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Internet addiction disorder - causes, DSM, functioning, therapy, drug, person, people, used. Photo by: Giuseppe Parisi Definition Internet addiction disorder refers to the problematic use of the Internet, including the various aspects of its technology, such as electronic mail (e-mail) and the World Wide Web. The reader should note that Internet addiction disorder is not listed in the mental health professional's handbook, the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders , fourth edition, text revision (2000), which is also called the DSM . Internet addiction has, however, been formally recognized as a disorder by the American Psychological Association.

Description In some respects, addictive use of the Internet resembles other so-called "process" addictions, in which a person is addicted to an activity or behavior (including gambling, shopping, or certain sexual behaviors) rather than a substance (mood-altering drugs, tobacco, food, etc.). Causes and symptoms Causes (Oleg Nikishin/Getty Images. Example, a person might "surf the Web" to escape family conflict. Note Internet Addiction. Home | psych.org. Note APA. Jeux de rôle en ligne, une addiction à risque. 20 septembre 2011 Face à l’augmentation de l’offre des jeux en ligne, jeux vidéo ou jeux d’argent, les phénomènes d’addiction suscitent des inquiétudes.

Le jeu problématique voire pathologique a même été intégré au plan de prise en charge et de prévention des addictions du ministère de la santé (2007-2011). Etant donnée la durée passé en ligne, les jeux en réseau sont particulièrement visés. Lorsque le joueur se déconnecte, la partie continue à tourner et il manque des événements. Repérer les situations à risque Le jeu mondialement connu World of Warcraft réunit à lui seul 11, 5 millions de joueurs dans son monde virtuel. Pour cela, les chercheurs ont recruté 448 adultes volontaires sur des sites communautaires de jeux et les ont soumis à un questionnaire.

Des conséquences nombreuses et une qualité de vie altérée Les résultats montrent que parmi les répondeurs, 27,5 % peuvent être considérés comme dépendants. Bientôt des marqueurs de vulnérabilité ? Source Achab et coll. Site de l’INSERM.