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18_07_11

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Le centième singe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les macaques japonais de l'expérimentation Le centième singe est une expression désignant, à l'origine, un phénomène supposé par lequel un apprentissage se serait répandu depuis un petit groupe de singes à toute la population des singes de la même espèce, une fois qu’un certain nombre d’entre eux aurait été atteint (masse critique ou transition de phase). Dans le courant New Age, l'expression se rapporte à une propagation paranormale d’une idée, d’un savoir ou d’une capacité au sein d'une population humaine (comme dans le concept de résonance morphique de Rupert Sheldrake) sans qu’il y ait de transmission visible et une fois qu’un nombre clé de personnes aurait acquis ce savoir ou cette capacité.

Le phénomène est généralement considéré dans la communauté scientifique comme une légende urbaine. Origine de la théorie[modifier | modifier le code] L’expérimentation examinée[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code] Going Home - (HDR London, England) Maya. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Nom 1, adjectif) (1877) Mot d’origine mexicaine. (Nom 2) Transcription du mot bulgare мая. Adjectif[modifier | modifier le wikicode] maya /ma.ja/ masculin et féminin identiques Variantes orthographiques[modifier | modifier le wikicode] (rare avec majuscule initiale avec valeur adjectivale) Cette forme naturelle dans le principe a dû être exagérée par l’habitude qu’avaient quelques-uns de ces peuples de déformer le crâne des nouveaux-nés par des moyens artificiels.

Note[modifier | modifier le wikicode] Certains considèrent maya comme invariable ; l’usage courant autorise le pluriel. Les coutumes maya ou (plus courant) Les coutumes mayas. Nom commun 1[modifier | modifier le wikicode] maya /ma.ja/ masculin (Linguistique) Langue parlée par les Mayas et leurs descendants.

Dérivés[modifier | modifier le wikicode] maya Un. Illusion. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin illusio (« ironie », « illusion, tromperie ») dérivé de illudere (« jouer avec, se jouer », « railler »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] illusion /i.ly.zjɔ̃/ féminin Fausse apparence matérielle ou morale qui, en nous faisant voir les choses autrement qu’elles ne sont, semble se jouer de nos sens ou de notre esprit.

Synonymes[modifier | modifier le wikicode] fausse apparence Antonymes[modifier | modifier le wikicode] Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Expressions[modifier | modifier le wikicode] faire illusion, paraître, à quelqu’un, autre que l’on n’est réellement.Se faire illusion à soi-même, S’abuser soi- même et à son avantage. Traductions[modifier | modifier le wikicode] Prononciation[modifier | modifier le wikicode] France : écouter « illusion [i.ly.zjɔ̃] » illusion sur Wikipédia.

Ludo. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Espéranto[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Du latin ludus. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] ludo /ˈlu.do/ Jeu. Expressions[modifier | modifier le wikicode] Olimpiaj ludoj Ido[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) De l’espéranto ludo.

Nom commun[modifier | modifier le wikicode] ludo /ˈlu.dɔ/ Jeu. Latin[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Julius Pokorny [1], s’appuyant sur la forme archaïque loedus de ludus, l’apparente au grec ancien λοίδορος, loídoros (« injurieux ») → voir « se jouer (= se moquer) de quelqu’un ». Pour Lewis & Short [2], du radical sanskrit *krīd- avec la même chute du /k/ qu’entre laus et clueo. Verbe[modifier | modifier le wikicode] Jouer. Lūdō transitif Employer à s’amuser. Jocor, nugor loué. Robert Dilts. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Dilts Compléments Robert Dilts (né en 1955) est un auteur, formateur et consultant américain travaillant dans le domaine de la Programmation Neuro-Linguistique (ou PNL) depuis sa création en 1975 par John Grinder et Richard Bandler. À partir des années 80, il formalise le modèle des "niveaux logiques", qui entraînera une seconde génération en PNL.

Auparavant, Grinder et Bandler avaient modélisé la manière d'explorer le vécu subjectif et sensoriel d'un sujet, ainsi qu'une multitude de techniques de changement. Le modèle des niveaux logiques de Robert Dilts va permettre non seulement d'élargir une vue plus globale et systémique d'une problématique, mais aussi d'organiser les techniques en fonction du niveau où elles interviennent. Dilts a participé à la rédaction de l'Encyclopedia of Systemic NLP. Alors étudiant à l'université de Californie, à Santa Cruz dans les années 70, Dilts a créé une bande dessinée intitulée « Jimmy the Geek »[1]. Concept. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents philosophes ne sont pas nécessairement d'accord sur ce qu'est exactement un concept, au-delà de cette définition générale, bien que des lignes centrales puissent être dessinées.

Ainsi, un concept est souvent une idée générale (le concept de chien rassemble tous les chiens existants et possibles), mais pas nécessairement (chez Leibniz, la notion complète exprime la substance individuelle et ne correspond qu'à elle ; par ailleurs, un nom propre peut être considéré, selon certaines théories philosophiques, comme exprimant le concept d'un individu[1]). Sens étendu[modifier | modifier le code] Par extension (et, selon plusieurs, par abus), on désigne comme concept toute idée, le plus souvent commerciale, plus ou moins novatrice. Le concept dans la philosophie du langage[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, Frege et Carnap, opposés au « psychologisme », préféraient considérer les concepts comme des entités abstraites[3]. Rocamadour. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rocamadour, « citadelle de la Foi », est également un site touristique de premier plan, l'un des plus visités de France avec 1,5 million de visiteurs par an, après Le Mont-Saint-Michel, la cité de Carcassonne, la Tour Eiffel et le château de Versailles[2].

La cité médiévale, aux ruelles tortueuses, est gardée par une série de portes fortifiées (porte Salmon, Cabilière, de l'hôpital, du figuier). Un escalier monumental, que les pèlerins gravissaient (et gravissent parfois encore) à genoux conduit à l'esplanade des sanctuaires, où se cotoient la basilique Saint-Sauveur, la crypte Saint-Amadour (classées au patrimoine mondial de l'humanité[3]), les chapelles Sainte-Anne, Saint-Blaise, Saint-Jean-Baptiste, Notre-Dame (où se trouve la Vierge noire) et Saint-Michel. L'ensemble est dominé par le palais des Évêques de Tulle[1]. Un chemin de croix conduit au château et à la croix de Jérusalem, où a été aménagé un belvédère. Les Sanctuaires.