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Henri Bergson (1859-1941)

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Henri Bergson (1859-1941) philosophe français. Henri Bergson, “Camille BOS. — Psychologie de la croyance, 1 vol. in-18.

Henri Bergson (1859-1941) philosophe français

Paris, Félix Alcan, 1902.” in Revue philosophique, XXVIIe année, n° 7-12, juillet-décembre 1902, pp. 529-533. Compte rendu. Une édition numérique de Bertrand Gibier, bénévole. Texte téléchargeable ! Société des amis de Bergson. Instinct, intelligence et intuition. Instinct et intelligence Si nous pouvions nous dépouiller de tout orgueil, si, pour définir notre espèce, nous nous en tenions strictement à ce que l'histoire et la préhistoire nous présentent comme la caractéristique constante de l'homme et de l'intelligence, nous ne dirions peut-être pas Homo sapiens, mais Homo faber .

Instinct, intelligence et intuition

En définitive, l'intelligence, envisagée dans ce qui en paraît être la démarche originelle, est la faculté de fabriquer des objets artificiels, en particulier des outils à faire des outils et, d'en varier indéfiniment la fabrication. Maintenant, un animal inintelligent possède-t-il aussi des outils ou des machines ? Oui, certes, mais ici l'instrument fait partie du corps qui l'utilise. Et, correspondant à cet instrument, il y a un instinct qui sait s'en servir. Les avantages et les inconvénients de ces deux modes d'activité sautent aux yeux. . [...] Les philosophes distinguent entre la matière de notre connaissance et sa forme. . [ . . . ] [...] Bergson et la nature. Philosophie générale, philosophie religieuse et philosophie politique se mélangent étroitement chez Bergson (sans du tout se confondre).

Bergson et la nature

C'est pour cette raison qu'il en vient à parler de démocratie (et d'autres régimes politiques, comme la monarchie et l'oligarchie) dans "Les deux sources de la morale et de la religion". A propos de ce titre, ce n'est évidemment pas un hasard, si le mot "morale" précède le mot "religion". Bergson - Homme et nature. « L'homme est le seul animal dont l'action soit mal assurée, qui hésite et tâtonne, qui forme des projets avec l'espoir de réussir et la crainte d'échouer.

Bergson - Homme et nature

C'est le seul qui se sente sujet à la maladie, et le seul aussi qui sache qu'il doit mourir. Le reste de la nature s'épanouit dans une tranquillité parfaite. Plantes et animaux ont beau être livrés à tous les hasards, ils ne s'en reposent pas moins sur l'instant qui passe comme ils le feraient sur l'éternité. De cette inaltérable confiance nous aspirons à nous quelque chose dans une promenade à la campagne, d'où nous revenons apaisés.

Mais ce n'est pas assez dire. Henri Bergson : Les deux sources de la morale et de la religion, 1932. Introduction : Tout bien se paie au prix fort. I) Première différence. Elle se décline de trois manières. Le caractère hésitant de l'action humaine au caractère assuré de l'action animale. La conscience que l'homme a de sa finitude à l'inconscience des plantes et à l'absence de conscience de soi de l'animal. Trois lettres de Henri Bergson à Gilles Deleuze. C’est sans commentaire particulier que nous présentons ici le texte de trois lettres autographes inédites adressées par Henri Bergson au jeune Gilles Deleuze.

Trois lettres de Henri Bergson à Gilles Deleuze

Ces documents d’une densité exceptionnelle sont une contribution importante à la compréhension de la méthode philosophique de Bergson, mais ils témoignent tout autant du rôle qu’a pu jouer celle-ci dans la genèse de la pensée deleuzienne. Nous devons aux responsables du fonds Henri Bergson de l’Oxford Philosophical League l’aimable autorisation de les reproduire : qu’ils en soient vivement remerciés. Il n’a malheureusement pas été possible de reconstituer l’intégralité des échanges. La datation exacte reste d’ailleurs à établir, les références aux premiers manuscrits et ouvrages publiés de Deleuze étant trop rares pour se prononcer à ce sujet. Elie DURING Villa Montmorency, 18 Avenue des Tilleuls, Auteuil-Paris [sans date] La nouveauté radicale chez Bergson. Une discussion récente avec une personne chouette m’a ré-aiguillé sur une lecture qui m’avait intéressé et dont j’avais souhaité extraire un article sans en trouver le courage.

La nouveauté radicale chez Bergson

Ce livre c’est La pensée et le mouvant, de Bergson, ouvrage dans lequel la notion du temps et de la nouveauté qui lui est liée sont abordés d’une façon très stimulante. Bergson y revisite notamment la notion de temps en remettant fortement en cause la vision produite jusqu’alors, pour en proposer une appréhension dont il est possible de tirer beaucoup d’idées périphériques. Sa première et principale critique, dont découle les autres m’a-t-il semblé, se concentre sur une vision philosophique du temps qui le restreint à une succession d’instants. Le temps n’y est pas vu comme un flux, mais comme une suite d’évènements que l’on peut découper à l’envie en petites ou grandes parties, mais toujours en conservant cette notion de découpage et donc de succession d’instants, de photos figées en quelque sorte.