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État de droit

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État de droit. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

État de droit

L'État de droit ou la primauté du droit est une situation juridique dans laquelle toute personne a des droits mais aussi des devoirs, et se trouve par sa volonté à « avoir des droits » à se soumettre au respect du droit, du simple individu et surtout la puissance publique[1],[2]. Préambule de la Charte canadienne des droits et libertés. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Préambule de la Charte canadienne des droits et libertés

Il se lit comme suit : « Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit » — Préambule de la Charte canadienne des droits et libertés Interprétation[modifier | modifier le code] En 1982, l'année de l'entrée en vigueur de la Charte, le constitutionnaliste Peter Hogg nota que ces mots, étant un préambule, ne pouvaient pas réellement être appliqués par les tribunaux mais pouvaient en théorie aider à déterminer la façon dont les autres articles de la Charte seraient interprétés et appliqués. En considérant l'implication juridique du préambule en 1999 dans le cadre de l'affaire R. c. Dans le Renvoi sur la Motor Vehicle Act (C. Autres interprétations[modifier | modifier le code] Dans l'affaire R c. Historique[modifier | modifier le code] — Préambule de la Déclaration canadienne des droits Politiquement, le préambule est controversé. Impact sociologique[modifier | modifier le code] Déclarations canadiennes.

ÉTAT DE DROIT. Brève définition - Équipe Perspective Monde État de droit: Fondamentalement, un État de droit signifie que les pouvoirs publiques doivent exercer leurs fonctions selon les balises définies par un ensemble de normes juridiques.

ÉTAT DE DROIT

Ainsi est fondée la légalité administrative ou rule of law ou primauté du droit, des termes essentiellement équivalents. L'État de droit peut aussi être résumé par la formule: «Nul n'est au-dessus de la loi». Plus généralement, cet ordre regroupe un ensemble de règles juridiques qui prémunissent les citoyens contre les formes arbitraires du pouvoir (exécutif). Canada - Gouvernement - Partis politiques - Élections. Gouvernance: Les processus démocratiques du Canada sont généralement établis et reconnus: 1) les élections se font au suffrage universel, c'est-à dire que la quasi-totalité des citoyens et citoyennes ont le droit de voter; 2) on y trouve des partis et des leaders qui sont en compétition pour l'obtention des postes décisionnels; et 3) la société est caractérisée par une importante liberté de presse et d'association.

Canada - Gouvernement - Partis politiques - Élections

L'application de ces critères peut bien sûr varier dans le temps et selon les contextes. Certaines restrictions légales sont également possibles; elles sont cependant marginales ou exceptionnelles et sont définies par une règle de droit. Chef de l'État: Roi/ Reine par l'intermédiaire du Gouverneur général. Au Canada, le chef de l'État détient peu de pouvoirs réels. Ses prérogatives sont essentiellement formelles et cérémonielles. Chef du Gouvernement: Premier ministre. Chambre basse: Chambre des communes. Chambre haute: Sénat. Depliant-etat-droit. De la fragilité de l’État de droit. "II faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir.

De la fragilité de l’État de droit

" Montesquieu Le titre détonne un peu, je sais. Ne vit-on pas à même un régime reconnu pour ses assises démocratiques, sa (trop grande?) Stabilité constitutionnelle, ses acquis en matière de primauté du droit ? Le Canada, un État de droit? Peut-être, mais malade! Dans un État de droit, tous sont soumis à la règle de droit, le simple justiciable ou la machine étatique.

Le Canada, un État de droit? Peut-être, mais malade!

Les principes de l'État de droit permettent de lutter contre l'arbitraire des dirigeants et assurent que tous connaissent leurs obligations et leurs droits. Or, de nombreux évènements récents font conclure que si le Canada est un État de droit, il s'agit d'un État de droit malade. Il est de la nature de « l'État de droit » que les normes soient hiérarchisées afin de limiter la puissance de son détenteur.

Le pouvoir règlementaire est limité par la force de la loi qui elle-même doit respecter la constitution nationale qui, suivant l'ONU, doit être compatible avec les règles de protection des droits de la personne. Chaque règle doit respecter la lettre et l'esprit de celles qui lui sont hiérarchiquement supérieures. État de droit au Québec: le Barreau fait le bilan. Le rapport réalisé par le Barreau du Québec, résume les principales interventions publiques de l'institution en matière législative depuis un an, tout en évaluant la situation et en posant la question suivante : nos droits s’effritent-ils?

État de droit au Québec: le Barreau fait le bilan

De façon globale, les citoyens québécois doivent avoir confiance dans leur système de justice et dans l’application de la primauté du droit au Canada et au Québec, recommande le Barreau. Il constate néanmoins qu’en certaines occasions, l’État s’éloigne du principe de la primauté du droit. La justice doit être du sur-mesure, estime Me Provencher C’est particulièrement le cas en matière criminelle et pénale.

On assiste à la mise en place d’une vision idéologique qui restreint le pouvoir des juges et impose des peines automatiques plus élevées sans pour autant améliorer la sécurité du public. L’accès à la justice constitue également une source de préoccupation pour les citoyens, et un problème majeur de société. Bernard AmyotAvocat, l'auteur a été président national de l'Association du Barreau canadien en 2007-2008. Enchâssée dans la foulée du rapatriement de notre constitution au moyen d'une loi du parlement britannique, la Charte est, avec l'adoption du fédéralisme en 1867, l'un des plus importants jalons dans l'histoire de notre pays.

Ce moment charnière signifiait que les Canadiens pourraient dorénavant modifier eux-mêmes leur constitution sans avoir à quémander la permission de Londres au préalable. En plus de consacrer la souveraineté juridique du Canada, cette démarche enchâssait les droits et libertés des Canadiens. L’état de la démocratie canadienne.

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L’état de la démocratie canadienne

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Stephen Harper et l'État de droit

Le plus récent exemple consiste en son comportement dans le dossier du jeune Omar Khadr, que le gouvernement fédéral s'obstine à ne pas vouloir rapatrier de Guantánamo envers et contre les obligations que lui imposent la Charte des droits et libertés et les conventions internationales. À cet égard, le jugement rendu la semaine dernière par la Cour fédérale est accablant. Entre les lignes de l'ordre qui est fait au gouvernement Harper de s'acquitter de ses responsabilités à l'égard d'Omar Khadr, on peut décoder combien le juge James O'Reilly estime être confronté à un cas majeur de délit gouvernemental. Mais le dossier Khadr n'est pas un cas d'espèce. Uuu Tous les gouvernements pèchent parfois par démagogie. Chebert@star.ca Site complet. Les coulisses du pouvoir. Mondialisation et État de droit - Institut d'études internationales de Montréal (IEIM)

Mondialisation et État de droit D.

Mondialisation et État de droit - Institut d'études internationales de Montréal (IEIM)

Mockle, « Mondialisation et État de droit » (2000) 41 Cahiers de droit, pp.237-288. Daniel Mockle* Le titre «Mondialisation et État de droit» annonce, pour reprendre une formule connue, «un vaste programme» dont l'issue finale reste incertaine. 14-HenriBrun. L'État de droit et la théorie de la rule of law.