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Rio + 20

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Rio 2012. Blogue Rio 2012 de Scott McKay - Scott McKay à Rio +20. Quel plaidoyer que celui qui a été livré hier matin par la jeune Inuite Minny Molly devant Jean Charest! Non seulement la plupart des Inuits du Nunavik n’appuient pas le Plan Nord, dénonce-t-elle, mais la plupart n’en ont même pas encore entendu parler. « Je n’ai jamais eu vent du Plan Nord avant la fin de l’année dernière, déplore-t-elle. Il s’agit pourtant d’un chantier qui touche notre Terre, l’endroit où nous vivons et dont nous dépendons tous », a-t-elle précisé, affirmant que son peuple vit en ce moment dans la peur de l’avenir.

Elle a demandé à Jean Charest pourquoi on n’a pas demandé à ses concitoyens leur avis sur ce que les minières allaient faire chez eux… Elle a voulu savoir ce qu’il faut comprendre lorsque des Inuits interceptent des conversations de gens du Sud, dans les hôtels et restaurants de leur région, où chacun se réjouit à l’avance des profits que l’on se promet d’engranger… Son mot de la fin? Megastars of the Earth Summit. Caroline BennettRaoni Metuktire, 82, center, has led demonstrations against the construction of the Belo Monte dam during the Rio+20 conference.

The protest sign addresses Brazil’s president, Dilma Rousseff, who has championed industrial development. “How are you going to look?” It asks. RIO DE JANEIRO — If the Rio+20 conference on sustainable development has been criticized for being short on results, the mega-event has at least made the city a stage for a colorful cast of political and environmental personalities.

Absent many of the heavyweights, including President Obama and Angela Merkel, the German chancellor, new faces like Brígida de Souza, a Brazilian feminist, and Erasmus Vinhuyzen, a Dutch seven-month-old, have been the headline makers. Ms. With meaningful commitments from recession-leery world leaders scarce, Iran’s president, Mahmoud Ahmadinejad, made one of the biggest splashes simply by coming and delivering a speech. “I am very worried about the Belo Monte dam,” Raoni said. GaïaPresse - Le portail de nouvelles sur l'environnement au Québec. Rio+20 : du développement durable à l’économie verte, quels enjeux ? Quelle alternative ? | Cúpula dos Povos na Rio+20. Article produit par Alter-Echos Du 20 au 22 juin, Rio de Janeiro (Brésil) accueillera une nouvelle Conférence des Nations-Unies pour un Développement Durable (CNUDD), vingt ans après le Sommet de la Terre de 1992, déjà à Rio. Sujet principal : « l’économie verte », qui est en passe d’être promue par les institutions internationales comme la solution aux multiples crises actuelles, comme le fut le développement durable en son temps.

Que signifie passer du développement durable à l’économie verte ? Que se cache-t-il derrière ce nouveau concept d’économie verte : la croissance verte ? Cette vidéo peut-être obtenue en format DVD pour des projections publiques en contactant Alter-Echos. Suivez Équiterre à Rio+20. Du 20 au 22 juin prochain se tiendra la prochaine Conférence des Nations Unies sur le développement durable, communément appelé Rio+20, à Rio de Janeiro au Brésil.

Chaque décennie, les leaders, chefs d’État et représentants de la société civile se rencontrent pour faire un bilan de l’état des engagements pris en matière de développement durable, d’identifier les défis à relever, de se fixer des objectifs et de renouveler l’engagement politique des gouvernements. Cet événement est donc primordial pour mobiliser les dirigeants du monde entier et les représentants de la société civile sur les enjeux environnementaux et sociaux actuels et ceux à venir. La prochaine conférence portera plus précisément sur le développement de l'économie verte et l’éradication de la pauvreté. Comment apprendre à travailler ensemble, à penser globalement tout en agissant localement, afin que des décisions prennent racine chez nous ? Écoutez la délégation d’Équiterre vous parler de Rio+20 Gaiapresse.

Charest sévèrement critiqué à Rio pour son Plan Nord | Patrice Bergeron | Politique québécoise. Invité à présenter son projet de développement nordique à Rio de Janeiro, au Brésil, en marge de la Conférence des Nations unies sur le développement durable, il a été interpellé par la présidente de l'Initiative boréale canadienne, après avoir été louangé par un groupe écologiste américain.

Suzann Méthot a pris la parole à la suite du premier ministre devant un parterre d'une bonne centaine de personnes, dont plusieurs arboraient le carré rouge de la contestation étudiante. Elle a déploré que la protection des territoires et les consultations des populations soient négligées au profit de l'activité industrielle au nord du 49e parallèle, la vaste zone de 1,2 million de km2 touchée par le Plan Nord.

Un an après le lancement du Plan Nord, en mai 2011, «notre analyse indique que les aspects de conservation et les aspects qui ont trait aux populations ne vont pas à la même vitesse que le développement économique pour lequel on investit déjà beaucoup. M. Un peu plus tôt en journée, M. M. Le projet Charest n'est pas applaudi partout. Les écologistes québécois n'appuieront pas le Plan Nord tout comme les membres de deux puissantes associations autochtones, soit l'Assemblée des premières nations et l'Alliance stratégique innue, laquelle représente plusieurs communautés importantes de la Côte-Nord et de la Basse-Côte-Nord, soit un des premiers territoires touchés par le plan du premier ministre Jean Charest.

Par contre, comme c'est généralement le cas, le Conseil du patronat du Québec appuie ce «levier pour la prospérité du Québec» tandis que la Chambre de commerce de Montréal y voit du bon en raison des retombées pour les grandes entreprises de génie-conseil, de construction et pour les sièges sociaux des entreprises d'exploration et d'exploitation des ressources naturelles. Pour la FTQ, «il est essentiel que tout ce plan de développement se fasse dans le respect des populations, dont les populations autochtones, et du respect de l'environnement tout en s'assurant que le Québec obtienne sa juste part des redevances. Sommet Rio+20: de modestes ambitions | Charles Côté | Politique verte. 130 chefs d'État C'est le nombre de chefs d'État et de gouvernement qui doivent se rendre à Rio pour prendre part à la Conférence des Nations unies sur le développement durable.

Cependant, plusieurs leaders mondiaux brilleront par leur absence. Le président français François Hollande est le seul dirigeant d'un pays du G7 attendu à Rio. Accaparé par la campagne présidentielle, Barack Obama n'y sera pas, mais il y a délégué la secrétaire d'État Hillary Clinton. Le premier ministre britannique David Cameron et la chancelière allemande Angela Merkel n'y seront pas non plus. Le Canada sera représenté par le ministre de l'Environnement Peter Kent. En revanche, les économies émergentes seront présentes en force au sommet de Rio. Mais l'Inde et d'autres pays émergents demeurent braqués contre toute tentative d'enrayer leur économie au nom de l'environnement. Un thème : l'avenir que nous voulons Un certain consensus est possible. Cependant, le succès paraît difficile sur plusieurs sujets. L'ONU lance un indice vert mesurant les dommages à la nature | Christine Courcol | Environnement.

Présenté à l'occasion de la conférence sur le développement durable Rio+20 par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), ce PIB vert --»Indice de richesse globale» (Inclusive wealth index, IWI en anglais)-- veut tenir compte de «toutes les composantes de la richesse dans un pays» et de leur évolution dans le temps, souligne le PNUE dans son rapport. Il s'agit de fournir ainsi «le véritable état de la richesse du pays et la durabilité de sa croissance», alors que le Produit intérieur brut (PIB) et l'Indice de développement humain (IDH) ne tiennent compte que «du court terme». L'IDH est calculé à partir de l'espérance de vie, du niveau d'éducation et du niveau de vie. L'IWI fait apparaître que les hausses du PIB et de l'IDH se font souvent au détriment du capital naturel, et que les pays dont la croissance est la plus élevée sont aussi ceux dont les ressources naturelles connaissent une dégradation rapide.

Rio+20 Earth Summit: campaigners decry final document | Environment. Amid doubt, disappointment and division, the world's governments came together in Rio on Friday to declare "a pathway for a sustainable century". At the close of the Rio+20 Earth Summit, heads of state and ministers from more than 190 nations signed off on a plan to set global sustainable development goals and other measures to strengthen global environmental management, tighten protection the oceans, improve food security and promote a "green economy". After more than a year of negotiations and a 10-day mega-conference involving 45,000 people, the wide-ranging outcome document – The Future We Want – was lambasted by environmentalists and anti-poverty campaigners for lacking the detail and ambition needed to address the challenges posed by a deteriorating environment, worsening inequality and a global population expected to rise from 7bn to 9bn by 2050.

US secretary of state Hillary Clinton said it was a time to be optimistic. "Our final document is an opportunity that has been missed. Sommet de Rio: Kent s'attaque à la «désinformation» | Patrice Bergeron | Environnement. M. Kent représente le Canada à la Conférence des Nations unies sur le développement durable, un sommet anniversaire qui a lieu 20 ans après le premier grand rendez-vous écologique de l'ONU au même endroit en 1992, qui donna cinq ans plus tard le protocole de Kyoto.

Le Canada a souvent mauvaise presse sur le plan environnemental depuis l'arrivée du gouvernement Harper, qui a notamment renoncé à atteindre les cibles de réduction des gaz à effet de serre (GES) du protocole de Kyoto. Non seulement plusieurs groupes écologistes canadiens ont sévèrement critiqué le bilan du gouvernement conservateur, mais plusieurs organisations internationales ont fait de même. Le gouvernement Harper le leur rend bien, puisqu'il n'a jamais caché son hostilité à l'égard des environnementalistes.

«Il y a beaucoup de désinformation», a déclaré M. Kent au cours d'un point de presse au sortir d'une réunion de la Francophonie, au centre des congrès de Rio. Rio+20 - Le Canada s’attire la réprobation générale. Rio +20 – Remettre l’environnement au centre des priorités. 10 + 1 questions avec Steven Guilbeault | Nathalie Collard | En vrac. La loi C-38 adoptée cette semaine comporte plusieurs dispositions concernant l'environnement qui sont perçues comme un recul. Pourquoi? Les révisions contenues dans la loi C-38 émasculent entre autres les lois et règlements concernant l'évaluation environnementale et la protection des espèces animales et végétales. En ce qui concerne l'évaluation de grands projets, on ne fera plus appel à des critères objectifs mais bien au pouvoir discrétionnaire du ministre.

Sous prétexte que les processus existants étaient longs et qu'ils faisaient appel à trop d'intervenants, on a sorti la scie mécanique plutôt que le scalpel pour les améliorer. Une autre disposition de cette loi menace le financement des groupes de pression. Cette disposition est une attaque en règle contre tous les groupes qui ne partagent pas l'idéologie conservatrice, qu'ils soient écologistes, pacifistes ou féministes. Cette semaine, on a appris que le Canada n'atteindrait pas ses objectifs en matière de réduction des GES. Rio+20, vers quelle déclaration on se dirige? Rio+20 : perspectives d'actions dans l'espace francophone. La Francophonie a tenu le 21 juin une concertation de haut niveau des délégations de ses États et gouvernements membres, réunissant plus de 150 participants, intitulée " Après Rio+20 : des perspectives d'actions dans l'espace francophone ". Placée sous la présidence de la Confédération Suisse et ouverte par Clément Duhaime, Administrateur de l'OIF, la rencontre s'est déroulée en présence de Boni Yayi, Président du Bénin, Jean Charest, Premier ministre du Québec, Jean Marc Nollet, Vice-premier ministre, chargé de l'Environnement de la Région Wallonne, Brice Lalonde, Coordinateur exécutif de Rio+20, Mohamed Ibn Chambas, Secrétaire général du Groupe ACP, ainsi que de plusieurs ministres francophones.

Source : OIF. Rio+20 : ni décision, ni objectif - Environnement. Les 193 pays de l'Onu étaient rassemblés à Rio, au Brésil, pour faire le point sur 20 ans de promesses pour éradiquer la pauvreté tout en respectant l'environnement. De peur de faire le constat d'un échec, la centaine de chefs d'État n'a pas fait de bilan. Les associations écologistes ou de lutte contre la pauvreté ne sont même pas déçues, elles n'attendaient rien ou presque du sommet "Rio+20".

Finalement, 20 ans après le premier sommet de Rio et ses 2.500 recommandations pour le XXIe siècle, les chefs d'État venus au Brésil discuter de pauvreté et d'environnement accouchent d'un texte "très en deçà des attentes", expliquent les associations. Ban Ki-Moon lançait "le défi faim zéro" cette semaine pour faire reculer la faim dans le monde, là encore les associations ironisent : "On ne peut pas avoir zéro faim avec zéro argent.

" Pendant la crise, les priorités sont ailleurs Le texte, très consensuel et "ronronnant" explique les militants, risque de ne pas faire changer les choses. Rio+20 : "échec et manque d'ambition" Rio+20 adopte un plan pour l'environnement sans engagement. Le sommet de l'ONU sur le développement durable Rio+20 a adopté vendredi une déclaration finale qui ouvre la voie à une croissance verte de la planète, plus écologique et sociale, mais sans engagements précis.

Quelque 188 pays ont approuvé par consensus ce texte de 53 pages intitulé "L'avenir que nous voulons", à l'issue d'un sommet de trois jours auquel ont participé 86 chefs d'Etat et de gouvernement. La déclaration a été saluée par les Nations unies et les Etats-Unis mais très critiqué par la société civile pour son manque d'ambition. Des milliers de militants ont clamé leur déception pendant les trois jours du sommet, dénonçant l'"échec" de Rio+20.

"On remet en ordre les fauteuils sur le pont du Titanic alors qu'il est en train de sombrer", a résumé Kumi Naidoo, directeur général de Greenpeace International. Feuille de route Le principal acquis est la décision de lancer des "Objectifs du développement durable" (ODD) sur le modèle de ceux du Millénaire adoptés en 2000 par l'ONU. Rio + 20 - Le Sommet des peuples cible la mondialisation.

Rio+20 : perspectives d'actions dans l'espace francophone. Rapport de l'OIF/IEPF : La gouvernance du développement durable dans la Francophonie. Rio+20 : Une manifestation de rue pour une Conférence sans ambition. Rio+20 : Une manifestation de rue pour une Conférence sans ambition Pierre Vaudois Pereira da Silva, ENERGIES 2050, pour l'IEPF. ENERGIES 2050 a participé à la manifestation du 20 juin, qui partait à 14h de Candelária en direction de Cinelândia, en plein coeur du centre historique de Rio. Cette rencontre collective devait porter les messages de la société civile au regard des résultats décevants de cette nouvelle réunion des hauts représentants politiques de ce monde sur les défis de la crise environnementale et sociale que nous traversons.

Nous avons cependant été assez surpris par le très faible taux de participation, d'autant plus que les jours précédents nous avions beaucoup entendu parler de cette rencontre. Parmi les groupes présents, deux comités d'El Salvador et de la Corée du Sud ont néanmoins remarquablement marqué la manifestation. Marche de solidarité à Rio+20!