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Le New York Times met fin à son appli pensée pour les jeunes. Innovante, l'appli NYT Now n'a pourtant jamais trouvé son public. Un échec expliqué par un environnement hostile aux nouvelles applications d'actualité. Le 29 août, l'application NYT Now disparaîtra de l'App Store d'Apple et du PlayStore de Google.

Lancée début 2014, cette innovation du New York Times était à l'époque révolutionnaire. Pensée pour le mobile, l'application proposait une sélection des meilleurs articles du journal, mais aussi d'autres publications externes, assorties d'un «brief» du matin et du soir sur l'actualité de la journée. NYT Now ciblait explicitement les moins de 35 ans, plus accros à leur smartphone qu'à un journal papier, et avait pour but de leur faire découvrir la richesse du New York Times. Mais ses initiateurs ont rapidement réalisé qu'ils faisaient fausse route. Deux facteurs expliquent l'échec du NYT Now: Si elle n'a pas trouvé son public, l'application NYT Now aura servi de laboratoire pour grandement améliorer l'application principale du journal.

Applications de messagerie mobile, passage obligé pour les éditeurs : l’exemple de la BBC. Le mobile – et notamment les applications de messagerie instantanée – est devenu un passage obligé pour les éditeurs et les annonceurs non seulement parce que son usage explose mais aussi parce que dans certains pays émergents ou en développement il est le seul moyen d’atteindre les utilisateurs, de surcroît les jeunes utilisateurs. C’est aussi grâce à ce raisonnement que le service mondial de la BBC a décidé récemment de distribuer du contenu journalistique vidéo spécifique de certaines de ses émissions aux utilisateurs d’applications de messagerie instantanée et de chat Viber et WhatsApp.

C’est une première selon la BBC. La chaîne a notamment observé le rôle de ces applications lors des élections en Inde en 2014 et de la crise du virus Ebola en Afrique de l’Ouest en 2015. L’utilisation de ces plateformes pour partager les documentaires de la chaîne est vue comme une nouvelle et importante étape qui aidera à augmenter « la vie et la couverture des programmes télé ». Les applis s'utilisent de plus en plus régulièrement. La consommation de l'information en ligne augmente avec le nombre de mobiles. La demande d'informations sera en grande partie déterminée par les habitudes des utilisateurs d'appareils mobiles.

Ils lisent régulièrement et s'avèrent être des clients intéressants et très engagés sur le contenu. Du fait de l'utilisation mobile relativement récente, les prévisions du secteur sont incapables de préciser les schémas d'utilisation au-delà d'une hausse. Cependant, maintenant que la moitié des adultes américains se connectent au Web par un appareil mobile, le feed-back sur la façon dont ce nouveau canal influence les utilisateurs devient plus pertinent. Si les activités mobiles populaires sont les e-mails et les achats, des recherches récentes montrent que, désormais, les appareils mobiles déterminent en grande part la façon dont les utilisateurs de smartphones et tablettes accèdent aux nouvelles. Une consommation multiplateforme Outre ces taux élevés de consommation d'informations générales, les utilisateurs d'appareils s'avèrent également être des utilisateurs fréquents. Développement mobile : web ou natif ? Retours sur les enjeux. Web, natif ou hybride ?

Quelle stratégie adopter pour son application mobile ? Différents experts, réunis autour d'une table ronde organisée à l'occasion du salon Solutions Linux, débattaient mercredi du sujet. Trois scénarios de développement sont envisageables pour la conception d'applications mobiles. La programmation native propose de faire usage des langages spécifiques à chaque système d'exploitation, tels que l'Objective-C pour iOS, Java sur Android ou C# sur Windows Phone.

La multiplication des forfaits de data a également donné naissance aux services web mobiles codés en HTML et pour lesquels le mobinaute devra pointer son navigateur mobile vers une URL spécifique. Il existe enfin les applications hybrides développées majoritairement en HTML mais au sein desquelles la partie native se différenciera selon les plateformes ciblées, par exemple pour accéder à l'appareil photo ou à la puce GPS. Les applications « full web » Plusieurs problèmes sont cependant posés. Apple vient défier Google et Microsoft sur le terrain de la cartographie et de la géolocalisation. Plus d'un Français sur trois est équipé d'un smartphone. Plus du tiers des Français sont équipés d'un smartphone et près d'un quart des adeptes de ces téléphones intelligents connectables à internet se sépareraient plus facilement de leur téléviseur que de leur portable, selon une étude réalisée par Ipsos pour Google. D'après le premier volet de l'enquête, menée sur un échantillon représentatif et publiée lundi, 38% de la population française détient aujourd'hui un smartphone, contre 27% il y a un an.

Ipsos a ensuite réalisé une enquête en ligne auprès d'un panel de 1.000 possesseurs de smartphones, interrogés sur internet au cours du premier trimestre 2012. Plus de la moitié (57%) des détenteurs de smartphones disent l'avoir utilisé tous les jours lors des sept derniers jours et 23% affirment qu'ils préfèreraient abandonner leur télévision plutôt que leur appareil. Selon cette étude, l'objet communicant prend une telle importance dans la vie des utilisateurs que 77% d'entre eux disent ne jamais sortir de chez eux sans leur smartphone. Mobiles : les services de géolocalisation prennent de l'ampleur.