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Alliances et traités

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VickyBlum sur Twitter : "#négos2015 #mels #polqc #alliance #fae... Le traité de Paris de 1763 est le document le plus important de notre histoire. La bataille des plaines d’Abraham du 13 septembre 1759 est devenue un des mythes fondateurs du Canada. Et pourtant, elle n’avait rien réglé. En effet, cette guerre se poursuivit aux quatre coins du monde. Elle dura sept ans, d’où son nom, et trouva son aboutissement à Paris le 10 février 1763.

Le traité conclu ce jour-là entre la France, la Grande-Bretagne, l’Espagne et le Portugal non seulement scelle le sort de la Nouvelle-France, mais jette les bases d’une profonde mutation politique qui touchera l’ensemble de la planète, à commencer par l’Amérique du Nord. Récapitulons. Louis XV renonce au Canada. Ce qui est moins connu, c’est que les frontières de ce Canada s’étendent jusqu’au Mississippi, à l’exception de La Nouvelle-Orléans. Au début, ce furent « The Thirteen Colonies », puis « The United Colonies of North America » et, au moment de l’indépendance, « The United States of America ». Le mouvement même d’indépendance trouve son origine dans le traité de 1763. Les 250 ans du traité de Paris: qui a peur du 10 février 1763? Le silence de nos autorités autour du 250e anniversaire du traité de Paris laisse songeur : le traité de Paris de 1763 n’est-il pas un évènement fondateur?

Non seulement ce traité a-t-il conclu le premier conflit mondial de l’histoire, mais il a aussi jeté les bases de la domination anglo-saxonne du monde contemporain, dont le Canada moderne n’est pas la moindre des manifestations. Le 250e du 13 septembre 1759 avait fait couler beaucoup d’encre. Si (la bataille de) la bataille des Plaines d’Abraham a soulevé les passions en 2009, ne devrait-on pas à plus forte raison commémorer le traité de Paris qui a mis fin à la guerre de Sept Ans? N’est-il pas justifié de souligner au moins tout autant ce traité de 1763 qui aura donné un sens aux batailles de cette guerre? Les batailles sont gagnées par les militaires, mais les guerres le sont par les politiques. Il est vrai que l’encre des traités n’a jamais attiré l’attention autant que la poudre des canons. Dette envers la colonie Vrai deuil.

La Grande Paix 1701. La Grande Paix de Montréal 1701 Description: Pictogrammes des nations signataires : 1. Ouentsiouan représente la nation iroquoise des Onontagués et signe un échassier. 2. Pour les Tsonnontouan, c'est Tourengouenon qui appose la signature de la tortue. 3. Pour les Onneeiouts, la signature représente une fourche au milieu de laquelle se trouve une pierre. 4. L'article suivant provient du magazine "Beaver" du mois de Juin/Juillet 2001 qui traite de l'histoire Canadienne.

Lorsque les Français, au nom des traiteurs de fourrures monopolistes, s'insérèrent dans le rythme de la société des Première Nations au début du dix-septième siècle, ils devinrent impliqués dans les hostilités régionales. Pendant l'été de 1701, Montréal devint un centre sans précédent d'importance politique et de pompe élaboré en recevant pas moins que 1300 envoyés indigènes qui voyagèrent jusqu'a ses rives pour y faire la paix. Une émigration constante avait affaiblit la position démographique des Iroquois encore plus. Postes Canada - Timbre de la Grande Paix de Montréal. Date d'émission: Le 3 août 2001 Article publié dans En détail : les timbres du Canada (vol.

X, no 3, juillet-septembre 2001) L'un des événements diplomatiques les plus importants de l'his- toire de l'Amérique du Nord s'est déroulé en 1701, lorsque la Nouvelle-France et plus de 30 nations amérindiennes ont signé le traité de la Grande Paix de Montréal. Une période tumultueuse Dès son entrée en fonction comme gouverneur de la Nouvelle-France, Louis-Hector de Callière (1648-1703) s'est ingénié à régler le conflit qui opposait les troupes françaises aux Iroquois. Négociations de paix Pour De Callière, la paix avec les Iroquois passait nécessairement par la signature d'un traité qui engloberait aussi toutes les Premières nations alliées des Français. Trois cents ans plus tard La Corporation des fêtes de la Grande Paix de Montréal a été créée en vue d'organiser les festivités qui marqueront, en 2001, le 300e anniversaire de la signature de l'accord.

Enc. Agora | Grande Paix de Montréal. "Montréal, 1701. Louis-Hector de Callière, gouverneur de la Nouvelle-France, et 39 chefs amérindiens signent un traité qui met fin à plus de cent ans de conflits. (...) Événement important dans l'histoire de la diplomatie internationale, ce traité de la Grande Paix mettait un terme aux «Guerres iroquoises» opposant les Iroquois, alliés aux Anglais, aux Hurons, alliés aux Français. "Source: site de Radio-Canada "(...) La quarantaine de nations indiennes représentées à Montréal en 1701 proviennent principalement de la région des Grands Lacs, appelée les Pays d'en Haut par les habitants de la vallée du Saint-Laurent. L'Histoire, qui se veut explication, ne saurait s'accommoder des frontières politiques.

La Grande Paix de 1701 en est une éloquente démonstration. On a dit et répété que celle-ci mettait fin à un siècle de guerres farouches, que les Iroquois avaient été les gros méchants et que les Anglais d'Albany avaient dû s'incliner devant l'habileté diplomatique des Français de Montréal.