'Godfather of multiculturalism' Stuart Hall dies aged 82. Academics, writers and and politicians have paid tribute to one of Britain's leading intellectuals, the sociologist and cultural theorist Stuart Hall, who has died age 82. Known as the "godfather of multiculturalism", Hall had a huge influence on academic, political and cultural debates for over six decades. Jamaican-born Hall was professor of sociology at the Open University from 1979 to 1997, topping off an academic career that began as a research fellow in Britain's first centre for cultural studies, set up by Richard Hoggart at the University of Birmingham in 1964.
Hall would later lead the centre and was seen as a key figure in the development of cultural studies as an academic discipline. His impact was felt far outside the realms of academia, however. His writing on race, gender, sexuality and identity, and the links between racial prejudice and the media in the 1970s, was considered groundbreaking. C.S.O. Centre de Sociologie des Organisations. Directeur de recherche de classe exceptionnelle Axes de recherche Michel Crozier (1922) est membre de l'Académie des sciences morales et politiques depuis 1999. Création d’un site sur Michel Crozier, fondateur du CSO , réalisé par l’Association "Les Amis de Michel Crozier" : www.michel-crozier.org Au sortir de la guerre, après des études commerciales et une licence de droit, Michel Crozier obtient une bourse pour étudier les syndicats aux États-Unis. Il entreprend sa première recherche empirique sur les Chèques Postaux.
En 1959, il est invité par la Fondation Ford au Center for Advanced Studies in the Behavioral Sciences, à Palo Alto en Californie, et y commence la réflexion qui va le conduire à la rédaction, d’abord en anglais, puis en français (sous forme de thèse d’État) de son livre Le Phénomène bureaucratique , qu’il publie en 1964. Mais, pour Michel Crozier, la théorie sociologique n’est pas une fin en soi. Par Erhard Friedberg, avec l'autorisation des editions Banlieues Media©
Henri Lefebvre, penseur de la vie quotidienne. Henri Lefebvre, Critique de la vie quotidienne Associé au souci du pauvre, le pain, ou au train- train d’une vie banale et désillusionnée, « le quotidien » est devenu une notion à la fois floue et désirable, attrayante et répulsive. Elle navigue entre la banalité de l’existence et l’écueil des tracas. Elle trouverait en quelque sorte sa traduction dans « le journal », bien résumée dans la rubrique « Horoscope » : « Amour, Travail-Argent, Santé ».
On comprend quel a pu être le mépris d’un Heidegger voyant dans l’ Alltäglichkeit la-vie-quotidienne-marigot, où s’abrasent les différences. L’homme moderne, apathique ou affairé, fuit dans le chez-soi navrant de la quotidienneté. Mais en voulant s’emparer par les mots et la pensée de cet objet mouvant par excellence qu’est la vie quotidienne, Henri Lefebvre avait une ambition qui, pour accessible qu’elle parût au premier abord, recelait de redoutables difficultés.
Jean-François Poirier Partagez cette page sur vos réseaux sociaux favoris! Welcome to the Anthropocene. Pierremerckle.fr — de la sociologie et plein d'autres choses. La Quatrième Question – Le blog de Jean-François Dortier. Site personnel de Philippe Cibois. Thomas Kuhn. Thomas Samuel Kuhn (/ˈkuːn/; July 18, 1922 – June 17, 1996) was an American physicist, historian, and philosopher of science whose controversial 1962 book The Structure of Scientific Revolutions was deeply influential in both academic and popular circles, introducing the term "paradigm shift", which has since become an English-language staple. Life[edit] Kuhn was born in Cincinnati, Ohio, to Samuel L. Kuhn, an industrial engineer, and Minette Stroock Kuhn. He graduated from The Taft School in Watertown, CT, in 1940, where he became aware of his serious interest in mathematics and physics.
Thomas Kuhn was married twice, first to Kathryn Muhs with whom he had three children, then to Jehane Barton Burns (Jehane R. Kuhn was an agnostic.[4] His family was Jewish on both sides. The Structure of Scientific Revolutions[edit] Kuhn's work has been extensively used in social science; for instance, in the post-positivist/positivist debate within International Relations. Polanyi–Kuhn debate[edit]