Un bouton filtrant contre l’infobésité. Très régulièrement, voire même de plus en plus souvent, les médias sont accusés d’en faire trop.
Et en effet, dès lors qu’un événement important survient, une chasse au scoop et à l’info exclusive est lancée. On assiste alors à une véritable surenchère médiatique due à une concurrence de plus en plus rude entre les médias. Sauf que cette fois-ci, cette surmédiatisation pose doublement problème: faut-il offrir une tribune à Anders Breivik en couvrant le procès d’une manière aussi intensive? La question est sur toutes les lèvres en ce moment. Anders Behring Breivik faisant son salut d’extrême droite à son arrivée au tribunal, le premier jour de son procès. "Tout se déroule selon le plan de Breivik. " Deux norvégiens sur trois considèrent que les médias en font trop Dans ce contexte là, on comprend aisément que certains norvégiens se posent la question de l’utilité d’une telle médiatisation de cette affaire. 1500 journalistes et techniciens du monde entier à Oslo Un bouton contre l’infobésité.
Breivik : faut-il diffuser le procès du tueur d'Oslo Première journée de procès, première provocation.
A peine arrivé au tribunal d'Oslo et débarrassé de ses menottes, Anders Behring Breivik, le tueur des massacres de l'été 2011 en Norvège, a levé le bras droit, poing fermé. Ce geste extrémiste [...] Ce geste extrémiste est un pied-de-nez glaçant aux familles de victimes et aux survivants massés le 16 avril sur les bancs de la salle. En juillet 2011, Anders Breivik avait fait basculer leurs vies après deux attaques d'une violence inouïe, l'une dans le quartier des ministères à Oslo (8 morts, 98 blessés), l'autre sur l'île d'Utoya, où étaient rassemblés des jeunes militants du Parti travailliste norvégien (69 morts, 60 blessés). Depuis huit mois, Anders Breivik prépare patiemment le procès, à raison de trois heures par jour depuis sa cellule, rapporte Europe1. Les camions de télévision ont assailli les rues jouxtant le tribunal.
Il a, semble-t-il, mûri son discours durant de longues années. EN DIRECT. Breivik plaide non coupable à l'ouverture de son procès. Un survivant de l'île d'Utoeya commente le procès de Breivik, dont la première journée a eu lieu ce lundi.
"La meilleure réponse possible" à la tuerie du 22 juillet, "c'est un procès digne de ce nom, compatible avec notre vision d'une société libre. J'espère que cela ne va pas tourner au cirque". Un bouton pour effacer le procès Breivik? Beaucoup de Norvégiens étant révulsés par le niveau de couverture médiatique du procès de Breivik, le site web d'une publication majeure du pays, Dagbladet, offre aux internautes de supprimer toute mention de sa page principale, en cliquant sur un bouton. Repéré par un journaliste allemand, cité par le Guardian britannique. L'explication réside en partie [...] dans le fait qu'il a commis son geste, qu'il a décrit comme atroce mais nécessaire, afin, comme il dit, de sauver l'Europe d'une guerre en cours. Breivik devant ses juges. Devant le palais de justice d'Oslo, on procède aux derniers préparatifs.
Les cars régie des télévisions norvégiennes sont en place, ainsi que des estrades pour que les reporters de la télé puissent faire leurs plateaux avec l'entrée du tribunal en toile de fond et deux grosses tentes destinées à filtrer les centaines de journalistes, témoins, experts, juristes et spectateurs, car le niveau de sécurité sera maximum.
Le procès Breivik, qui s'ouvre lundi 16 avril à Oslo, est le plus important depuis la Seconde Guerre mondiale en Norvège. La-norvege-redoute-le-piege-du-proces-breivik_1685510_3214. Cachez-ce-monstre-que-nous-ne-saurions-voir_1685377_3232. Norwegian media offers "Breivik-free" pages online. Dagbladet.no - forsiden. Sick of William & Kate? The Guardian Creates 'Royal Wedding Free' Version of Its Website. Paper embeds a toggle button on homepage for users already sick of William & Kate While an estimated 2 billion people were soaking up Royal Wedding coverage like a tea-dunked scone, not everyone in the world was enjoying it.
Also read: Royal Wedding Review: The Season Finale of 'William & Kate Plus 2 Billion' Sensing some Royal exhaustion among its readers, London’s Guardian created an alternative, William & Kate-free version of its website. The paper embedded a toggle button at the top of the homepage — one for “Royalists,” the other for “Republicans” (not the political party — the ideology). It’s not quite on the level of that Charlie Sheen blocker for your browser a couple of enterprising programmers built back in March, but for those suffering from Royal fatigue, it’ll do just fine. Bloody brilliant. La couverture médiatique du procès d'Anders Breivik fait débat · LucileJeanniard.