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Réconciliations et chemin de guérison

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Ces Premières Nations que l'on ignore - Brisons le silence et l’indifférence. Connexion Bernard Roy - Professeur à la Faculté des sciences infirmières de l’Université Laval 5 janvier 2013 Société / Actualités en sociétéCes Premières Nations que l'on ignore - Brisons le silence et l’indifférence Photo : Festival Présence autochtone C'est dans le village innu d’Unamen Shipu, sur la Côte-Nord, que débuta mon périple d’infirmier en 1986. C’est en hydravion que nous accédions à ce petit village situé à plus de 1000 kilomètres à l’est de la ville de Québec. Bien que je désirais entreprendre ce travail, j’arrivais, en ce village, craintif. Je nomme ces gens les Montagnais. Je n’ai pas suivi les recommandations de mes patrons.

Se trouvait, également dans ce petit village nord-côtier, une communauté de quelque 150 « Blancs ». Pardonnez cette digression, mais vous ne pouvez imaginer à quel point ce sujet est, à mes yeux, complexe. Si réducteur… Un problème d’exclusion Je ne serai pas simpliste en rejetant du revers de la main tous les éléments proposés par ces modèles. La 11e Nuit des sans-abri à la mémoire de Joëlle Tshernish Brisson | Québec.

À Québec, en 2011, les organisateurs avaient organisé le concours de la plus belle maison en carton. Des activités pour la Nuit des sans-abri sont organisées à travers la province vendredi, mais l'événement prend une tournure particulière à Québec cette année, où une femme itinérante est morte il y a deux semaines. La 11e Nuit des sans-abri sera l'occasion d'honorer la mémoire de Joëlle Tshernish Brisson, 31 ans, retrouvée sans vie dans un stationnement du quartier Saint-Roch au début du mois. Le rassemblement est organisé par le Regroupement pour l'aide aux itinérants et itinérantes de Québec (RAIIQ).

Les citoyens sont invités à participer à une vigile à la place de l'Université-du-Québec, dans le quartier Saint-Roch. Le coordonnateur de l'organisme, Frédéric Keck, estime que les problèmes d'itinérance s'aggravent à Québec comme ailleurs. Le RAIIQ réclame une nouvelle politique sur l'itinérance et une augmentation du financement pour les services aux itinérants. Violence faite aux femmes autochtones : le Conseil de la fédération réclame une enquête. Un représentant autochtone récite une prière avant le début de la rencontre avec les premeir ministres provinciaux et territoriaux. Photo : PC/Aaron Lynett Les premiers ministres des provinces et territoires demandent une enquête publique nationale sur les femmes autochtones disparues ou assassinées . Cette décision a été prise lors d'une rencontre avec les leaders autochtones du pays tenue à quelques heures de l'ouverture officielle de la rencontre du Conseil de la fédération qui se tient à Niagara-on-the-Lake, en Ontario.

Les premiers ministres répondent ainsi à l'Assemblée des Premières Nations et à d'autres groupes qui revendiquent une enquête depuis l'été 2012. Selon un rapport de 2009 de Statistique Canada, les femmes autochtones sont trois fois plus susceptibles que les femmes non autochtones à se déclarer victimes de violence.

Des débats qui concernent tous les Canadiens Cette année, six des 13 chefs de gouvernements réunis par le Conseil de la fédération sont des femmes. Affaire Morrisseau: Leduc est une priorité pour la police | Louis-Denis Ebacher | Justice et faits divers. L'autochtone de 27 ans a été poignardée à mort vers 4h du matin. Elle avait été aperçue pour la dernière fois avec un homme embarquant dans une voiture blanche ou grise à Vanier, dans le secteur du chemin Montréal. La victime était impliquée dans des activités de prostitution et l'homme en question aurait été son client.

Kelly Morrisseau a été retrouvée nue et agonisante, assaillie de coups de couteau dans le stationnement de la promenade de Gatineau, près du boulevard Gamelin. Un marcheur a fait la découverte et alerté la police de Gatineau. Jeudi, la police de Gatineau a confirmé vouloir parler à Marc Leduc, cet homme que la police d'Ottawa vient d'accuser des meurtres de Pamela Kosmack et de Leanne Lawson. «Cet homme est devenu un sujet d'intérêt prioritaire dans l'enquête de Kelly Morrisseau», a déclaré le porte-parole de la police de Gatineau, Pierre Lanthier.

Pamela Kosmack, 39 ans, a été retrouvée morte en juin 2008. Toutes nos nouvelles sur ledroitsurmonordi.ca. Special MPs committee on murdered, missing Indigenous women holds inaugural meeting Tuesday. APTN National News OTTAWA–The Liberal MP whose Valentine’s Day House of Commons motion was the catalyst for a special committee on missing and murdered Indigenous women says she hopes the work doesn’t get “hijacked” by political agendas.

The Special Committee on Missing and Murdered Indigenous Women and Girls will meet for the first time Tuesday evening. The committee was created on a motion introduced by Liberal Aboriginal affairs critic Carolyn Bennett. The motion received all-party support on Feb. 14. In a letter to the members of the committee, Bennett wrote that she hopes all the members of the committee find common ground in trying to end “this terrible epidemic” through its hearings and recommendations. A Conservative official said the government is sending in its “A team” to the committee with four parliamentary secretaries expected to take a seat around the table. Justice Minister Rob Nicholson’s office is also expected to keep an eye on the committee.

Des femmes autochtones de Thunder Bay vendues aux États-Unis. Photo : CBC News/Nicole Ireland Une étude américaine révèle que des femmes autochtones de Thunder Bay sont vendues à bord de navire dans le port de Duluth, aux États-Unis. L'étudiante à la maîtrise Christine Stark, de l'Université du Minnesota, indique que le port est bien connu des Premières Nations comme étant une plaque tournante du trafic humain.

Les résultats de cette étude sont troublants explique l'étudiante. « J'ai entendu des femmes m'expliquer que des bébés étaient vendus sur les bateaux. Cette traite des femmes aurait lieu depuis plusieurs années. « Le lien entre Thunder Bay et Duluth est très fort. Cette nouvelle étude fait écho à un premier rapport, produit en 2007 en collaboration avec la coalition contre la violence sexuelle faite aux femmes autochtones, sur la prostitution au Minnesota. 105 victimes de trafic humain avaient été interrogées dans le cadre de ce premier rapport sur le sujet.

Trafficking of Native women begins in fracking towns after influx of oil workers | Fatal Sincerity: News & Culture. The buying and selling of Native American young people has increased in towns such as Williston, North Dakota. These sex slaves and others of different heritages began being pimped immediately following the colonization of “man camps” in Williston. These collections of trailers have cropped up as the demand for workers grows well beyond what towns are capable of handling.

Such man camps have been acknowledged by mass media sites such as Bloomberg, though the specific mention of their impact on violent crime is typically limited to local news sources such as the one cited above. In Williston, long-time North Dakota residents have expressed concerns about the recently developed slave trade. “When you have a big oil boom like this, it brings big city problems with it,” former Williston fixture Mike Bartel said to the the Williston Herald last year. The trend in North Dakota mimics what has been seen in Canada in recent years.

Like this: Like Loading... Resident Journalist @ Save Wįyąbi Project. Attawapiskat ou la dure réalité autochtone. Enfants couchant dans des logements sans chauffage à des températures sous zéro, jeune femme écrivant sa détresse extrême et sa dépendance aux drogues dures avant de mourir, les conditions de vie des autochtones ont finalement choqué l'opinion publique au cours de la dernière année.

Déjà, au mois de juin dernier, la vérificatrice générale du Canada Sheila Fraser affirmait juste avant de prendre sa retraite que le gouvernement fédéral avait échoué à mettre des mesures en place pour améliorer les conditions de vie des autochtones. En effet, constatait-elle, «un nombre disproportionné de membres de Premières Nations n'ont toujours pas accès au même titre que le reste de la population canadienne aux plus élémentaires des services».

On estime que 41 % des membres de Premières Nations, qui sont, rappelons-le, sous la responsabilité du gouvernement fédéral, obtiennent un diplôme d'études secondaires, contre 77 % des autres Canadiens. Site complet. Sask : le chef de la bande Moosomin est destitué de ses fonctions. Se réconcilier avec les Amérindiens - Louis Cornellier. Quand j’étais petit, je lisais, à l’école primaire, des récits qui mettaient des Amérindiens en vedette. Pour moi, ces Esquimaux – c’est ainsi, alors, qu’on désignait les Inuits —, ces Algonquins et ces Iroquois étaient des héros. Vivant au cœur de la nature sauvage, ils chassaient avec courage pour se nourrir, parlaient aux animaux, aux arbres, aux pierres, aux rivières et récitaient des prières à des esprits que je ne connaissais pas. J’aimais leurs mots bizarres et beaux, comme anorak, carcajou, caribou, igloo, kayak, manitou, mocassin, toboggan, tomahawk et totem, et leurs vêtements originaux.

Les Amérindiens m’impressionnaient. Aujourd’hui, cette image de l’Amérindien héroïque n’a plus cours au Québec. Ces héros de mon enfance, la plupart du temps, sont perçus comme des déclassés sociaux. Cette situation, répandue à travers le Canada et le Québec, est moralement inacceptable. Il y a, au Québec, un peu plus de 100 000 Amérindiens et Inuits, dont presque la moitié a moins de 25 ans. Les régimes expérimentaux sur des Autochtones étaient approuvés par Ottawa. Des expériences nutritionnelles sur des Autochtones mal nourris dans les années 1940 et 1950 ont été menées en toute connaissance de cause par le gouvernement fédéral, selon des documents obtenus par CBC News.

Des procès-verbaux d'un comité de la Chambre des communes montrent que ce dernier a approuvé la demande de chercheurs qui souhaitaient poursuivre leurs expériences sur des Autochtones de Norway House, dans le Nord manitobain, en 1944. Les expériences ont débuté lorsqu'un médecin des Affaires indiennes et deux collègues de New York et de l'Université de Toronto ont établi un lien entre une épidémie de tuberculose, des cas de cécité et la malnutrition, lors d'une visite de la réserve Norway House.

Au lieu d'améliorer l'alimentation des 300 Cris de la réserve, les médecins ont décidé de donner des suppléments nutritionnels à seulement 125 d'entre eux. Deux ans plus tard, les chercheurs ont noté une amélioration de la santé du groupe qui recevait des vitamines. Autochtones « pas surpris » d'apprendre qu'ils auraient servi de cobayes. Le reportage de Catherine Dulude De nombreux Autochtones disent ne pas être surpris d'apprendre que des membres de leur famille aient servi de cobayes pour des tests gouvernementaux sur des régimes alimentaires dans les années 1940 et 1950. Une recherche basée sur des documents historiques fédéraux, dont les détails ont été révélés mardi, montre que des Autochtones affamés ont servi, à leur insu, à tester des régimes expérimentaux dans les années 1940 et 1950.

Selon l'article publié dans la revue Histoire sociale/Social History, les tests, dont certains ont été effectués dans des pensionnats autochtones, avaient été commandés par des bureaucrates du gouvernement fédéral. Le chef de la Première Nation Norway House, où les premiers tests auraient été effectués en 1942, dit qu'il n'est pas surpris par la révélation. Ron Evans dit toutefois que les membres de sa communauté sont atterrés d'apprendre que des enfants auraient servi de cobaye à leur insu. « Comme les nazis » Problèmes de santé. Peuples visibles - Revue autochtone: Des Autochtones se plaignent de racisme à... La radio en direct | La radio. Pensionnats: le chemin de la guérison s'ouvre à Pikogan - Communauté. Le conseil de la Première Nation Abitibiwinni de Pikogan a récemment fait l’achat du site de l’ancien pensionnat maintenant démoli. «Une pierre de commémoration y sera installée. On y expliquera ce qu’était un pensionnat.

On y fera l’historique», a confié Johnny Wylde, coordonnateur du rassemblement. «La commémoration, c’est de se mettre ensemble pour se rappeler, prendre un temps d’arrêt, se rappeler sans être amer et pour se dire qu’à l’avenir, ça va être différent», a souligné pour sa part l’Atikamekw Richard Niquay, qui prendra part avec les siens à l’événement. Celui-ci rassemblera les Atikamekws de Manawan, Opticiwan et Wemotaci et les Algonquins de Lac-Simon, Kitcisakik, Pikogan et Winneway. Une marche commémorative Les gens arriveront le 7 août, le temps de s’installer. «Cette marche, on l’appelle "Le retour à la maison". En soirée, un mini Pow-Wow réunira les gens après le souper de l’Amitié. Le recueil de témoignages Monument dévoilé le dimanche.

Les Premières Nations veulent leur propre police | Megan Dolski | National. Une vidéo montrant supposément des policiers de la Sûreté du Québec (SQ) battant violemment un Innu a poussé plusieurs communautés autochtones de la province à réclamer la reprise du contrôle de leurs propres forces policières. La vidéo, filmée la semaine dernière, montre ce qui ressemble à deux policiers attaquant un jeune homme dans la communauté d'Unamen Shipu à La Romaine, sur la Côte-Nord. La séquence a depuis mené à deux enquêtes policières différentes, en plus d'amener Ghislain Picard, chef de l'Assemblée des Premières Nations pour le Québec et le Labrador, à réclamer des gestes immédiats.

Dans deux lettres publiées cette semaine - l'une envoyée à Ottawa et Québec, et l'autre diffusée en ligne -, M. Picard appelle à agir contre le racisme et la discrimination dont seraient victimes les habitants des Premières Nations. De 2007 à 2009, six communautés autochtones du Québec ont vu leur police autogérée être remplacée par les autorités provinciales. M. Innu battu par la SQ: les Premières Nations réclament leur propre police. Video of Quebec police beating Innu man sparks anger - Montreal.

A video of a man being beaten by two Quebec police officers has promoted anger in the First Nations community of Unamen Shipu. Shot through a car window, the video shows two officers wearing Quebec provincial police uniforms struggle with a man lying on the ground, as they hit him repeatedly. Warning: This video contains explicit language. "It’s unacceptable," said Raymond Bellefleur, the Innu Council Chief of Unamen Shipu, which is in eastern Quebec on the north shore of the St. Lawrence River. "In my community, we are a peace-loving people," he said. "Our elders are frightened, and our youths and women are terrified by police brutality.

Relatives have identified the man on the ground as 24-year-old Norbert Mestenapeo. They say he was left with 12 stitches across his forehead. Police said the incident began after officers were called to the scene about a dispute on Tuesday.