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Québec pluriel

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Biz s'en prend à Jean Charest. Biz, le populaire rappeur du groupe Loco Locass, s'en est durement pris au «jovialiste» premier ministre du Québec, Jean Charest, qui ne ferait pas grand-chose pour défendre la langue française au Québec, selon lui. «Que M. Charest dise qu'il est inquiet pour le français, c'est surréaliste. Le français n'a jamais autant reculé depuis l'adoption de la loi 101 que sous son gouvernement. C'est un gouvernement qui a laissé bafouer la loi 101 sans arrêt», a déploré Sébastien Fréchette, alias Biz, en marge de sa participation au Forum mondial de la langue française (FMLF). Selon Biz, Jean Charest a prononcé lundi un discours «complètement farfelu» au FMLF. «Jean Charest le fait uniquement pour des raisons électoralistes, pour faire croire qu'il n'y a pas de problème au Québec.

L'artiste estime que le discours des libéraux, c'est qu'il faut absolument «bilinguiser» les gens. Guerre contre la jeunesse «Tout ce qu'on a fait dans la rue va être inutile si on ne va pas voter», a glissé Biz. Le Sénégal est-il encore un pays francophone? Mise à jour du 12 octobre 2012: François Hollande entend écrire le 12 octobre à Dakar une "nouvelle page" dans les relations tourmentées entre la France et l'Afrique par un discours qui sera reçu, qu'il le veuille ou non, comme une réplique au très controversé "discours de Dakar" de son prédécesseur Nicolas Sarkozy.

«Kaay ndékki !» Lorsque l’on se balade au petit matin dans les quartiers populaires de Dakar, difficile de ne pas entendre cette invitation à venir déguster le petit-déjeuner. Une offre sympathique, émanant souvent de gens modestes, qui ont le goût du partage, de la teranga (l’hospitalité à la sénégalaise). Si cette invitation est formulée en wolof et non pas en français alors qu’elle s’adresse à un toubab (un blanc), n’y voyez pas l’expression d’une quelconque défiance. C’est tout simplement dû au fait que dans ces immenses banlieues dakaroises, l’usage du français est des plus limités. Le wolof règne en maître. Parlez-vous wolof? Le français n'a plus la cote Pierre Cherruau. MerizaJoly: La foule en silence, les p...

Adoption houleuse d'un règlement sur les manifestations à Québec. Québec — L'adoption d'un règlement municipal encadrant les manifestations s'est soldée par une arrestation, aujourd'hui, à l'hôtel de ville de Québec, où le maire Régis Labeaume s'est retrouvé au milieu d'une échauffourée. L'agente Catherine Viel, de la police de Québec, a affirmé qu'une personne se trouvant dans la salle du conseil municipal avait été arrêtée pour voies de fait simples. Mme Viel n'a pas révélé l'identité de cette personne puisqu'une enquête est toujours en cours. Des images diffusées par Radio-Canada montrent toutefois que M. Labeaume a été apostrophé par un citoyen alors qu'il sortait de la salle du conseil. Un membre de l'entourage du maire a alors bousculé cet homme, pendant que M. Labeaume quittait la salle. Les images montrent ensuite les policiers qui maîtrisent ce même citoyen après une bousculade qui a projeté un homme par terre. Après cette échauffourée, M.

M. Seuls trois conseillers indépendants se sont opposés à son adoption, aujourd'hui. Site complet. #June24 - solidarity with Quebec students on strike (London, UK) Récit d'un petit voyage en métro avec un carré rouge. Sont-ils réels, ces contrôles d’identité dans le métro pour les porteurs de carrés rouges, dont on entend parler depuis le début du Grand Prix de Montréal? Ceux qui affichent être contre la hausse des frais de scolarité se font-ils désormais fouiller, inviter au poste de police le plus près, comme on le raconte sur les réseaux sociaux depuis plusieurs heures?

Samedi, deux journalistes du Devoir ont entrepris de tirer l’affaire au clair en épinglant sur leur poitrine des carrés rouges avant de s’engouffrer dans la gueule du métro. Résultat? Interpellation rapide, détention pour fin d’enquête. Samedi, 13h50: Sous le plein soleil, les journalistes Raphaël Dallaire Ferland et Catherine Lalonde se retrouvent Place Émilie-Gamelin. Dans le métro, avant d’accéder au quai, Raphaël se fait interpeller. Direction: Parc Jean-Drapeau, sur l’île Sainte-Hélène, où se trouve le site du Grand Prix de la F1.

Les journalistes coopèrent, mais retournent une question pour chacune qu’on leur pose. Attente. Socialist Project | The Bullet. J. F. Conway “On ne lâche pas” (We’re not backing down) — slogan of the student mobilization. A society at war with its children is a society in deep crisis. Quebec's student strike mobilization has set world records for duration and size. The propaganda efforts of the Quebec government and the establishment media to smear the students as entitled, self-seeking brats, whining about modest tuition increases and seeking mayhem for its own sake have failed on two fronts. Kettle 'em, and cuff 'em. Nevertheless the events we are witnessing should disturb us all. Getting Tough With Students Charest's political motives behind his handling of the student uprising were clear from the outset. Charest miscalculated badly. Bill 78 was rammed through the Quebec National Assembly on 18 May 2012.

The law flagrantly and knowingly violates numerous provisions of the Canadian Charter of Rights and Freedoms. Fighting the Neoliberal Juggernaut The repression has so far failed to break the students. J. Canadian Association of University Teachers to provide financial and legal support to students in Quebec. Français Search Share CAUT Bulletin Controversial Ontario report says teaching loads should be higher Vol 61, No 3, March 2014 View Latest Issue Follow Us Stay in Touch Sign up to receive our monthly e-newsletter. Sign up here Sorry, we couldn't find the page you are looking for.

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On a ainsi pu lire brièvement la signature de la nébuleuse de pirates : « Nous sommes Anonymes. Nous sommes Légion. Nous ne pardonnons pas. Nous n’oublions pas. Redoutez -nous ». Dans une vidéo sur YouTube, le groupuscule déclare que le gouvernement du Québec « assassine le droit de manifester en adoptant une loi d’urgence ». Une autre vidéo ajoute que « la récréation est terminée ». La porte-parole du ministère de la Sécurité publique, Valérie Savard, explique que les informaticiens du ministère tentent de rétablir la situation. Samedi, les sites du Parti libéral du Québec (PLQ) et de l’Assemblée nationale avaient aussi été attaqués. Pour me joindre : florent.daudens@radio-canada.ca. Québec : Les enseignants contre la loi spéciale. La Loi spéciale adoptée sur proposition du gouvernement libéral du Québec suscite l'indignation des trois principaux syndicats de la province, CSQ, CSN et FTQ. Cette loi d'une durée d'un an interdit pratiquement toute manifestation étudiante ou enseignante sous peine d'amende particulière ou collective.

"Il est des plus clair, depuis le dépôt du projet de loi spéciale hier, que le premier ministre du Québec, Jean Charest, n'est ni le premier ministre de la Jeunesse ni celui de la négociation, mais bien celui de la répression tous azimuts. Comment expliquer notamment qu'il s'attaque si virulemment aux enseignantes, aux enseignants, aux chargé-es de cours et au personnel de soutien des cégeps et des universités, les traitant ni plus ni moins comme des bandits et les visant comme s'ils étaient en arrêt de travail ? " interrogent les trois syndicats dans un communiqué daté du 18 mai. Communiqué intersyndical Le résumé de la loi. QUEBEC. Les violences continuent à Montréal. Une nouvelle soirée de manifestations, émaillée de scènes de violence, a conduit à l'arrestation de plus d'une centaine de personnes à Montréal et fait dix blessés, dimanche 20 mai.

Quatre policiers figurent parmi la dizaine de blessés légers. Au total, au moins 116 personnes ont été interpellées au cours de la soirée. La manifestation a été déclarée "illégale" par les forces de l'ordre dix minutes après le départ, l'itinéraire n'ayant pas été communiqué à la police, ce qui a ravivé les tensions entre étudiants et autorités. Les forces de l'ordre n'ont pas chiffré le nombre de manifestants mais les médias locaux parlaient de plusieurs milliers de personnes au départ, puis de quelques centaines aux alentours de 5 heures du matin. "Chaos indescriptible" Sur le parcours, des vitrines de magasins ont été cassées. Une borne incendie a également été ouverte, reliée directement à la porte d'un commerce du centre ville qui aurait été inondé, selon la police.

Limitations à la liberté de manifester. La loi spéciale s’appliquerait aux tweets  Le projet de loi spéciale à l’étude à l’Assemblée nationale pourrait aussi toucher Twitter, a confirmé ce matin Michelle Courchesne en chambre. Et possiblement Facebook aussi. Interrogée à cet effet par les députés Jean-Martin Aussant (Option nationale) et Stéphane Bédard (Parti québécois), la ministre de l’Éducation a confirmé que la police pourrait remonter jusqu’à l’auteur d’un tweet appelant à manifester. « Ce seront les corps policiers qui auront à décider si effectivement il y a lieu de remonter la filière » pour retrouver la personne à l’origine d’un appel à manifester, a-t-elle déclaré.

Et d’ajouter qu’il reviendrait aux tribunaux de poursuivre ou pas l’auteur du tweet. « On ne peut pas prévoir tous les cas d’espèce », estime On peut voir l’échange avec le député du PQ ci-dessous. D’autre part, on ignore si arborer un carré rouge comme image de compte sur Twitter pourrait donner lieu à des poursuites.

Pour me joindre : florent.daudens@radio-canada.ca. Une dérive dans la protection des droits fondamentaux : Amnistie internationale s’oppose à l’adoption du projet de Loi 78. Un grand tonnerre. Exposition Shalom Québec - Histoire.