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Informatique / Economie

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Au fait, c’est quoi Google I/O ? VivaTechnology | Startup Connect – Paris 2017. Le salaire des développeurs en 2017 | JobProd. Quel salaire gagne un développeur en 2017 ? Nous sommes heureux de vous présenter cette nouvelle étude, qui a eu beaucoup de succès ! Grâce à un travail préparatoire nous avons dressé un sondage auquel 1820 développeurs et développeuses ont répondu. Nous avons pu ainsi identifier des fourchettes de salaire en fonction de différents facteurs : le poste, le statut, l’expérience professionnelle, la région ou même les langages de programmation sur lesquelles travaille le développeur… Avant-propos : Présentation du panel interrogé Il sont donc 1820 tech à avoir répondu à notre sondage sur le salaire des développeurs, posté le 09 janvier dernier sur le blog JobProd. 9,1% des sondés sont des femmes et 90,9% sont des hommes. 51,2% des profils travaillent actuellement en Ile-de-France quand 48,8% exercent en province.

Parmi les répondants nous comptons : Concernant le niveau d’étude des personnes interrogées : 1) Combien gagne un développeur d’Ile-de-France VS un développeur en province ? A. B. A. Le data scientist aime son travail, vraiment - ZDNet. Une nouvelle étude de CrowdFlower, entreprise spécialisée dans l'intelligence artificielle, révèle que la majorité des data scientists ont le sentiment d'avoir hérité du travail le plus séduisant du siècle. Si la nature sexy de ce poste est discutable, il est clair en revanche que les taux de satisfaction au travail sont élevés dans cette carrière florissante. Selon les résultats de l'étude, plus de 90% des data scientists interrogés se déclarent heureux de faire leur travail, et près de 50% vont jusqu'à se dire ravis. 9 sur 10 se voient offrir un nouveau job chaque mois Les scientifiques des données sont effectivement le moteur humain derrière les technologies les plus importantes d'aujourd'hui, y compris l'intelligence artificielle, l'apprentissage machine, les algorithmes et les analyses.

Ce rapport suggère que la plupart des data scientists ont bien conscience de leur importance et savourent la pérennité de leur poste. Le gros du boulot est pourtant fastidieux. Google envisage de lancer son propre bloqueur de publicités. Le géant du Web, roi de la publicité en ligne, viserait les formats jugés les plus intrusifs, et pas les annonces gérées par ses plate-formes. Roi de la publicité en ligne, Google pourrait bientôt lancer un bloqueur de… publicités (adblock). Selon le quotidien économique Wall Street Journal, le moteur de recherche devrait ajouter cette fonctionnalité à son navigateur Internet Chrome, sur PC comme sur mobiles. Une annonce est attendue au cours des prochaines semaines, peut-être à l’occasion de sa conférence annuelle Google I/O, qui se tiendra à la mi-mai. L’objectif serait avant tout défensif : encadrer l’essor rapide de ces logiciels, qui pourrait affecter ses recettes publicitaires.

Selon les estimations de la start-up PageFair, à la fin 2016, plus de 615 millions de terminaux étaient équipés d’un bloqueur de publicités, soit onze fois plus qu’au début de l’année 2014. Face à cette menace, la riposte s’organise. Limiter la frustration Google devrait activer son bloqueur par défaut. VMware s’empare d’Apteligent, un accélérateur de performances. Il y a à peine un mois, VMware rachetait Wavefront, une start-up spécialisée dans la gestion de portefeuille d’applications Cloud.

L’éditeur de solutions de virtualisation et pour le poste de travail continue ses emplettes en annonçant le rachat d’Apteligent. Il s’agit d’une start-up lancée en 2011, initialement connu sous le nom de Crittercism, qui a commencé par éditer un outil d’analyse des performances des applications mobiles et des données. Au fil du temps, cette solution s’est transformée en une plateforme à destination des développeurs, pour comprendre différents paramètres, comme les rapports de panne, des informations sur le réseau, ou analyser les comportements des clients et améliorer les expériences des utilisateurs.

Sur le plan financier, Apteligent a levé 50 millions de dollars depuis son lancement. Parmi les investisseurs, on peut citer Scale Venture Partners, GV, Shasta Ventures, KPCB, AngelPad et AOL Ventures, ainsi qu’Accenture et VMware. A lire aussi : 2 nouvelles dispositions légales contre l'obsolescence programmée. Décidément les choses bougent sur le front de l’obsolescence programmée. Après la Commission européenne qui va pouvoir imposer aux industriels un chargeur de téléphone standard en Europe, c’est en France que la loi Hamon vient d’apporter deux nouvelles pierres à la lutte contre le gaspillage.

La loi sur la consommation, dite « loi Hamon », publiée le 18 mars 2014, prévoit, entre autres, deux dispositions phares qui faisaient partie de la proposition de loi sur l’obsolescence programmée de Jean-Vincent Placé. 1. La durée de la garantie légale étendue La durée de la garantie légale de conformité et de la garantie relative aux défauts de la chose vendue est ainsi portée à 2 ans. Cette limite vise à pousser les industriels et les marques à commercialiser des produits dont la durée de vie est plus longue. 2. Concernant l’allongement de la durée de vie des produits, l’information des consommateurs des possibilités des réparations ultérieures possibles est désormais fixée par la loi.

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