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SAE-Culture au Québec et Débat sur l'accès à l'éducation

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Faciliter l’éducation au Bas-Canada [1821] Le Canadien, 11 avril 1821 Nous avons inséré dans la Gazette de ce jour les délibérations d’une assemblee des principaux habitans de la Rivière Chambly, tenue à St. Charles le 1er. du mois passé, pour conferer des moyens de faciliter l’éducation dans cette partie importante et si bien peuplée de la province.C’est là la première assemblée de ce genre, que nous sachions avoir eu lieu dans nos campagnes.

Ce qui a été décidé ce jour-là est le lancement d’une souscription pour que des enfants des paroisses de la rivière Chambly puissent étudier au Collège de St-Hyacinthe. La Gazette de Québec publie la liste des membres du comité chargé d’administrer l’argent ainsi que la liste des souscripteurs.Billets reliés Des commissaires scolaires incompétents? [St-Gervais, 1845] Boisson sous la tribune de l’institutrice [Mont-Albert, 1936] Et c’est le retour en classe… (Images de l’éducation à Montréal 1867-1931) De l’éducation des filles [1896] Like this: J'aime chargement… Le Devoir d’histoire - L’État a-t-il vraiment fait progresser l’éducation au Québec? Deux fois par mois, Le Devoir lance à des passionnés de philosophie, d’histoire et d’histoire des idées le défi de décrypter une question d’actualité à partir des thèses d’un penseur marquant.

Alors qu’approche la tenue d’un autre sommet pour discuter de l’avenir de l’enseignement supérieur, nombreuses sont les mentions des progrès réalisés pendant la Révolution tranquille. Le fameux rapport Parent, qui recommanda la gratuité scolaire jusqu’aux études universitaires en 1964, reste un document de référence régulièrement cité. Cette rhétorique décrit la Révolution tranquille comme le début d’un âge d’or qui aurait permis au Québec de cesser d’être le cancre du Canada. Selon cette perspective, les vastes progrès de la Révolution tranquille contrastent avec la période l’ayant précédée, qu’on a qualifiée de Grande Noirceur (1945-1960).

Grand rattrapage Le Québec a toutefois commencé à perdre du terrain par la suite. Ce retard grandissant du Québec se renverse complètement après 1945. Les parents face à l’école - Des clients ou des citoyens? Face à l’école, les parents pourraient-ils être un peu moins « clients » et un peu plus « citoyens » ? Réagissant avec force au phénomène en vogue des « parents-rois » tentés de régir l’école au nom d’un certain chacun pour soi, l’ancien directeur d’école - au public comme au privé - Marc St-Pierre pose la question, quitte à lancer un pavé dans la mare. « À force de vouloir compulsivement répondre aux désirs de tout le monde, l’école est de moins en moins une institution régie par le droit et la recherche du bien commun », explique celui qui a été enseignant, mais aussi directeur adjoint de commission scolaire. « Elle devient un service qui se monnaye et se consomme à la carte. Chacun en veut plus pour son argent. L’école devient le terrain de jeux des faiseurs d’opinions et, pour peu qu’on sache quoi promettre pour la mettre au goût du jour, elle devient électoralement intéressante.

Le parent client, depuis quand ? La course aux minutes Rapport triangulaire Les enfants Temps de travail.

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