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« Je suis un enfant du Lebensborn » - Le Parisien. Pour lui, le Lebensborn est encore bien moins qu'un vague souvenir.

« Je suis un enfant du Lebensborn » - Le Parisien

Erwin Grinski a vu le jour un matin de mai 1944 à la « fabrique des enfants parfaits » de Lamorlaye. Après y avoir séjourné les deux premiers mois de son existence, il a définitivement quitté cette maternité « spéciale » avec sa mère. Un épisode tabou que cette dernière, qui l'a élevé seule, a toujours tenu secret. « Elle se contentait de me dire que j'étais né dans le château des Menier (voir encadré), sans plus », résume celui qui a passé son enfance à Saint-Germain-en-Laye avant de s'installer à Avignon. « Je savais que j'avais des origines polonaises du côté de ma mère, mais j'ai compris que mon géniteur (il insiste sur ce terme) était allemand seulement dans les années 1980, poursuit Erwin avec un accent chantant.

Environ 200 enfants « Bien sûr, ça m'a fait quelque chose de découvrir que j'étais un enfant du Lebensborn, mais je ne me suis pas vraiment senti très concerné, nuance-t-il. Résistance allemande au nazisme. Cet article contient une ou plusieurs listes(avril 2015).

Résistance allemande au nazisme

Cet article contient une ou plusieurs listes. Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items. La résistance allemande au nazisme (1933-1945), longtemps méconnue hors d'Allemagne, s'est manifestée sous diverses formes, en provenance de tous les milieux politiques, sociaux et confessionnels, quoique les communistes aient organisé les groupes de résistance actifs les plus importants[1].

On distingue plusieurs formes de résistance au nazisme à l'intérieur de l'Allemagne même et des territoires annexés. Un phénomène important[modifier | modifier le code] Les statistiques de l'appareil répressif nazi, en particulier de la Gestapo et des divers tribunaux, donnent une idée de l'ampleur de la résistance allemande au nazisme : Membres de groupe : HistoQuiz/Les jeunes filles allemandes « enrôlées » sous la bannière nazie de 1923 à 1945. Lebensborn. Infirmière dans un établissement du Lebensborn (1943).

Lebensborn

Le Lebensborn e. V. (Lebensborn eingetragener Verein, en français « Association enregistrée Lebensborn ») était une association de l'Allemagne nationale-socialiste, patronnée par l'État et gérée par la SS, dont le but était d'accélérer la création et le développement d'une race aryenne parfaitement pure et dominante. Le terme « Lebensborn » est un néologisme formé à partir de « Leben » (« vie ») et « Born » (« fontaine », en allemand ancien).

L'éducation sous le troisième Reich. Les jeunesses Hitlériennes. Bien que leur esprit fût délibérément empoisonné, leur scolarité toujours interrompue, l'influence familiale très largement remplacée, les garçons et les filles, les jeunes gens et les jeunes femmes semblaient parfaitement heureux, ravis de mener la vie d'un jeune hitlérien.

Les jeunesses Hitlériennes

Et, sans aucun doute, cette façon de réunir les enfants de toutes les classes et de tous les niveaux de la société, de faire partager des tâches communes aux enfants des familles pauvres comme à ceux des familles riches, à ceux dont le père était ouvrier, paysan, homme d'affaires ou aristocrate, cette méthode avait du bon. Dans la plupart des cas, cela ne faisait aucun mal à un garçon et à une fille des villes de passer six mois dans le service du travail obligatoire, où ils vivaient au grand air, apprenaient la valeur du travail manuel et l'intérêt qu'il y a à s'entendre avec ceux qui n'ont pas reçu la même éducation. Jeunesses hitlériennes: Enquête sur la génération nazie - Daniel-Charles Luytens. Sous l'Allemagne nazie, une jeunesse insoumise. L'Allemagne avait aussi ses rebelles, qu'ils soient hipsters, "Swing Kids" (portant des pantalons larges et dansant sur la musique interdite) ou encore membres de la "Rose blanche", un vrai groupe de résistance clandestin.

Sous l'Allemagne nazie, une jeunesse insoumise

Hipsters des années 1940 En 1938, dans un discours prononcé à Reichenberg, Hitler exprimait sans détour son opinion sur l'avenir de la jeunesse allemande. Il dressait l'image du parcours d'un citoyen-modèle du Troisième Reich: la Jeunesse Allemande (Deutsches Jungvolk), les Jeunesses Hitlériennes (Hitlerjugend), puis le parti ou peut-être la Wehrmacht. "Et ils ne seront plus jamais libres — de toute leur vie…". Évidemment, beaucoup de jeunes refusaient de se soumettre à une telle vision. Image du film "Swing Kids", réalisé par Thomas Carter (1993) Jeunesses hitlériennes. Un groupe de membres des Jeunesses hitlériennes.

Jeunesses hitlériennes

Insigne des Jeunesses hitlériennes. La Hitlerjugend (en allemand : /ˈhɪtlɐˌjuːɡn̩t/[1] Écouter; abrégé HJ, en allemand : /haːˈjɔt/[2] Écouter), littéralement la Jeunesse hitlérienne, en français les Jeunesses hitlériennes, était une organisation regroupant les jeunes du Parti nazi. Elle fut active entre 1926 et 1945. Origines[modifier | modifier le code] La première organisation des jeunes du Parti nazi est fondée le 13 mai 1922 à Munich sous le nom de Jungsturm Adolf Hitler, plus ou moins traduisible en français par « Jeune brigade d'assaut Adolf Hitler ».

Elle est refondée le 4 juillet 1926 lors du deuxième congrès du Parti nazi, sous le nom de Hitlerjugend.