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Articles de l'auteur. Success Stori-fy. Copiepresse vs Google: de l’index au majeur. La décision de Google de désindexer les médias belges francophones a provoqué un vif débat sur la relation entre la firme de Mountain View et les éditeurs de presse.

Copiepresse vs Google: de l’index au majeur

Damien Van Achter a ouvert son Google + à la discussion. Ce billet a été initialement écrit sur Google+. Afin d’ouvrir la discussion à ceux qui ne sont pas encore présents sur cette plate-forme (et d’en conserver une trace, #justincase), je le retranscrits ici avec ses commentaires, dont la qualité est vraiment assez remarquable. N’hésitez pas à poursuivre la discussion ci-dessous. (Tx @ Damien Spleeters pour la suggestion) Le conflit entre Google et les éditeurs belges francophones, représentés par Copiepresse, a connu vendredi une nouvelle péripétie avec la désindexation des sites de ces médias du moteur de recherche.

Pour vous rafraichir la cache (mwouarf ! [MàJ - lundi, 18h15 : Une solution vient d'être trouvée entre Copiepresse et Google qui va réindexer les sites de presse.] Commentaires Protocole de désindexation. Néo-journalisme en prise directe. Aux États-Unis, le néo-journalisme, connecté aux réseaux sociaux, est déjà enseigné dans les écoles.

Néo-journalisme en prise directe

Une mutation nécessaire du métier pas encore évidente de ce côté de l'Atlantique, selon notre maître du genre, Damien Van Achter. Être journaliste professionnel et refuser de se créer un compte sur Facebook, devrait, à mon sens, être considéré comme une faute professionnelle grave. Libre à eux de continuer à croire que les habitants du web ne sont qu’une tribu de sauvages pédophiles qui violent les comptes en banque pour se payer de la coke dans la Vallée du Silicone. Ces journalistes-là ne parlent de toute façon déjà plus à personne. Pour Dave Winer, ancien d’Harvard et pionnier du web, c’est le journalisme lui-même qui est en passe de devenir obsolète. Avant qu’internet n’arrive, cela coûtait très cher de transporter de l’information jusqu’aux consommateurs finaux, il fallait un fameux capital, des rotatives, des tonnes de papiers et une armada de camions et de paperboy. Photos FlickR. 10 bonnes résolutions journalistiques. Pour arrêter de regarder passer la révolution numérique qui emporte les médias, tonton Van Achter a listé pour 2012 dix points qui pourraient changer notre manière de faire du journalisme à mettre sous les sapins de toutes les rédactions !

10 bonnes résolutions journalistiques

La recommandation par les pairs est l’un des phénomènes les plus puissants révélé par la “démocratisation de la diffusion”. En 2012, pour les journalistes, et ceux qui aspirent à le devenir, justifier sa place de médiateur de l’information passe donc immanquablement par une plongée en apnée dans le grand bain des réseaux sociaux. Twitter, Facebook, Instagram, Soundcloud, Storify… sont donc AUSSI le terrain. Je n’ai pas de baguette magique mais voici 10 pistes qui me semblent intéressantes à creuser. 1) Trouvez-vous un binôme, un partenaire, un homme/femme de confiance avec qui le courant passe bien. 2) Partagez et donnez à voir de vous tout ce qui permettra aux internautes de sentir de quel bois vous vous chauffez. 4) Testez, expérimentez, bidouillez.