background preloader

Etude 2016

Facebook Twitter

GESTION 56. Le marketing sensoriel ou comment vendre en stimulant les sens. Avec la montée des valeurs immatérielles de ces dernières décennies les contours d’une nouvelle consommation se sont dessinés (Paitra 2008) et, avec eux se sont intensifiés les recherches et pratiques dans le domaine du Marketing sensoriel. Ainsi et depuis les années cinquante, les sens du consommateur sont le centre d’intérêt des chercheurs en Marketing, la question de stimuli visuels, tactiles, olfactifs, auditifs et gustatifs, est aujourd’hui ardemment relancée. L’ambiance accommodante d’une boutique, une odeur aromatique, une musique affriolante, des couleurs attrayantes… même si l’on ne s’en rend pas souvent compte, le marketing sensoriel peut expliquer la plupart de nos comportements d’achat.

Qu’est ce que le Marketing sensoriel ? Origine du marketing sensorielEn 1973, Kotler a souligné « le besoin des marques à se positionner autrement que par le prix ou l’assortiment des produits ». Il relevait particulièrement l’importance de l’ambiance des points de vente. Marketing Gustatif. Marketing Sensoriel : quand les marques charment vos 5 sens !

Publié par Emilie Moronvalle le 1 février 2013 dans le Blog | 14 commentaires Dans cet article, je vous propose de découvrir le Marketing Sensoriel, à savoir, le Marketing qui fait appel aux 5 sens du consommateur pour l’amener à acheter un produit. Tout d’abord, il convient de vous rappeler en quoi consiste cette technique originale du Marketing. Le marketing Sensoriel, c’est quoi ? Le marketing Sensoriel regroupe l’ensemble des techniques marketing visant à utiliser un ou plusieurs des 5 sens pour favoriser l’achat d’un produit ou service.

Son objectif est de séduire le consommateur tout en stimulant ses sens dans le but d’influencer favorablement son comportement vis-à-vis d’un produit ou au sein d’un point de vente. La sollicitation des sens se fait essentiellement au niveau du produit ou du point de vente. La vue, le toucher et le goût font évidemment depuis longtemps partie intégrante du marketing, notamment avec les produits alimentaires. Le marketing auditif Le marketing tactile. En Grande Bretagne, le hard discount grignote. En France, le hard discount, même en train de monter en gamme, perd des parts de marché par rapport à la distribution "traditionnelle" et voit même son parc de magasins se rétrécir. En Grande-Bretagne, pays de l’"every day low price" (prix bas tous les jours), ce qui a longtemps freiné les ardeurs du hard, c’est exactement l’inverse qui se produit. Même si le "HD" y est beaucoup plus confidentiel que dans l’Hexagone.

Sur les 12 derniers mois, Kantar Worldpanel relève en effet un effritement des parts de marché du "big four" (Tesco, Asda, Sainsbury’s, Morrisons), au profit d’Aldi ou Lidl. Un client britannique sur deux fréquente le hard Dans le détail, les parts de marché de Tesco s’érodent à 29,9% début décembre, contre 30,6% voilà un an. A l’inverse, les discounters affichent des croissances de vente record, de l’ordre de 30,7% pour Aldi, et de 15,5% pour Lidl. La fabuleuse montée du hard discount en France. Longtemps considéré comme le « supermarché du pauvre », le hard discount encore appelé maxi-discompte, séduit une clientèle de plus en plus large.

Selon une récente étude de l’Institut Iri Sécodip, 62% des Français ont fait, au moins, une fois leurs courses dans un magasin de ce type en 2002. La progression de ce circuit de distribution est impressionnante puisque la première implantation d’un hard discount en France remonte à 1988. Tantôt magasin de proximité, tantôt magasin de grosses courses alimentaires, ce circuit rivalise de plus en plus avec la grande distribution alimentaire « classique » que sont les hypers et les supermarchés.

En outre, le passage à l’euro a contribué en partie au développement de cette forme de distribution. En ne touchant pas au prix, les enseignes de hard discount ont rassuré le consommateur à un moment où ceux-ci avaient le sentiment que d’autres profitaient de la situation. Qu’appelle t’on hard discount ? Les clients qui y achètent les produits de base. Le hard discount c'est fini, vive le smart discount ! Les consommateurs souhaitent acheter pas cher, mais ne veulent pas que cela fasse cheap.

Pour continuer à les séduire, le hard discount doit se réinventer et monter en gamme, sans augmenter les prix. Une équation difficile. Un plan social laissant près de 1.000 salariés sur le carreau, un tiers des magasins fermés : La Halle, l'enseigne à bas prix du groupe Vivarte, n'a pas résisté à la déferlante Primark , venue d'Irlande. En deux ans, avec seulement cinq magasins en France, ce nouveau roi de la fringue pas chère a balayé ses concurrents. Réconcilier pouvoir d'achat et plaisir d'acheter. Et si la crise se prolongeait, ces réseaux pourraient-ils espérer remonter la pente ?

Très bon marché, oui, mais avec un vrai service. Cash-machines dans le textile et la cosmétique. Le supermarché le plus rentable d'Europe bichonne ses clients. Des chasses au trésor à la mode américaine. Pauline Darasse Les 6 clés du smart discount . . . . . . Le vrac au secours du smart La fin de l'emballage ?