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Des chercheurs détectent les homosexuels sur Facebook. La protection de la vie privée interdit-elle de deviner l'orientation sexuelle d'un internaute à partir de ses réseaux sociaux ? La question éthique devra nécessairement se poser puisque, si l'on en croit des chercheurs du MIT, il serait possible de détecter l'homosexualité d'un internaute en étudiant son réseau d'amis sur Facebook. Dites-moi qui sont vos amis et je vous dirai qui vous êtes. De plus en plus d’internautes comprennent aujourd’hui qu’il n’est pas dans leur intérêt, notamment professionnel, de trop afficher d’éléments personnels sur leur profil Facebook. Nous avons largement couvert par le passé le fait que les employeurs sont aujourd’hui nombreux à examiner les profils des candidats sur les réseaux sociaux avant de prendre leur décision. Chacun prend progressivement conscience que les réseaux sociaux sont un endroit public, où il fait bon contrôler l’image que l’on donne de soi.

Une idée contre-intuitive si l’on pense que l’on est entre soi, entre amis. Effrayant. Facebook sait où vous passez votre lune de miel (MàJ) Mise à jour : Facebook nous a contacté pour nous préciser que l'étude n'est pas basée sur la géolocalisation des connexions, comme nous l'avions compris à tort par une erreur de traduction de notre part, mais sur les "check-ins", c'est-à-dire les modifications de statut opérées pour signaler une position géographique. C'est donc en croisant deux événements proches déclarés par les membres, un mariage puis un "check-in", que Facebook devine où la lune de miel a été passée. Facebook a publié jeudi soir des statistiques compilées par son "équipe des données", qui établissent un classement des destinations favorites de lune de miel pour les jeunes couples mariés. Elles montrent que toute population mondiale confondue, c'est aux Etats-Unis (et surtout à Las Vegas) que les amoureux se rendent le plus souvent, suivis par le Mexique, la République Dominicaine, la Jamaïque, la Turquie, Sainte Lucie et le Brésil.

Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules. Facebook a provoqué de vives réactions en révélant dans une revue scientifique qu'il avait mené en 2012 une expérience de manipulation mentale auprès de 683 003 utilisateurs du réseau social. Pendant une semaine, Facebook a augmenté ou diminué le nombre des messages à connotation positive ou négative lus par ses membres dans leur fil d'actualité, et analysé l'effet que ces modifications provoquaient.

Le site de Mark Zuckerberg voulait vérifier une théorie selon laquelle il existe une forme de viralité des émotions, et que le fait de voir des gens heureux nous rend heureux, même si on ne leur parle pas directement. Ou inversement, que de voir des gens tristes ou en colère rend triste ou en colère. "Lorsque les expressions positives ont été réduites, les gens ont produit moins de messages positifs et davantage de messages négatifs ; quand les expressions négatives ont été réduites, le schéma opposé s'est produit. Un pouvoir de manipulation politique. Facebook: la mémoire cachée. L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !»

«Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social. Ce que personne ne semble savoir, en revanche, c'est que le monstre est dépourvu de système digestif. Il se contente de stocker les données, toujours plus de données, sans jamais en effacer aucune. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes.

«Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. . - Même son de cloche du côté des «événements». Après Apple et Google, Facebook se penche aussi sur notre santé. C'est une information donnée à Reuters par «trois personnes familières du sujet», qui ont souhaité garder l'anonymat dans la mesure où le projet «est toujours en développement». Facebook serait sur le point de se lancer dans le secteur de la santé. La société réfléchirait au lancement de «"communautés de soutien" qui connecteraient les utilisateurs de Facebook souffrant de différents maux», explique Reuters, mais aussi à des «applications "de soins préventifs" qui aideraient les gens à améliorer leurs modes de vie».

Toujours selon l'agence de presse britannique, Facebook aurait multiplié les réunions avec des experts et des entrepreneurs de l'industrie médicale, et serait même en train de mettre sur pied une équipe de «recherche et développement pour tester de nouvelles apps de santé». Facebook rejoindrait donc le train en marche, déjà bien occupé par ses deux principaux concurrents: Google et Apple.

Découvrez le RPG Facebook ou jeu de rôle textuel sur Facebook. Google+ et Facebook exigent votre vrai nom. Google a fait une semi-concession aux utilisateurs de son réseau social Google+. Alors qu'il leur est interdit d'utiliser un pseudonyme pour s'inscrire, le géant de l'Internet a rappelé qu'il existe un champ "autres noms" que l'utilisateur peut remplir à sa guise avec un pseudonyme, un nom de jeune fille, ou simplement une orthographe différente lorsque la traduction de son vrai nom est complexe.

Cette mise au point, accompagnée de consignes pour créer son profil, fait suite à la levée de boucliers des nouveaux inscrits au réseau (ouvert il y a quelques semaines en test), dont des milliers de profils ont été suspendus à la suite de contrôles. Officiellement, Google explique que cette contrainte est destinée à éviter les noms absurdes, du type B3L@rt, Dieu, "et parfois bien pire". Mais il s'agit évidemment aussi de connecter un profil utilisateur (données personnelles) à un profil marketing (statistiques d'utilisation, sites visités, goûts, etc.), vendu à prix d'or aux annonceurs. Facebook va assouplir ses règles sur l'identité "réelle" de ses abonnés. 02 Oct. 2014, 10h18 | MAJ : 02 Oct. 2014, 10h18 Le réseau social basé en Californie (ouest) s'est excusé pour sa politique en la matière, alors qu'une manifestation était prévue jeudi à San Francisco, conduite notamment par des homosexuels et des transsexuels.

A l'issue d'une réunion avec des responsables de Facebook, des représentants de ces minorités ont affirmé avoir trouvé une solution acceptable. "L'esprit de notre politique est que chacun sur Facebook utilise le nom qu'il utilise dans la vraie vie", a souligné un responsable Facebook Chris Cox. "Pour soeur Roma, c'est soeur Roma, pour Lil Miss Hot Mess, c'est Lil Miss Hot Mess", a-t-il ajouté faisant référence aux noms de scène de drag queens. "Je veux présenter mes excuses à la communauté des drag queens et kings, des transgenres, et le groupe plus large de nos amis, de nos voisins, et des membres de la communauté LGBT pour les souffrances endurées", a affirmé M.

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