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ART DE RUE

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Royal de Luxe - Compagnie de théâtre de rue. VIDEOS. Street art. Street Art. JEF AEROSOL artiste urbain ( pochoiriste ) Jef Aérosol - Interview. Interview un peu inhabituelle dans nos colonnes : un peintre qui enchaîne en ce moment les expositions en France et à l'étranger pour des pochoirs qui sont maintenant reconnus internationalement.

Jef Aérosol - Interview

Le lien avec la musique, me direz-vous ? C'est que Jean-François Perroy, alias Jef Aérosol est, de son propre aveu, un "enfant du rock", et que, toute son œuvre, qu'elle soit picturale ou musicale, porte plus ou moins directement la griffe pop. Jef Aérosol sort un recueil de ses œuvres au pochoir, "VIP : Very Important Pochoirs", aux éditions alternatives, commenté par ses soins. Trois lignes et un regard sur ses œuvres suffisent pour comprendre : l'homme connaît ses classiques. De Donovan aux Flamin Groovies en passant par Romy Schneider et Keith Richards, tout y passe. D'où est venue l'idée de cette compilation de ton travail ? Est-ce que ce "journal de souvenirs", tel que tu le qualifies, peut être assimilé à ce que l'on nomme la "culture rock" ? News - Site Jimdo de jefaerosol! Jef Aerosol. Jef Aérosol. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jef Aérosol

Jef Aérosol à Paris en 2010. Jean-François Perroy, plus connu sous le pseudonyme Jef Aérosol, né à Nantes le 15 janvier 1957, est un artiste pochoiriste français issu de la première vague de « street art » (art urbain) du début des années 80. Biographie[modifier | modifier le code] Jef Aérosol réside à Lille (Nord) depuis 1984. Il y fut enseignant mais se consacre désormais entièrement à sa carrière artistique. Il peint son premier pochoir à Tours en 1982. Pochoir de Jef Aérosol à Paris. Mais une grande partie de son travail est consacrée aux anonymes de la rue : musiciens, passants, mendiants, enfants…

BLU. Street Art. Find Out How Graffiti and Underground and Street Art Became Mainstream Gallery Art with Time Out London. An old Banksy favourite on Regents Park Road, NW1, by Marcela Cuneo Graffiti has always been a dirty word for a dirty art form that blights our city’s walls and trains.

Find Out How Graffiti and Underground and Street Art Became Mainstream Gallery Art with Time Out London

Night after night, indecipherable tags and secret codes are scrawled on railway sidings and pedestrian bridges, while dripping silver spray paint smears every other high-street shopfront. Most passers-by are immune to its messages; others are confused or angered by the visual intrusion into their daily commute. Yet, all of a sudden, the newspapers are full of stories – seemingly from a parallel universe – in which anger is vented at ignorant councils who whitewash over treasured illegal murals and masterpieces painted by hooded men under the cover of darkness. The media frenzy has, so far, centred on the graffiti world’s very own Scarlet Pimpernel – who may or may not once have been a bit pimply himself – the bearded Bristolian thirtysomething called Robert Banks, or just Banksy.

Street Art.