaillant sur les missions spatiales tentent d’accélérer la cadence, pour pouvoir répondre aux attentes de l’ESA (l’European Space Agency). Avancée technologique de la Nasa pour de nouveaux atterrissage. NASA will need ultra-precise entry, descent and landing technology to land the first woman and next man safely on the Moon in 2024.
NASA is developing an advanced suite of sensors, avionics and algorithms to avoid hazards and perform extremely safe and precise landings on planetary surfaces. One of those critical landing technologies is navigation Doppler lidar (NDL), which is used to determine precise vehicle velocity and position. The new NDL unit, being developed at NASA’s Langley Research Center in Hampton, Virginia, is comprised of a small electronics box connected by fiberoptic cables to three lenses that transmit laser beams to an anticipated distance greater than 4 miles on the Moon and 2.5 miles on Earth. De l’énergie nucléaire pour les vaisseaux spatiaux européens.
Aller toujours plus loin, plus vite : l’exploration spatiale passe par la mise au point de nouveaux modes de propulsion des vaisseaux spatiaux.
L’utilisation du plutonium 238 comme source d’énergie a déjà permis de repousser les limites de nos connaissances sur le système solaire. Mais sa fabrication a été interrompue et les stocks s’amenuisent… ne permettant plus qu’un nombre limité de missions. Un enjeu qui a conduit l’Europe à rechercher des technologies alternatives. L’américium 241 pourrait bien être la clé de la prochaine génération d’engins spatiaux.
La Nasa et l’Esa s’associent pour dévier des astéroïdes potentiellement dangereux. Du 11 au 13 septembre, un séminaire réunissant la Nasa, l’ESA et d’autres agences spatiales du monde entier, se tiendra à Rome.
L’objectif est de discuter de la mission « Asteroid Impact Deflection Method » (AIDA). Lancée en 2015, elle a pour objectif de trouver des moyens de dévier des astéroïdes potentiellement dangereux pour la Terre, rapporte le site Engadget. D’ici octobre 2022, cette mission prévoit d’envoyer deux engins en direction de l’astéroïde binaire Didymos. Le premier d’entre eux, baptisé DART, devra entrer en collision avec l’astéroïde tandis que le deuxième, CubeSat, sera chargé d’analyser les effets à court terme de cet impact. Ensuite, l’Agence spatiale européenne enverra un nouvel engin nommé Hera, en 2024, afin d’étudier les effets à long terme de cette collision.
Premier reflet au monde d'une fusée de classe orbitale. Atterrissage automatique réussi avec navigation assistée par vision. Automatic landings have long been standard procedure for commercial aircraft.
While major airports have the infrastructure necessary to ensure the safe navigation of the aircraft, this is usually not the case at smaller airports. Researchers at the Technical University of Munich (TUM) and TU Braunschweig have now demonstrated a completely automatic landing with vision assisted navigation that functions properly without the need for ground-based systems. At large airports the Instrument Landing System (ILS) makes it possible for commercial aircraft to land automatically with great precision. Antennas send radio signals to the autopilot to make sure it navigates to the runway safely. Procedures are also currently being developed that will allow automatic landing based on satellite navigation. However, systems like these are not available for general aviation at smaller airports, which is a problem in case of poor visibility -- then aircraft simply cannot fly.