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HAITI

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Intempéries : Tomas atteint les côtes haïtiennes | International. Des scènes de chaos ont eu lieu dans certains camps, car plusieurs réfugiés craignent que les autorités ne se servent de la tempête comme prétexte à les expulser définitivement, explique Julie Marceau. La situation se détériore graduellement en Haïti, alors que les effets de la tempête tropicale Tomas se font sentir. La pluie s'intensifie et de fortes rafales balaient le sud du pays. Selon les autorités, la tempête a déjà causé la mort d'une personne qui tentait de traverser une rivière en crue. Selon le coordonnateur des affaires humanitaires de l'ONU, Nigel Fisher, la tempête tropicale pourrait inonder des zones habitées entières où vivent plusieurs centaines de milliers de personnes. Au moins 1,5 million d'habitants des zones côtières à faible altitude sont menacés, selon M.

L'arrivée de cette tempête inquiète d'autant plus les autorités du pays qui sont aux prises avec une épidémie de choléra et de nombreuses infrastructures détruites par le tremblement de terre de janvier dernier. Global Voices en Français » Russie-Haïti : Un officier russe d’I. Youri Firsov Jusqu'à récemment, la blogosphère russe croyait n'avoir aucune couverture directe en russe de la situation à Haïti. Aucun blogueur russe ne semblait avoir été témoin du séisme. Puis les blogueurs ont découvert le blog de Youri Firsov [en russe], un officier russe d'Interpol en poste à Haïti. Youri Firsov est l'un des huit Russes en poste au sein de la police criminelle de l'ONU(Interpol) dans ce pays.

Comme fonctionnaire de l'ONU, il se déplace d'un endroit à l'autre et trouve de temps à autre le temps de publier ses impressions sur son blog. Firsov est arrivé en Haïti au début du mois de décembre 2009, comme il l'a relaté de façon détaillée sur son blog. Son deuxième billet depuis Haïti a été publié le 14 janvier, deux jours après le premier séisme. 12 janvier 2010 A peu près vers 16h45 … J'ai eu l'impression que ma Nissan (j'étais au volant) avait soudain perdu le contrôle, et j'ai eu l'impression de rouler sur une grille métallique. A 9h30, nous étions à Cité Soleil. The fault line in Haiti runs straight to France | Ben Macintyre. C'est la faute à Paris | Presseurop. [Alors qu'Haïti est confrontée à l’une des plus graves catastrophes de son histoire, certains se demandent :] à qui la faute ? Pour les géologues, c’est la faille qui sépare les plaques tectoniques des Caraïbes et d’Amérique du Nord qui est responsable.

Pour d’autres, ce séisme est un signe de la colère de Dieu. Certains esprits plus éclairés pointent du doigt une succession de tyrans qui ont pillé les richesses de l’île pendant des années. Mais pour bon nombre d’Haïtiens, la faute remonte à plus de 200 ans, au colonisateur français. Au 18ème siècle, Haïti était le joyau de la couronne impériale française, la "Perle des Antilles" et le premier exportateur mondial de sucre. Ses esclaves étaient particulièrement maltraités dans les plantations, même pour les critères de l’époque. Ils mourraient à un tel rythme que la France a parfois dû importer quelque 50 000 esclaves par an pour maintenir sa main d’œuvre et ses profits. L’Etat haïtien est donc pratiquement né en faillite. Think like a squatter. As this New York Times article makes clear, many who were previously not squatters now are and will be for for the foreseeable future in the Haitian capital of Port-au-Prince.

And its not just residents like Ginette Lemazor and her family, who, the article notes, live "in a flimsy structure fashioned from plastic sheeting and salvaged wood. They have a bed — “Please, make yourself at home,” she said, pointing to it — and a chair. " Schools are operating under tarps. Impromptu latrines are so full that people are invading half-wrecked houses to use their toilets. And one thought unites everyone: the government doesn't communicate (except to falsely promise supplies) and is doing nothing.

Indeed, in a recent interview, President René Préval, rather than speaking about rebuilding, promised there would be more earthquakes. There's hope, however, in the words and actions of this man: