Mathilde Howard / Rigerta Gjongecaj 1°3 : le cosmos.
Au VIIIème siècles avant J-C , la civilisation grec accordée une importance, comme divine, au ciel , à la terre , à la mer et aux astres . En effet ils étaient personnifiés par des dieux : La terre représentée par Gaïa , la déesse-mère , l’ancêtre maternelle de toutes races divines qui donne naissance à Ouranos dieu du ciel , Okéanos dieu de la mer et à Hypérion père de Hélios dieu du soleil et Séléné déesse de la lune . Cette personnification leurs permettaient une représentation concrète de l’immensité que pouvait exprimer le ciel , la terre ou encore les étoiles . Ils les assimilaient à des dieux pour leur accorder une présence plus réaliste ce qui rendait la possibilité de les vénérer et de leur remettre des offrandes . Ainsi de nombreux récit témoigne de l’importance accordée au cosmos par la population grec . De nos jours, accordons- nous la même importance au ciel et aux étoiles ? Un exemple en témoigne de notre importance : En Tchongking , une agglomération Chinoise , le ciel est jaune et le soleil n’est qu’une vague lueur . Là les petits chinois ne savent même pas qu’il est bleu et n’ont jamais vus d’étoiles . Des siècles en arrière nous vénérions le ciel, aujourd’hui il existe une ville de plus de 32 millions d’habitants ou les enfants pensent que les étoiles ne sont qu’un mythe . De plus , la pollution lumineuse est présente sur l’ensemble de la surface terrestre . En France , les astronome se déplacent dans le désert d’Atacama pour pouvoir observé le ciel , qui est trop pollué dans l’hexagone . Ce qui en plus, ne profite pas à la diminution des gaz à effet de serre . Ou encore les oiseaux migrateur qui se dirigent en partis avec les étoiles et qui ne parvient plus à trouver leurs routes . La civilisation grec voyait dans la terre , le ciel et les étoiles un certains respect qui de nos jours a diminué . Surement du à l’évolution de notre savoir , en effet les grecs vénérés le soleil par peur qui ne se lève pas . – lurateds1
Maxence 103, Camille 106: signification du temps dans le cosmos. Cosmos Léonie CAFFIAUX 106 et Loane MARMONNIER 103. Cosmos Léonie CAFFIAUX 106 et Loane MARMONNIER 103. Cosmos Léonie CAFFIAUX 106 et Loane MARMONNIER 103.
Cette image est tirée du dessin animé « Le monde incroyable de Gumball » ,nous avons choisi cette image pour représenter le cosmos car elle mélange la 2D et la 3D ce qui créer un équilibre cosmique grâce à la contradiction du réel et de l’imaginaire. Nous pouvons voir en premier plan des personnages un peu loufoques, une famille constituée de deux lapins roses, de deux chats bleus et d’un poisson rouge. Ce dessin animé transforme la réalité, il personnifie des animaux qui eux-même ne ressemble pas vraiment aux animaux ordinaires. Pendant l’espace d’un instant nous pouvons croire à ce monde féerique, il nous offre la possibilité de nous échapper de la réalité, même si ces personnages sont imaginaires ils sont fait de sorte à ce que l’on puisse s’identifier à eux. Le monde de l’animation en général s’inspire du réel pour créer l’irréel, « Le monde incroyable de Gumball » prend l’exemple d’une famille qui se dispute, se réconcilie, affronte des épreuves ensemble, on peut voir aussi à travers cette image les conflits entre les voisins. Ces actions viennent d’une réalité mais sont détournés à la fois pour nous enseigner certaines morales et nous divertir. Cette image tirée de ce dessin animé représente pour nous une réelle idée qu’on ce fais du cosmos car le cosmos ne se définit pas sur qu’un seul thème mais sur plusieurs, cette illustration est donc parfaite selon nous, elle représente le monde imaginaire grâce à la 2D, le monde tel que l’on connaît grâce à la 3D, la famille qui est représentée nous montre les différences entre chaque individus et le lien que ces individus peuvent quand même créer entre-eux, le ciel et le soleil qui sont séparés de dimension mais qui marche ensemble, cet exemple est aussi valable pour les maison en arrière plan. Ce dessin animé illustre une forme du cosmos parce que dans toutes ces différences, tout les contrastes entre réel et imaginaire, on y trouve une harmonie, tout va ensemble, chaque éléments fonctionne les uns avec les autres, les sujets de ce dessin animé sont tellement vaste qu’ils se rapprochent du cosmos. (Léonie Caffiaux et Loane Marmonnier) – lurateds1
Cosmos photo 2 (RODRIGUEZ Nathaniel - LASSERRE Margot) Cosmos photo 1 (RODRIGUEZ Nathaniel - LASSERRE Margot)
Au centre du bouclier, où nous pouvons trouver le cosmos, nous avons décidé de mettre en avant le changement de perspective que nous avons pris depuis l’époque d’Homère. Nous ne sommes plus dans une vision nombriliste où nous sommes au centre de l’Univers, qui est d’ailleurs beaucoup plus vaste que ce que l’on pensait durant l’Antiquité. Nous sommes maintenant réduit à un grain de sable dans l’immensité du monde, alors que nous pensions que la Terre était le centre de l'univers, et que les autres planètes tournaient autours de celle-ci. Mais avec le temps, ce sont bon nombre de nouvelles pensées qui ont bouleversée nos croyances et nous pouvons donc se questionner sur cet Univers. Comme Socrate l'a dit "je sais que je ne sais rien", et de ce point de vu nous pouvons essayer de douter et de faire tomber les facettes du monde pour pouvoir en apprendre davantage. Mais devant autant d’ignorance de notre monde, comment ne pas en arriver à s'enfermer dans le doute hyperbolique comme Descartes a pu le faire, qui craignait que tout, autours de lui, n’étaient qu’illusion,qui à d'ailleurs créé le célèbre aphorisme "je pense donc je suis" (cogito ergo sum) qui veut dire que seul notre pensée ne peut être remis en doute. Le cosmos est donc infini mais peut aussi être une infinité de possibilité par notre manque de connaissance actuel. – lurateds1
Trou noir.