Dictionnaire Biographique du Canada en ligne. Encyclopédie de L'Agora | Duplessis Maurice. «Né à Trois-Rivières, dans la paroisse de l'Immaculée-Conception, le 20 avril 1890, fils de Nérée Le Noblet Duplessis, avocat, et de Marie-Catherine-Camille-Berthe Genest. Fit ses études au collège Notre-Dame à Montréal, au séminaire de Trois-Rivières et à l'université Laval à Montréal. Admis au barreau de la province de Québec le 4 septembre 1913. Exerça sa profession à Trois-Rivières au cabinet des avocats Duplessis et Duplessis en 1913, Duplessis et Langlois en 1914 et, plus tard, Duplessis, Langlois et Lamothe.
Créé conseil en loi du roi le 30 décembre 1931. Candidat conservateur défait dans Trois-Rivières en 1923. Créé chevalier de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem. Décédé en fonction à Schefferville, le 7 septembre 1959, à l'âge de 69 ans et 4 mois. Il était célibataire. » Source : Maurice Le Noblet Duplessis (Les parlementaires depuis 1792, Assemblée nationale du Québec) Conrad Black, Duplessis. Cameron Nish, Quebec in the Duplessis Era, 1935-1959; dictatorship or democracy? Dictionnaire Biographique du Canada en ligne. DUPLESSIS, MAURICE LE NOBLET (baptized Joseph-Maurice-Stanislas), lawyer and politician; b. 20 April 1890 in Trois-Rivières, Que., son of Nérée Le Noblet Duplessis and Berthe Genest; d. unmarried 7 Sept. 1959 in Schefferville, Que., and was buried in his hometown.
Maurice Le Noblet Duplessis, who would be called "the Chief" or Maurice Duplessis, was to devote his life to politics, following in the footsteps of his father, a Conservative MLA for the riding of Saint-Maurice from 1886 to 1900, town councillor and mayor of Trois-Rivières, and later judge of the Superior Court. From early childhood, Maurice, who would have four sisters, Marguerite, Jeanne, Étiennette, and Gabrielle, was steeped in an atmosphere of religious and political conservatism. The ultramontane Bishop Louis-François Laflèche* gave advice to his father, whom Maurice sometimes accompanied on election campaigns and to the Legislative Assembly. The testimony given before this committee was damning and created a scandal. Manifeste du coopératisme (1940) Pour que le mouvement coopératif devienne puissant dans notre province, il faut absolument que tous nos coopérateurs s’entendent sur les mêmes principes essentiels.
Or, préciser et répandre la vraie doctrine coopératiste, voilà un des principaux objectifs que s'est fixé le Conseil Supérieur de la Coopération. C'est pourquoi ce Conseil a jugé bon de formuler une déclaration de principes, basée sur des définitions essentielles, proposant ainsi la doctrine qui doit inspirer tout le mouvement coopératif québécois. La coopération est un acte. Cet acte est accompli par et dans une institution coopérative. Le coopératisme est un système économique édifié avec des coopératives.
Pris dans son sens large, le mot coopération signifie collaboration ou acte par lequel plusieurs personnes unissent leurs efforts et leurs ressources en vue d'une même fin, en quelque domaine que ce soit. l. 2. Numérisé par Igor Tchoukarine, Université de Sherbrooke.