background preloader

Education à l'image

Facebook Twitter

Patrick Chauvel. Rentrée en 6ème : édition spéciale du “Parco News”, le JT du collège. Trois conseils pour débusquer les photos mensongères sur internet - Le Temps. Plateforme numérique d'éducation à l'image — Enseigner avec le numérique. Ersilia (initiée par La Fabrique du Regard, plateforme pédagogique du BAL) a été distinguée dans le cadre du programme La France s'engage.

Elle est diffusée auprès des enseignants sur l'ensemble du territoire national et soutenue par la Direction du numérique pour l'éducation. Comme l'indique Le BAL, l'objectif premier de la plateforme est de penser en images un monde d’images, d'établir des liens entre différents types d’images (art, presse, science, publicité, etc.) issues de différents contextes (presse, internet, musée, salle de projection, espace public, etc.). La navigation dans Ersilia nécessite au préalable la création d'un compte et s'organise à partir de 3 onglets principaux : « Explorer » permet d'accéder à des parcours, des thématiques (2016 « image et territoire », 2017, « image et corps », 2018 « image et mémoire »), des œuvres et documents spécifiques ou à des clés d'analyse.

Sources Réseaux et médias sociaux. Mon Œil ! | LE BAL. « Mon Œil ! » s’adresse aux élèves issus de lycées généralistes, techniques et professionnels. Dans chaque lycée sont associées deux classes. Dans un premier temps, les élèves explorent sur la plateforme en ligne ERSILIA, des ressources visuelles et textuelles pour construire une réflexion commune. Lors de la projection, dans un cinéma partenaire, de courts films d’artistes ou documentaires, ils abordent les problématiques de l’image en mouvement. Dans un troisième temps, la classe découvre l’œuvre d’un artiste et sa mise en espace dans une exposition au BAL.

Le dernier atelier offre à l’équipe enseignante et ses élèves deux possibilités : un workshop avec un professionnel ou un atelier de recherche et de création avec un artiste, en résonance avec le territoire impliqué, ses acteurs et ses ressources. En 2018-2019, « Image de soi, image des autres - Créer ensemble » est la thématique qui fédère les ateliers. En 2018-2019, 400 lycéens issus de 10 établissements : Participer au programme. Comment déjouer les pièges sur Internet ? Comment mieux repérer de fausses photos et vidéos. Une vidéo de l’aéroport de Bruxelles circule… Alors qu’elle avait déjà illustré des attentats à Moscou en 2011, une autre de l’explosion dans le métro… avait déjà en fait été utilisée pour l’attentat de Minsk en 2011.

Etonnant ? Hélas non. Après chaque événement dramatique, de fausses photos et vidéos circulent sur les réseaux sociaux. Comment ne pas se faire avoir ? Voici une boîte à outils pour vérifier leur authenticité avant de les partager. La recherche inversée sur Google Cette fonctionnalité de Google Images permet de retrouver des images similaires à la photo en question. Par exemple, cette photo supposée montrer l’explosion à l’aéroport de Bruxelles. #Breaking: Been a ' huge ' explosion at #Brussels Airport --- smoke rising from building + airport on lockdown pic.twitter.com/MYsBt0kME0 — Raven*H⚓️U*Wolf (@RavenHUWolf) 22 mars 2016 Les résultats de la recherche inversée affiche le titre de l’image «nasa rocket explosion» et laissent peu de doutes quant à l’origine du cliché. On te manipule. Bruno Devauchelle : Vidéos numériques pour la classe : quelles forces et quelles limites ?

Devant l'engouement des jeunes pour les sites de vidéos de toutes natures, et vu le nombre d'heures passées par les adultes et les jeunes devant les écrans (télévisés ou non), il n'est pas étonnant que le monde scolaire s'empare de ce moyen pour l'enseignement. La télévision, longtemps délaissée par l'école qui la considère essentiellement comme un objet de loisir, s'est transformée en trente années. Et l'avènement du multimédia ainsi que la convergence numérique l'ont transformée. La télévision est désormais un élément du paysage vidéo de l'environnement de chacun de nous, mais ce n'en est qu'une partie.

Si son usage reste premier chez les adultes, il se dilue progressivement dans l'ensemble des pratiques d'écrans, d'images fixes et animées, incluant le visionnage en ligne, le téléchargement. La force de témoignage des vidéos La vidéo est un récit Quatrième constat : fabriquer des vidéos, transformer des vidéos est un acte technique qui devient de plus en plus aisément réalisable.

Comment vérifier les images des réseaux sociaux ? De plus en plus d’intox circulent sur les réseaux sociaux, que ce soit sur les migrants, la guerre en Syrie. En fait sur à peu près tous les sujets d’actualité. Un type de manipulation y fleurit particulièrement : les détournements de photos et de vidéos.

La mauvaise nouvelle, c’est que les médias n’ont pas les moyens de vérifier toutes ces images sur le terrain. La bonne, c’est qu’il existe aujourd’hui tout un panel d’outils et de techniques qui permettent d’enquêter sur ces hoax. Comme la désinformation n’est pas née avec Internet, la manipulation d’images n’est pas apparue avec Photoshop et Twitter. Le commissaire Nicolai Yezhov et Staline dans les années 1930. Ce qui a toutefois changé, c’est que la fabrication et la diffusion de ces intox sont aujourd’hui à la portée de tous. Images censées prouver que la voiture des frères Kouachi n’est pas celle retrouvée dans le XIXe arrondissement de Paris. Pour tromper les réseaux, rien de mieux qu’une photo ou encore mieux, une vidéo. L'hebdo Lettres : Quand des collégiens font des selfies pédagogiques.

Accueil. Convaincre par l’image (1900-1939) La photo de l’enfant mort : les professionnels de la photo réagissent | Vu de Visa. La une de The Independent : « Somebody“s child” La photo d’un enfant syrien retrouvé mort sur une plage turque interroge la presse internationale et enflamme les réseaux sociaux depuis mercredi. Il s’appelait Aylan Al Kurdi, avait 3 ans, et venait de Kobané. Présents à Perpignan pour le festival de photojournalisme Visa pour l’image, les professionnels de la photo s’interrogent : fallait-il la publier (rappelons que si elle a fait la une de la presse britannique unanime, pas un journal français ne l’a publiée jeudi matin, le directeur de Libération s’en est expliqué sur son site) ?

Si oui, était-ce le meilleur moyen de secouer l’opinion publique ? Jean-François Leroy, directeur du festival Visa pour l’image : “ C’est une vraie photo de photojournalisme. Je ne comprends pas la réaction de la presse française, parce que si vous voulez, malheureusement, des photos d’enfants syriens morts tentant de traverser la Méditerranée, j’en reçois tous les jours.

Cette photo n’a pas beaucoup de niveaux. Une photo peut-elle changer le cours d'une guerre ? La photo d'Aylan Kurdi, un enfant syrien retrouvé mort sur une plage de Turquie, mercredi 2 septembre, émeut le monde entier. Dans une absolue sobriété, que montre-t-elle ? Une vie naissante fauchée par les fulgurances des guerres, une vie qui cherchait un refuge et qu’un policier turc semble saluer par un temps d’arrêt. L’image choque et provoque. Faut-il la publier ? A quelles fins ? Francetv info : On se souvient de la photo de cette petite fille brûlée par le napalm, courant et hurlant, photographiée en 1972 pendant la guerre du Vietnam. Alain Genestar : Cette fameuse photo, on la recevait comme un coup de poing en pleine figure. Mais ce n’est pas cette image qui a stoppé la guerre. Vous pensez à quoi en particulier ? Je pense aux images rapportées de Syrie par le photographe de guerre Laurent Van der Stockt. Je tiens à dire que les journalistes ne sont pas des enquêteurs de police.

Y a-t-il d’autres exemples de photos chocs comme celle de la petite fille au Vietnam ? VIDEO. Crise des migrants: L'image d'un enfant noyé crée un électrochoc en Europe. MONDE L'embarcation où se trouvait le petit garçon a fait naufrage en tentant de rallier la Grèce depuis la Turquie... 20 Minutes avec AFP Les images font la une d'une partie de la presse européenne.

Alors que les tensions montent face à l'afflux de dizaines de milliers de réfugiés et de migrants, plusieurs journaux britanniques publient des photos choquantes montrant, sur une plage turque, le corps d'un petit garçon de 3 ans mort noyé dans le naufrage de deux embarcations transportant des Syriens.

République Tchèque: La police marque les migrants d'un numéro sur le bras Ces bateaux étaient partis dans la nuit de mardi à mercredi de la ville côtière turque de Bodrum à destination de l'île grecque de Kos, l'un des plus courts passages maritimes entre la Turquie et l'Europe, lorsqu'ils ont chaviré, selon les garde-côtes turcs. «L'humanité échouée» «Symbole du drame migratoire» Même le Daily Mail a choisi de mettre la photo d'Aylan Kurdi en une.

Aylan Kurdi, 3 ans. Ses petites semelles, son T shirt rouge, son short bleu. Un petit corps sur une plage. Toute la presse britannique publie à la Une la photo de Aylan Kurdi, 3 ans, échoué sur une plage de Bodrum, en Turquie, après une traversée ratée vers l'île grecque de Kos, distante de seulement 3 miles. > Cliquez sur l'image pour un gros plan < Devant ce corps échoué, le nez dans la vaguelette, un policier turc immobile.

L'instant d'après, sur une autre photo, le policier s'est saisi du petit corps et, délicatement, comme s'il était seulement endormi, le transporte sans doute vers une morgue. Autant cette seconde photo est acceptable selon les critères de la presse (il y a une intervention humaine, les autorités remplissent leur rôle, même si ce rôle est dérisoire) autant la publication de la première est inhabituelle. En Europe, seule la presse française n'a pas accueilli Aylan à la Une. Les quotidiens qui ont publié la photo de l'enfant réfugié mort expliquent leur choix. La photo d'un jeune garçon au T-shirt rouge mort noyé et que l'on peut voir la tête dans le sable fait la une de nombreux quotidiens étrangers et celle du Monde, ce jeudi 3 septembre 2015.

La question qui anime beaucoup de rédactions est de savoir s'il faut ou non publier de telles images. D'autres ont choisi un certain entre-deux. Sur son site, Ouest France a recadré l'image pour ne pas montrer l'enfant mort sur la plage turque. «Dur rappel» Sur France Inter, l'écrivain, journaliste au Canard Enchaîné et ancien reporter de guerre Sorj Chalandon s'oppose à cette démarche: «J'ai vu cette photographie floutée et non floutée. Cette image n'est pas offensante, elle n'est pas gore, pas de mauvais goût Kim Murphy, rédactrice en chef adjointe du LA Times Dean Baquet, rédacteur en chef du New York Times, qui a choisi de publier l'autre photo, celle où l'enfant est porté par un agent de police turc, explique: «Image qui va rester» Pour Quartz, cette photo a permis une prise de conscience collective: