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Genre & Santé

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Où sont les femmes dans les recherches sur l'orientation sexuelle? Quand je compulse la littérature biomédicale sur la manière dont se développe l'orientation sexuelle (ne jugez pas mes hobbies, merci), je remarque trois choses. La première est évidente: quand on compare, par exemple, à la dysfonction érectile ou à l'alopécie masculine, il n'y a pas tant de recherches que ça sur les origines biologiques de l'orientation sexuelle. La seconde marque le triomphe de la science. Des chercheurs ont réussi à comprendre que les hommes étaient davantage susceptibles d'être gays s'ils avaient plusieurs grands frères d'une même mère biologique, ou s'il héritaient de certains gènes de leur mère, dont certains semblent identiques à ceux augmentant la fertilité de leurs apparentées.

L'orientation sexuelle féminine peu étudiée Mais la troisième chose que je remarque, c'est un truc qui manque. Les chercheurs observent que des différences génétiques doivent expliquer en partie le développement de l'orientation sexuelle chez les femmes La tare du troisième sexe. Gender systems. Gender systems are systems of gender roles in societies. A gender role is "everything that a person says and does to indicate to others or to the self the degree that one is either male, female, or androgynous. This includes but is not limited to sexual and erotic arousal and response. "[1] Gender identity is one's own personal experience with gender role and the persistence of one's individuality as male, female, or androgynous, especially in self-awareness and behavior.

Gender binary is one example of a gender system. Non-European gender systems[edit] In cultures where the gender binary is prominent and important, transgender people are a major exception to the societal norms related to gender. Native American[edit] When European settlers first arrived in North America, they discovered different Native American tribes had different concepts of sex and gender. The Mohave Alyha[edit] In Mohave society, pregnant women believed they had dreams forecasting the anatomic sex of their children. Quand l’homosexualité était une maladie. Temps de lecture: 5 min Pour «guérir» l’homosexualité, une association de médecins allemands proposait en juin denier un traitement homéopathique. Tollé général: comment en 2011 peut-on encore considérer l’homosexualité comme une pathologie?

Il suffit de regarder pas très longtemps en arrière: c’était encore le cas en France il y a une vingtaine d’années. Pour voir à quel point le statut des homosexuels a évolué, il suffit de mettre leurs luttes en perspective: aujourd’hui, les militants gays militent pour le droit au mariage ou à l’adoption, mais il y a 30 ans, leurs revendications concernaient la dépénalisation et la démédicalisation de leur sexualité réprimée par le code pénal et stigmatisée par la médecine. Considérée comme une pathologie psychiatrique jusqu’en 1973 aux USA et jusqu’en 1992 en France, l’homosexualité avait sa place dans un diagnostic au même titre que le schizophrénie ou la dépression. Et l’homo est devenu un malade mental Un comportement pervers Clément Guillet. LE GENRE. Gender biases and discrimination wgkn 2007. Syndrome d’Asperger | Autismes et discriminations. J’ai lu il y a quelques années un article absolument passionnant du Dr Ruth Baker – elle-même autiste Asperger – sur les individus qui se situent à l’extrémité invisible du spectre autistique. (1) Elle aborde dans cet article la question épineuse du diagnostic pour ces individus qui, s’ils ne présentent pas toutes les caractéristiques de l’autisme, auraient pourtant besoin de voir leurs difficultés légitimées par une reconnaissance officielle.

C’est par exemple le cas de certains adultes, des femmes, et des personnes douées/surdouées. Ces personnes passent inaperçues car, vu de l’extérieur, leur vie semble tout à fait banale (pour ne pas dire « normale »). Elles ont un emploi, une vie de famille, des activités. Mais cette apparente normalité ne s’obtient qu’au prix de nombreux efforts et est le résultat de puissantes stratégies de compensation mises en place au fil des années. Les traits autistiques sont donc bien présents, mais masqués par des années de « caméléonite aigue ». Sources : Le combat des femmes Asperger pour obtenir un diagnostic.

Je suis intervenue récemment dans l’amphi de la fac de psycho auprès des étudiants de 3è année pour leur présenter le syndrome d'Asperger : principales caractéristiques, différences entre les hommes et les femmes, difficultés à obtenir un diagnostic… tout y est passé. J’ai ponctué cette description d’anecdotes personnelles, avec une dose d’humour et beaucoup de recul, l’idée étant de les sensibiliser à notre pain quotidien sans tomber dans le misérabilisme, et de leur démontrer que la « pratique » (ce que l’on vit et ce que l’on est) diffère de la « théorie » (description générique du syndrome). L'intervention s’est très bien déroulée. Certes, j’ai failli m’évanouir deux ou trois fois par manque d’oxygène (quand je suis stressée, je suis essoufflée, et j’ai beaucoup de mal à parler!)

Mais mis à part ça, tout s'est bien passé. Les étudiants ont même rigolé à mes blagues, c’est dire ! - Qu’est-ce-qui t’a motivée à témoigner ? Allez droit au but quand vous parlez. OUI, oh que oui ! OUI. Le SA chez la femme. 16 mars 2013, 20:29 Traduction en français du texte de Tania Marshal dont vous trouverez la version originale sur son blog : Le profil féminin du Syndrome d'Asperger a largement été ignoré dans la recherche et dans les définitions du Syndrome Asperger. C'est le résultat d'un fort sexisme, et les femmes peuvent être considérées comme « les orphelines de la recherche ». Beaucoup de filles et de femmes atteintes du Syndrome Asperger ou d'autisme au fonctionnement élevé volent sous le radar sans être détectées par des professionnels de santé ou sont mal diagnostiquées, ce qui mène ensuite à des années de mauvais traitements et d'interventions.

Le diagnostic du Syndrome Asperger chez les filles et les femmes est un domaine plus récent dans la recherche sur l'autisme et l'expérience clinique/anecdotique. 4 - Elles sont généralement calmes, sont souvent bien éduquées et polies et sont de ce fait laissées seules par les enseignants, leurs camarades ou les autres membres du personnel de soutien. Le syndrome d'Asperger au féminin. Le syndrome d'Asperger (prononcer "asperguère"), forme "légère" d'autisme, est très mal connue en France. Même si vous avez vu le fameux docu-fiction "Le cerveau d'Hugo", cela ne vous permettra pas forcément de reconnaitre un aspie lorsque vous en croiserez un. L'autisme est un trouble neurologique, ce n'est PAS une maladie mentale. Les "aspies" ne présentent ni retard de langage ni de retard intellectuel, certains sont même extrêmement éloquents et peuvent avoir tendance à monologuer, d'autres feront du mutisme sélectif en société alors qu'ils s'expriment normalement lorsqu'ils sont en famille, certains feront de hautes études...

Voici une liste détaillées des caractéristiques des femmes "Aspies": Par Samantha Craft dans Everyday Asperger’s, Mars 2012 Traduction par Véronique Laurent d'un texte qu'on peut trouver à cette adresse: Section A : Profondes penseuses 1.