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Licence globale

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BeeZik arrête, en partie à cause des majors. C'est un mauvais coup porté à la diversité de l'offre légale en matière de musique.

BeeZik arrête, en partie à cause des majors

Les responsables de la régie publicitaire BeeAd ont annoncé ce jeudi la fermeture volontaire de BeeZik, un site web qui permettait de télécharger gratuitement de la musique contre l'affichage de publicités. Plusieurs raisons ont conduit BeeAd à prendre cette décision, dont l'une concerne directement les majors. Interrogés par Frenchweb, les dirigeants de la régie publicitaire ont expliqué que BeeZik était "très difficilement exportable" à l'étranger du fait "des raisons liées aux exigences des maisons de disques". Dès lors, poursuivre dans cette voie "n'avait plus vraiment de sens au regard des ambitions du groupe", qui souhaite se concentrer sur ses activités publicitaires et son développement à l'international. La licence globale de retour en grâce ? Les acteurs de l'industrie culturelle qui espèrent conserver le contrôle sur la distribution des oeuvres pourront-ils longtemps refuser la proposition de rémunération offerte par la licence globale, qui légaliserait les échanges d'oeuvres sur Internet en contrepartie d'une taxe payée par les FAI et autres acteurs de la chaîne numérique ?

La licence globale de retour en grâce ?

Il y a déjà plus de sept ans, le 21 décembre 2005, à la veille des fêtes de Noël, les députés socialistes avaient réalisé un coup d'éclat en votant un amendement à la loi DADVSI qui légalisait le téléchargement en P2P, et préparait le terrain à la licence globale. Ceux qui ont avaient suivi les débats à cette époque se souviennent de l'émotion intense ressentie par les opposants à la loi de protection des DRM, qui étaient alors insultés par l'industrie musicale dans des campagnes d'affichage qui paraissent aujourd'hui irréelles, et poursuivis en Justice. Depuis, on connaît la suite. Un appel du pied très clair. Licence globale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la licence globale optionnelle selon la définition de l'Alliance Public-Artistes[1] La licence globale est une autorisation donnée aux internautes pour accéder à des contenus culturels (musique, images, films, textes) sur Internet et les échanger entre eux à des fins non commerciales en contrepartie d'une rémunération versée aux artistes proportionnellement à la densité de téléchargement que leurs œuvres ont suscité.

Licence globale

Licence globale et droit de prêt en bibliothèque : même combat! Cet article a été publié il y a 6 ans 14 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour.

Licence globale et droit de prêt en bibliothèque : même combat!

Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Quelques préalables pour comprendre la première partie du titre de ce billet : (si ces quelques points vous intéressent, j’avais publié un gros article sur le sujet) 980 millions de téléchargements de fichiers (de toutes sortes) sont effectués tous les jours sur les réseaux et logiciels de Peer to Peer type Emule, Iphant, Bitorrent, Azureus, etc; Plus de 11 millions français téléchargent tous les jours des fichiers, pas tous illégaux, grâce à ces mêmes logiciels. Selon cet article de Guillaume Champeau l’un des spécialistes de la question, sur l’excellent Numerama:Un Français sur 6 télécharge, soit environ 11 millions de Français.

Pourquoi? Bien sûr la solution n’est pas aisée à mettre en place, mais elle reste aujourd’hui la meilleure alternative possible à la répression, aussi graduée soit-elle…. Auteur : Silvae (1100 Posts) Téléchargement : combien rapporterait la licence globale. Éternel débat autour de la "licence globale" : faut-il mettre en place un système d'abonnement permettant aux internautes de télécharger et de s'échanger des films ou des musiques, parfois piratés ?

Téléchargement : combien rapporterait la licence globale

L'idée refait surface à l'occasion d'une étude publiée par le parlement européen (ici en PDF), et signalée par La Tribune. Conclusion : le prix idéal d'un forfait autorisant le téléchagement et le partage (limité à 50 personnes pour chaque utilisateur) serait de 4,99 euros par mois. Ni trop peu, afin de ne pas détourner les utilisateurs des autres modes de consommation, comme la VOD. Ni trop cher, afin de rester attractif. En France, les revenus générés pour les ayants-droits pourraient théoriquement s'élever à 399 millions d'euros, si la moitié des ménages s'abonnait à ce forfait. La licence globale dans une proposition de loi UDI. En début de semaine, Numerama révélait qu'une fronde parlementaire se préparait pour faire obstacle au maintien de la riposte graduée dans le futur projet de loi Filippetti, alors que le rapport Lescure préconise de transférer le système des avertissements et sanctions de l'Hadopi vers le CSA.

Le coup de grâce est préparé par le député socialiste Patrick Bloche, qui souhaite jouer de son influence sur les sujets culturels pour entraîner une majorité de parlementaires et enterrer ce mécanisme inefficace créé sous Nicolas Sarkozy. Cependant, Patrick Bloche ne parle plus d'instaurer un système de licence globale en compensation, ce qu'il avait défendu avec d'autres au moment des lois DADVSI et HADOPI. Les obstacles techniques et juridiques, et surtout les réticences très fortes des ayants droit, ont eu raison de cette idée de légaliser le partage gratuit des oeuvres entre particuliers, en contrepartie du paiement d'un "droit à partager" redistribué aux créateurs et éditeurs.