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Gouvernement du Québec 2013

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Ressources naturelles. Sommet en Éducation. Gouvernement péquiste. Opposition - Parti libéral du Québec. Opposition - CAQ. La présidente de l'OQLF démissionne. Enseignement de la langue seconde - Anglais intensif : la fuite en avant continue. La question de l’enseignement de l’anglais langue seconde au Québec fait couler beaucoup d’encre depuis des décennies.

Enseignement de la langue seconde - Anglais intensif : la fuite en avant continue

Le « parfait bilingue sans accent » est, tout particulièrement depuis l’ère Trudeau, un fantasme récurrent de l’imaginaire collectif québécois. Après avoir tenté d’imposer l’enseignement de l’anglais en première année au début des années soixante-dix, le gouvernement de Robert Bourassa avait dû reculer devant les études scientifiques qui indiquaient que l’enseignement précoce des langues est moins efficace que l’enseignement plus tardif. Le linguiste Gilles Bibeau écrivait en 1991 : « On ne peut pas dire, bien sûr, qu’il y ait du mal à commencer l’anglais au premier cycle du primaire, si on ne considère pas le temps qui pourrait être consacré à autre chose.

Peut-être, cependant, donne-t-on alors aux enfants une assurance excessive sur la nécessité immédiate de l’anglais, au détriment du français : question de valeur culturelle. » Une nouvelle brèche Des mesures objectives. Québec rend les cours d'anglais intensif au primaire facultatifs. Québec — L'apprentissage de l'anglais à l'école primaire est remis en question par le gouvernement Marois.

Québec rend les cours d'anglais intensif au primaire facultatifs

La ministre de l'Éducation, Marie Malavoy, a annoncé jeudi deux mesures en ce sens: le gouvernement rend désormais facultatif l'enseignement intensif de l'anglais en 6e année du primaire et commande une étude sur la pertinence de continuer à enseigner l'anglais dès la première année. Québec revoit la place de l'anglais au primaire. Le gouvernement Charest avait «décrété de façon autoritaire» et «précipitée» l'obligation d'offrir l'anglais intensif pour 2015-2016, a soutenu Mme Malavoy en conférence de presse.

Québec revoit la place de l'anglais au primaire

C'est selon elle une «cible irréaliste» qui ne tenait pas compte des différentes réalités régionales et qui engendrait toutes sortes de «difficultés», notamment dans l'organisation des matières. La ministre «lève cette obligation» pour «mettre un frein important» au programme. Elle laisse toutefois aux conseils d'établissement des écoles la décision d'offrir ou non un enseignement intensif de l'anglais. Cette année, un peu plus de 12 % des écoles offrent ce programme. L'Aut'Journal - Journal libre et indépendant. Radio Canada Mobile. L'Alliance citoyenne Pekuakamiulnuatsh soutient que l'étude d'impact environnementale sur le potentiel de pêche de la rivière Ouiatchouan, dans le cadre du projet de minicentrale à Val-Jalbert, a été bâclée.

Radio Canada Mobile

Lors d'un point de presse mardi, le groupe d'Innus de Mashteuiatsh a soutenu que la portion de la rivière qui sera asséchée, entre le futur barrage et la chute de Val-Jalbert, est poissonneuse et présente un réel intérêt pour la pêche. Le consultant BPR, qui a réalisé l'étude d'impact, en venait à une conclusion différente. Les Québécois ne sont pas les plus imposés en Amérique du Nord. Affirmer le contraire a davantage «l'apparence d'un slogan [...] que d'un fait», peut-on lire dans la note socioéconomique signée par Francis Fortier et Simon Tremblay-Pepin.

Les Québécois ne sont pas les plus imposés en Amérique du Nord

Les chercheurs soutiennent qu'au moins 50% des contribuables du Québec sont imposés dans la même proportion ou dans une proportion moindre qu'aux États-Unis ou dans les autres provinces du Canada. Économie: le gospel de la sainte piastre. Voilà! Je voulais vous écrire un texte bien senti, presque académique sur l’économie. Sur mon incrédulité face à une société qui accorde autant, sinon plus, de crédibilité à un économiste de pacotille comme Alain Dubuc qu’à des poids lourds comme Aussant et Parizeau. Quand ces gars là, qui ont tous deux de l’expérience gouvernementale et qui ont travaillés pour les plus grandes firmes financières du monde nous parlent de gratuité scolaire et de la santé économique d’un Québec indépendant, on balaie leurs arguments du revers de la main.

Pourtant, je doute fort que quiconque puisse les accuser de ne pas avoir à coeur ce qu’il y a de mieux pour le Québec. Mais quand Dubuc, qui n’a d’autre expérience que celle de journaliste, nous régurgite le discours prémâché du conseil du patronat, avec un tel zèle d’ailleurs qu’ils lui ont même décerné un prix, on se gave comme des oisillons à ses paroles. J’avais fait ma recherche, trouver deux-trois tournures de phrase assassines. «La ministre doit faire cesser ces coupes» Selon la mairesse suppléante, Chantal Lamarche, la population n'hésitera pas à se mobiliser et à bloquer la route aux travailleurs forestiers de Lauzon- Planchers de bois exclusifs si elle doit en arriver là. « La ministre doit faire cesser ces coupes, affirme Mme Lamarche.

«La ministre doit faire cesser ces coupes»

Si elle ne le fait pas, nous allons nous mobiliser et nous allons barrer la route. Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre le seul attrait touristique que nous avons. » Le permis de coupes forestières attribué par le MRNF permettra à Lauzon de couper environ 40 % des feuillus du parc du Mont Cayamant au cours des deux prochaines années. L'aménagement des chemins forestiers est déjà commencé. La conseillère municipale s'explique mal que le MRNF ait pu autoriser d'aussi importantes coupes forestières au parc du Mont Cayamant puisque le même ministère y a investi près de 326 000 $ entre 2002 et 2009 afin d'aménager le site, d'après des documents obtenus par LeDroit.

Plante menacée. Enseignement de l’histoire - Bisbille autour d’un comité ministériel. Le ministère de l’Éducation a créé le mois dernier un groupe de travail pour revoir le programme de l’enseignement de l’histoire du Québec à l’école.

Enseignement de l’histoire - Bisbille autour d’un comité ministériel

Mais ses travaux ne sont pas encore commencés que, déjà, les historiens se disputent sur sa composition et ses orientations, a appris Le Devoir. Présidé par le sous-ministre Alain Veilleux, le groupe est formé de didacticiens, d’universitaires et d’historiens de toutes allégeances, francophones comme anglophones, notamment la spécialiste de l’histoire des femmes, Micheline Dumont, le professeur de McGill, Paul Zanazanian, et le didacticien et romancier Jean-Pierre Charland. La moitié des dix membres du comité font partie de la Coalition pour l’histoire, bien connue pour critiquer l’actuel programme, qui évacue, selon elle, des pans de l’histoire nationale québécoise.

Éric Bédard ne nie pas vouloir s’éloigner du ministère, responsable de la « réforme catastrophique » des programmes d’histoire en 2006. « C’est le ministère qui l’a faite. M. PQ: promesses tenues et promesses brisées. Marois évoque l'échec de la refonte de la loi 101. Alexandre RobillardLa Presse CanadienneCARLETON-SUR-MER La première ministre Pauline Marois a évoqué la possibilité que la réforme de la loi 101 se solde par un échec, jeudi, alors que son gouvernement se prépare à lancer un vaste débat sur la place des symboles religieux dans les institutions publiques.

Marois évoque l'échec de la refonte de la loi 101

En concluant une réunion de ses députés en Gaspésie, Mme Marois a affirmé que le projet de loi 14, dans une impasse depuis le printemps dernier, a peu de chances d'être adopté. Sondage Léger-Le Devoir - La Charte relance le PQ. Le dévoilement de l’esquisse de la Charte des valeurs québécoises semble... Le dévoilement de l’esquisse de la Charte des valeurs québécoises semble avoir relancé le Parti québécois (PQ). Un an après son élection, la formation de Pauline Marois retrouve ainsi le niveau d’appui qui l’avait portée au pouvoir, ayant regagné cinq points - dont plusieurs chez les francophones - durant la période estivale. Un sondage Léger-Le Devoir mené en ligne jeudi et vendredi auprès de 1002 personnes indique que le Parti libéral du Québec (PLQ) domine toujours les intentions de vote, à 36 %, mais que le PQ suit désormais de proche, avec 32 %.

Derrière, la Coalition avenir Québec (CAQ) poursuit une lente descente qui situe le parti à 18 %. La cote de popularité de Pauline Marois rebondit. La réponse de Mme Marois à la catastrophe ferroviaire de juillet dernier explique en bonne partie cette soudaine remontée. « Il y a un effet Lac-Mégantic », soutient Youri Rivest, vice-président de CROP.

La cote de popularité de Pauline Marois rebondit

Mais c'est plus Pauline Marois elle-même que son parti qui en bénéficie. Le Parti libéral de Philippe Couillard caracole toujours en tête dans les intentions de vote, mais il n'a pas la garantie d'avoir une majorité à l'Assemblée nationale. Les libéraux en avance Le Parti libéral aurait été porté au pouvoir si des élections avaient eu lieu la semaine dernière. Avec un gouvernement majoritaire ? Tendance renversée. Pierre Allard. Un simple coup d'oeil sur les cartes routières suffit pour comprendre que les gouvernements successifs n'ont jamais échafaudé une vision cohérente du développement socio-économique de l'Ouest québécois.

Pierre Allard

Dans cette grande région qui compte près de 25 % de la superficie du sud du Québec, les centres de population de l'Abitibi-Témiscamingue et de l'Outaouais ont peu de liens et restent relativement isolés les uns des autres. Le cordon ombilical qui relie le nord-ouest à la vallée du Saint-Laurent, la route 117, frôle à peine le nord de l'Outaouais en Haute-Gatineau. En 1927 - l'idée n'est pas récente - la Chambre de commerce de Ville-Marie (Témiscamingue), avait demandé au gouvernement québécois de construire une route qui relierait cette région à Sheenboro, près de l'Île-aux-Allumettes, dans le Pontiac.

Les priorités ont toujours été ailleurs, avec comme résultat une absence de vision pour l'exploitation d'un potentiel inouï. Mais voilà.