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Questions tranversales

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Les représentations.

Le constructivisme

Piaget et le constructivisme. Questions de méthodes. Modernité avancé ou postmodernité ? La Recherche Action. Formation action. - la_recherche_participante.pdf. Grondin_Sens_de_la_vie_2001. Expliquer / Comprendre. Page 1 - Propédeutique pour mieux comprendre: Tout à coup, je comprends (connaissance propre à moi, en première personne), j'interprète, le comportement d'un étudiant (= X) par une opération qui m'est propre: je relie, je prends ensemble en un éclair ce qu'une intuition synthétique me fait, d'un même coup, pénétrer et relier: je suis capable de déterminer ses conditions de vie, par exemple la précarité, de longs déplacements, la nécessité de travailler aussi pour gagner sa vie, des causes (tel ou tel handicap physique) et des motifs qui habitent X, ses raisons intellectuelles d'agir. Que s'est-il passé ? Ce qui était pour ainsi dire plié (plicare en latin), je le saisis déplié (multiple)en fonction de l'unité d'un sujet (X), je le prends ensemble dans la clarté.

=> Or dans cette exposition des causes (expliquer c'est donner les causes) quelque chose m'échappe maintenant, un "petit rien" qui jette le doute et l'incertitude sur la rigueur de l'enchaînement qui habite mon discours. ...Interpréter. I. Autour du mot. On distinguera soigneusement expliquer, comprendre, interpréter Alors que expliquer c'est mettre en évidence un processus causal antécédent (la photosynthèse est un processus produit par un processus solaire), interpréter c'est donner un sens, par exemple à un comportement: une signification et une fin.

L'interprétation est d'ordre intuitif, l'explication est d'ordre analytique et discursif. Exemple: un tel sourit: il se moque (= signification) pour m'exaspérer (= fin). cela revient à considérer autrui comme un texte écrit qui ne peut, bien entendu, se défendre et qui est à la merci de l'interprétation. "Il se ronge les ongles parce qu'il se sent coupable On serait tenté d'identifier expliquer et comprendre: et, certes, toute interprétation est, en un sens, compréhension dans la mesure où elle prend ensemble par exemple, un regard et UN sens, un texte et UN sens.

Autant dire, que la compréhension a une "fin": elle se termine dès que le sens est saisi. II. Quelques remarques sur la compréhension et l’explication.

La notion de complexité

Remarques sur la pensée aronienne de l’histoire. L'identité : le sujet retrouvé. La postmodernité De la critique du sujet moderne à l’effacement du sujet. Université de Nantes UFR Lettres et Langages Département de Philosophie La postmodernité De la critique du sujet moderne à l’effacement du sujet Mémoire de Master 1 de Philosophie Présenté par Philippe Coutant Sous la direction de M. Jean-Claude Pinson Professeur associé M. Renaud Barbaras année 2007-2008 Ce mémoire a été refusé en Mai 2008. Un second mémoire a été présenté en Septembre 2008. Subjectivité et postmodernité, Éléments de recherche Il est disponible sur demande : 1libertaire (at) free.fr ou via l'adresse postale : Philippe Coutant C/O Bellamy 17 17 Rue Paul Bellamy 44000 Nantes Liminaire La question de la postmodernité est devenue un objet de recherche en philosophie, parce que les réponses antérieures sont en difficulté.

La question du sujet est un des enjeux principaux de l’étude de la définition de la postmodernité. Nous commencerons par nous interroger sur la qualification de la définition de la postmodernité. Ce parcours reste classique, le chemin est déjà balisé. Chapitre I.

La déconstruction

La pensée critique. LA TRANSVERSALITE DE LA PENSÉE CRITIQUE COMME COMPÉTENCE. Tout comme l’auteur n’est pas l’acteur, Libre-pensée. Définition[modifier | modifier le code] Il existe des liens étroits entre la libre-pensée, l'athéisme, le scepticisme, le rationalisme ou encore l'humanisme. Toutefois, la définition précise de la libre-pensée n'a jamais fait l'objet d'un consensus. Par exemple, en principe, un libre-penseur peut croire en l'existence d'un dieu, si la base de cette conviction est un argument rationnel, plutôt qu'un argument fondé sur une autorité ou une tradition. Toutefois, certains libre-penseurs athées, qui considèrent qu'il n'y a pas d'argument rationnel en faveur de l'existence d'un dieu, auront du mal à accepter que de tels croyants se disent libre-penseurs.

Chez certains libres-penseurs (particulièrement en Belgique), cette attitude fait également intervenir la notion de libre examen. Histoire[modifier | modifier le code] Date symbolique (1600)[modifier | modifier le code] L'année 1600 est souvent considérée comme fondatrice de la libre-pensée moderne. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.