Axe 3 : e-sidoc. 14e festival de l’art numérique d’Athènes. Hakanaï | Andrien M & Claire B 25.05.2018, 22h00-22h40 | Mégaron-Palais de la Musique d’Athènes, Banquet Hall Le festival d’art numérique le plus reconnu en Grèce - Athens Digital Arts Festival - invite pour sa 14e édition la compagnie française d’avant-garde, Andrien M & Claire B, qui présentera une performance pour une danseuse sous le titre Hakanaï.
Dans la langue japonaise, Hakanaï définit ce qui est temporaire, fragile, évanescent, transitoire, entre le rêve et la réalité. Mot très ancien, il évoque une matière insaisissable associée à la condition humaine et à sa précarité, mais associée aussi à la nature. Il s’écrit en conjuguant deux éléments, celui qui désigne l’homme et celui qui désigne le songe. Les images sont animées en direct, selon des modèles physiques de mouvement, au rythme d’une création sonore également interprétée en direct. Plus d’informations : www.2018.adaf.gr. L’art digital, au-delà du rêve - Madame Figaro. Logiciel, algorithme, data, réalité virtuelle, intelligence artificielle, réseaux sociaux : à l’heure des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), le jargon du geek doit être apprivoisé pour appréhender ce que certains appellent aussi le « média art ».
Les artistes se sont emparés de cette boîte à outils aux potentialités infinies pour renouveler leur écriture. Si cette démarche reste pour vous une abstraction totale, commencez par l’exposition du centre Pompidou Coder le monde, qui décrypte cette rencontre entre les artistes et les nouvelles technologies, notamment l’utilisation et la création de programmes informatiques, les fameux, pour donner naissance à des œuvres. L’artiste japonais Ryoji Ikeda y propose deux installations associées pour la première fois afin de présenter le projet Continuum (1). Quand le numérique bouscule l'art.
En 1844, le peintre anglais William Turner achevait l'un de ses plus beaux tableaux, Pluie, vapeur et vitesse : Le Grand Chemin de fer de l'Ouest.
Sur cette toile, aujourd'hui exposée à la National Gallery[1] de Londres, on y voit une locomotive lancée à pleine vitesse traversant un pont. Cette toile symbolisant la révolution industrielle du XIXe siècle déchaîna les plus vives critiques, tant au Royaume-Uni qu'en France. Ses pairs, y compris en France Eugène Delacroix, reprochant à l'artiste de faire l'éloge de la révolution industrielle en vantant les mérites de la vitesse. Projeté dans notre époque actuelle, Turner se serait sans doute essayé à l'art numérique pour représenter la révolution numérique que nous vivons.
Le titre de son œuvre, version 2016 ? Un nouveau regard sur l'art Simple médium ou nouvelle façon de voir le monde ? Pixel is not dead - Gymnastique. Dialogue entre Arts et Sciences: Une révolution numérique réussie! Lorsque l’on parle de transformation digitale appelée aussi transformation numérique, notre attention générale se porte sur les nouvelles technologies.
Elles engendrent de nouveaux usages et de nouvelles façons innovantes de communiquer, ce qui entraîne des évolutions comportementales profondes. A un tel point que le sujet en devient plus culturel que technologique, un véritable enjeu sociétal. Face à cela, bon nombre d’entre nous se sentent désorientés et dépassés, percevant l’inéluctabilité du digital comme une menace et non une opportunité. Inévitablement, amorcer le changement, c’est faire face à des inquiétudes et des résistances souvent les résultats de méconnaissances. Cette problématique se retrouve dans tous les secteurs y compris celui de l’Art. L'art à l'ère digitale - Une révolution dans l'expérience de l'art. En 1935, Walter Benjamin s’inquiétait de l’impact de la technologie sur l’art : la reproductibilité transformait selon lui l’essence de l’œuvre et par ricochet, la manière dont elle était perçue.
Avec l’essor du digital, il semblerait que le mouvement de transformation de l’art par la technologie ne cesse de s’accélérer. Mais alors que Benjamin avait une vision pessimiste de la transformation, soutenant que la technologie affaiblissait la puissance et l’aura de l’œuvre, on peut aujourd’hui voir dans le digital de nouvelles opportunités d’expérimentation artistique, et une occasion de démocratiser l’art en rendant l’accès aux œuvres plus facile. Avant d’entrer dans le sujet de la production artistique et de l’art digitalisé, ce premier article explore comment de nouvelles technologies permettent de diffuser l’art, de rendre son exposition plus interactive, ou encore de conserver le patrimoine qu’il représente. Les visites virtuelles de musées. Paris : une nouvelle salle d’art numérique dans une ancienne fonderie.
Admirer dans ses moindres pixels la reproduction numérique du fameux « Baiser » de Klimt, projeté sur 10 m de haut au son d'une musique enveloppante.
Ce sera possible dès le vendredi 13 avril prochain, date d'ouverture de « L'Atelier des Lumières », nous annonce en avant-première Culturespaces, à l'origine de ce centre d'art numérique actuellement en chantier au 38, rue Saint-Maur (XIe), à deux pas du métro Voltaire. Dans cette ancienne fonderie du XIXe siècle dont seront conservés divers éléments (lire encadré), l'opérateur privé proposera pour le prix d'une séance de cinéma des « expositions immersives monumentales », comme il le fait depuis cinq ans dans une carrière désaffectée des Baux-de-Provence (Bouches-de-Rhône). « Les projections occuperont tous les murs et le sol, soit 3 300 m2, détaille Bruno Monnier, président de Culturespaces.
. « L'Atelier des Lumières en chantier » La métamorphose d’une ancienne fonderie de 1835 Chiffres 400 000. 3 300 m2. 1 200. 12 à 13 €. 9 M€. Chiffres. Le saviez-vous ? : L'art numérique.