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Gouvernement Harper

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Compressions et développement menacent les parcs | Paul Gaboury | Fonction publique. En même temps, le développement industriel continue à exercer une pression croissante dans plusieurs parcs célèbres et dans les zones adjacentes, tout en portant atteinte à leur intégrité écologique, une menace qui pèse notamment sur le parc de la Gatineau, au Québec, et le parc Algonquin, en Ontario. Dans son rapport sur l'état des parcs au Canada rendu public hier, la Société pour la nature et les parcs du Canada pose un regard sur les dangers grandissants qui menacent l'état des parcs nationaux, provinciaux et territoriaux du Canada. «Les compressions budgétaires fédérales causeront une baisse significative des activités de recherche scientifique et de surveillance pourtant essentielles à la protection de nos parcs nationaux, souligne le rapport. De plus, les dépenses provinciales allouées aux parcs demeurant insuffisantes, les parcs seront exposés aux divers dangers qui les menacent tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de leur périmètre.»

Sables bitumineux: un projet de capture du carbone en passe d'approbation | John Cotter | Québec / Canada. Le projet «Quest», lancé par Shell Canada, évalué à 1,35 milliard $, permettra de capturer et d'entreposer au nord-est d'Edmonton jusqu'à 1,2 million de tonnes de dioxyde de carbone par année provenant de son usine de traitement de Scotford. L'Office de conservation des ressources énergétiques de l'Alberta a conclu que ce projet doit aller de l'avant puisqu'il est d'intérêt public. Shell Canada a précisé qu'il lui faudra maintenant évaluer la rentabilité du projet avec ses partenaires, Chevron Canada et Marathon Oil, avant de déterminer s'ils entameront les étapes de construction cette année. Le gouvernement de l'Alberta devrait injecter 745 millions $ sur 15 ans dans le projet Quest, tandis que le Programme du Fonds pour l'énergie propre d'Ottawa en verserait 120 millions $.

Le projet vise à puiser dès 2015 le gaz carbonique liquéfié des puits d'injection au nord de l'usine, pour ensuite le stocker à plus de deux kilomètres sous le sol. Gouvernement «Harper» L’État doit-il aider financièrement les citoyens et les groupes qui participent à des audiences publiques ou font appel aux tribunaux ? Pas quand le but est de contester les politiques gouvernementales, croit le gouvernement Harper. Le premier ministre Stephen Harper en a donné une nouvelle preuve jeudi dernier lors de son passage à Paris.

Interrogé sur l’aide accordée à des groupes environnementaux qui participent aux audiences sur le projet d’oléoduc Northern Gateway, en Colombie-Britannique, M. Harper a déclaré ceci : « Nous passons au peigne fin nos dépenses pour nous assurer qu’elles sont toutes appropriées et, si c’est le cas, que nous versons de l’argent à des organisations qui font des choses contraires aux politiques du gouvernement, je crois que c’est une utilisation inappropriée de l’argent des contribuables et nous chercherons à l’éliminer. » Les neuf groupes visés sont opposés au projet d’oléoduc auquel les conservateurs tiennent mordicus. La tactique n’est pas nouvelle. » Harper et le culte de la personnalité|Vincent Marissal. Une autre photo de Stephen Harper... (Photo PC) Les partis de l’opposition (et les médias) à Ottawa reprochent souvent à Stephen Harper d’avoir de la graine de dictateur.

Voilà qui est certainement exagéré, mais il démontre depuis quelques temps, ça, c’est indéniable, un des travers propre aux dictateurs: le culte de la personnalité. Ce gouvernement, généralement chiche dans se rapports avec les journalistes, inonde ceux-ci depuis quelques temps de courriels contenant des photos ou (nouveauté!) Samedi et dimanche, pendant les réunions du G8 et du G20, j’en ai reçus 29!!! C’est que ça encombre une boîte de courriels autant de messages photos et vidéos. Ici, en Afrique du Sud, les médias parlent beaucoup du Canada, de Toronto, du G8 et du G20, mais je n’ai pas vu de photo de notre premier ministre. Dépenses militaires « Stoppons les dépenses militaires. 9 mai 2012 Hugo de Grandpré, La Presse, 7 mai 2012 (Ottawa) Le gouvernement Harper a trompé les Canadiens dans le dossier de l’achat des F-35, conclut un ancien haut fonctionnaire qui a lui-même été responsable de ce dossier avant de prendre sa retraite du ministère de la Défense en 2005.

Dans une étude intitulée Canada, Democracy and the F-35, Alan S. Williams attaque sévèrement la gestion du processus par le gouvernement Harper et la position qu’il a adoptée pour défendre son choix de ne pas lancer d’appel d’offres Lire l’entièreté de l’article, cliquez ici Partagez ce lien via : Bourré de défauts depuis sa conception, l’avion de chasse F-35 a entraîné le département américain de la Défense dans un programme monstrueusement coûteux et inefficace. T out d’abord, s’agissant des coûts, facteur essentiel à l’heure où les politiques martèlent que le budget défense souffre de l’austérité ambiante, le F-35 est tout simplement hors de prix. Pour lire la suite, cliquez ici 30 avril 2012 19 mars 2012.

Harperfinal. Regard critique: le journal des hautes études internationales: Automne 2006. Harper : une année de déboires sur la scène internationale - Mondialisation, institutions et nouvelle diplomatie commerciale (MIND C) | CEIM | UQAM. Stéphane Roussel, Justin Massie et David Morin. « Harper : une année de déboires sur la scène internationale », La Presse , 29 décembre 2010. L’année 2010 aura été passablement difficile pour la politique étrangère canadienne. Elle avait pourtant débuté avec de belles intentions. Le discours du Trône prononcé en mars affirmait que 2010 allait être « une année où les yeux du monde entier sont tournés vers le Canada ». Puis, les déboires, les faux-pas et les mauvais calculs se sont accumulés. Certaines histoires hantent le gouvernement Harper depuis longtemps déjà, comme l’affaire Maher Arar, qui revient périodiquement dans l’actualité, ou encore le refus du Canada de demander le rapatriement de plusieurs Canadiens purgeant une peine à l’étranger ou qui sont condamnés à mort.

Le triste bilan du Canada en matière de protection de l’environnement, que les ministres s’obstinent à présenter sous un jour positif en dépit de tout bon sens, est un autre exemple. D’autres sont plus récents. Examen de la politique étrangère : temps pour un grand coup | CIPS. Bien que les motifs semblent flous et que les paramètres ne soient toujours pas connus du public, les fonctionnaires s’affairent à un examen de la politique étrangère dans l’édifice Lester B.

Pearson à Ottawa. Le moment est bien choisi, étant donné que la majorité du gouvernement Harper au Parlement lui confère une liberté d’action appréciable. D’autres facteurs abondent dans le même sens. Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) peut compter sur la présence d’un ministre ambitieux et influent pour la première fois sous le régime Harper, et il se doit de mettre de l’ordre dans les priorités de politique étrangère de Harper, dont les objectifs stratégiques n’ont jamais été bien clairs. Mais les vents sont contre un exercice d’importance majeure, voire même contre un exercice public. Un enjeu auquel le gouvernement doit s’attaquer, maintenant ou plus tard, est le piètre état des institutions vouées à la mise en œuvre de la politique étrangère du Canada. Le gouvernement Harper s'engage à combler une lacune dans le régime de financement des entités politiques. « Les règles actuelles sur les prêts consentis à des entités politiques ne respectent pas les normes les plus élevées en matière d’intégrité du processus politique auxquelles les Canadiens s’attendent », a déclaré le ministre d’État Uppal. « En déposant la , nous poursuivons le travail accompli par notre loi phare, la , en adressant une lacune dans la loi qui permettait aux personnes morales et aux syndicats de faire des prêts à des entités politiques. » Les modifications proposées se divisent en quatre volets : Le projet de loi établit un régime de déclaration uniforme et transparent pour tous les prêts consentis à des entités politiques (partis, associations et candidats), y compris la divulgation obligatoire des modalités telles que le taux d’intérêt, l’identité des prêteurs et celle des cautions.

Il serait désormais interdit aux syndicats et aux personnes morales non seulement de verser des contributions à ces entités, conformément à la , mais aussi de leur prêter de l’argent. Le poids du Québec à la Chambre des communes. MERCI, Monsieur Harper !