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EADS devient officiellement Airbus et réaffirme ses ambitions. Le groupe d'aéronautique et de défense EADS, qui a publié des résultats en forte progression pour le deuxième trimestre et supérieurs aux attentes des analystes, a annoncé officiellement une réorganisation et l'adoption du nom d'Airbus, des informations qui circulaient depuis déjà quelque temps.

EADS devient officiellement Airbus et réaffirme ses ambitions

Neuf mois après l'échec du projet de grand mariage qu'il avait négocié avec le britannique BAE Systems pour détrôner Boeing, Tom Enders, le patron d'EADS, réorganise en profondeur le numéro un européen de la défense et de l'aéronautique. Le projet, qui a été soumis au conseil d'administration, comporte une mesure hautement symbolique : un changement de nom. Comme France Télécom vient de se rebaptiser Orange, EADS envisage d'abandonner son nom historique pour prendre celui de sa principale filiale, Airbus. Lire aussi : "Entreprises, marques : changer de nom pour changer d'image ?

" Au fil des années, l'acronyme EADS a fini par acquérir une certaine notoriété. EADS prêt à se renommer... Airbus. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Denis Cosnard Neuf mois après l'échec du projet de grand mariage qu'il avait négocié avec le britannique BAE Systems pour détrôner Boeing, Tom Enders, le patron d'EADS, se prépare à réorganiser en profondeur le numéro un européen de la défense et de l'aéronautique.

EADS prêt à se renommer... Airbus

Objectif : gagner en efficacité même si le groupe doit rester dans son périmètre actuel. Un projet en ce sens sera soumis au conseil d'administration prévu mardi 30 juillet. Les décisions devraient être annoncées dès le lendemain, en même temps que la publication des comptes semestriels, selon plusieurs sources proches du dossier. Mesure la plus symbolique : un changement de nom. EADS rachète 1,95 % de son capital à Daimler. Le constructeur aéronautique et de défense européen EADS a annoncé mercredi avoir racheté 1,95 % de son capital pour un montant de 600 millions d'euros auprès du groupe automobile allemand Daimler, qui a achevé de céder sa participation dans l'entreprise.

EADS rachète 1,95 % de son capital à Daimler

Cette opération s'inscrit dans le cadre d'un programme de rachat d'actions d'un montant maximum de 3,75 milliards d'euros sur 18 mois reflétant la généreuse trésorerie du groupe et avalisé par le conseil d'administration d'EADS début avril. Daimler avait annoncé mardi la mise en vente des dernières parts qu'il détenait dans EADS, soit 7,5 %. PARIS : Arnaud Lagardère tourne la page de la défense ouverte par son père. Lagardère, ex Matra-Hachette, dirigée depuis 2003 par le fils unique de son fondateur, a liquidé jusqu'au dernier les 61 millions titres EADS, cessant de facto d'être un conglomérat pour devenir un groupe diversifié dans les médias.

PARIS : Arnaud Lagardère tourne la page de la défense ouverte par son père

En se retirant du constructeur aéronautique européen sans attendre comme prévu initialement le premier vol commercial du futur long-courrier A350 l'an prochain, l'héritier de Jean-Luc Lagardère a précipité la fin d'une aventure industrielle débutée par son père avec Matra, en 1977. Les analystes estiment majoritairement que cette sortie d'EADS, qui pour certains s'apparente à une recapitalisation, donne à la société un "potentiel de revalorisation", d'autant plus important qu'elle va l'ancrer dans son activité Médias et lui permettre de se désendetter. Barclays se montre plus prudent toutefois sur cette "nouvelle page" dans l'histoire de Lagardère et sur ses capacités de revalorisation, estimant que le groupe "est plutôt correctement valorisé".

Par. EADS veut s'affranchir des Etats actionnaires pour mieux conquérir le monde. EADS, le fabricant d'Airbus, de missiles et d'hélicoptères vient d'opérer sa mue de groupe contrôlé par trois Etats européens en société normale, libre de poursuivre ses ambitions mondiales.

EADS veut s'affranchir des Etats actionnaires pour mieux conquérir le monde

Une assemblée générale extraordinaire des actionnaires de cette société de droit néerlandais a approuvé à Amsterdam une réforme de la gouvernance du groupe, décidée en décembre dernier en accord avec les trois Etats - France, Allemagne, Espagne - qui l'avaient porté sur les fonts baptismaux en 2000. La nouvelle gouvernance dissout un pacte d'actionnaires compliqué qui permettait aux gouvernements de décider des nominations des directeurs et de peser sur les décisions stratégiques du groupe. EADS transfère 191 postes à Toulouse. Le groupe d'aéronautique et de défense EADS a annoncé mardi qu'il regroupait comme prévu à Toulouse ses fonctions de direction partagées entre Paris et Munich, transférant 191 postes.

EADS transfère 191 postes à Toulouse

Le nouvelle organisation a pris effet le 1er avril après accord des comités d'entreprise en France et en Allemagne, a annoncé le groupe dans un communiqué. "Dans le cadre de cette réorganisation, un total de 116 postes actuellement basés à Paris et 75 à Munich seront transférés à Toulouse, indique le texte. "A terme, plus de 500 postes (...) seront basés de façon permanente à Toulouse.

Pourquoi EADS a racheté une partie de ses actions à Lagardère. Lagardère est définitivement sorti d'EADS ce mardi et Tom Enders a tenu parole.

Pourquoi EADS a racheté une partie de ses actions à Lagardère

Lors de l'assemblée générale d'EADS, le 28 mars dernier, à Amsterdam, le président exécutif avait tenu à rassurer les actionnaires sur le programme de rachat d'actions de l'entreprise, qui devait permettre aux deux industriels présents au capital (Lagardère et Daimler) de se retirer au plus vite. Et ce en essayant d'éviter que ces délestages massifs de titres ne pèsent trop sur le cours de bourse. Car la raison première est bien de soutenir l'action du groupe.

Anne Lauvergeon et le crime de l’Orient-EADS. L'échec de la nomination d’Anne Lauvergeon à la présidence d’EADS fait un peu penser au roman d’Agatha Christie, Le Crime de l’Orient-Express.

Anne Lauvergeon et le crime de l’Orient-EADS

La victime a été poignardée non pas par un, mais par plusieurs assassins, qui avaient tous une bonne raison de lui en vouloir. Le pari de François Hollande, de vouloir placer l’ex-sherpa de François Mitterrand à la tête du conseil d’administration du groupe d’aéronautique et de défense, s’est finalement révélé trop ambitieux. Trop d’obstacles, trop d’ennemis, trop de cadavres dans les placards. Obnubilé par sa volonté de trouver un point de chute à l’ancienne patronne d’Areva, le pouvoir politique n’a pas anticipé que les parachutages n’étaient plus de saison chez EADS. Tout le beau travail du patron exécutif du groupe, Tom Enders, consistant à protéger l’entreprise d’actionnaires publics un peu trop envahissants, risquait d’être mis à mal par un énième fait du prince.

Signaler ce contenu comme inapproprié. Report en vue pour la fusion d'EADS et de BAE. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Guy Dutheil, Dominique Gallois et Frédéric Lemaître (à Berlin) EADS ne devrait pas s'en tenir à la date butoir du 10 octobre, imposée par la réglementation britannique, pour boucler son projet de méga-fusion avec le groupe de défense BAE Systems.

Report en vue pour la fusion d'EADS et de BAE

"Je pense que nous aurons besoin de plus temps", a reconnu, jeudi 27 septembre, Thomas de Maizière, ministre allemand de la défense, à l'issue d'une réunion à Nicosie (Chypre), avec ses homologues français et britannique. EADS/BAE  : Pas de tempête politique en Grande-Bretagne finalement. Comment EADS-BAE compte rassurer le Pentagone. EADS-BAE : Berlin prêt à rentrer au capital pour maintenir la parité avec la France. EADS-BAE : ce que l'Allemagne veut, et ne veut pas. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Lemaître - Berlin Correspondant Dans un rapport remis lundi 24 septembre à la commission des affaires économiques du Bundestag, le ministère allemand de l'économie affiche ses réserves – voire son hostilité – au projet de fusion entre les deux acteurs européens de l'aéronautique et de la défense, EADS et le britannique BAE.

EADS-BAE : ce que l'Allemagne veut, et ne veut pas

Le ministère souligne que les garanties sur le maintien des sites de production d'EADS ne sont pas assez fermes. Il considère aussi que les valorisations respectives d'EADS et de BAE devraient conduire les actionnaires du premier à détenir 70 % du futur groupe et non 60 % comme évoqué par le projet. Fusion EADS-BAE : réunion tripartite entre Berlin, Paris et Londres cette semaine. Les ministres de la défense allemand, britannique et français se réuniront cette semaine à Chypre pour discuter du projet de fusion entre EADS et BAE Sytems, rapporte lundi 24 septembre l'AFP, citant le conseiller du ministre français. "Une première discussion tripartite au niveau des ministres de la défense aura lieu à Chypre sur le dossier EADS/BAE mercredi ou jeudi", a-t-il déclaré, précisant que cette rencontre se tiendrait à l'occasion de la réunion informelle des ministres de la défense. "Jean-Yves Le Drian avait prévu d'être présent à cette réunion informelle des ministres de la défense de l'Union européenne à Chypre.

Après des discussions qu'il a eues avec certains de ses homologues, il réunira autour de lui son homologue britannique, Philip Hammond, et allemand, Thomas de Maizière, à Chypre", a-t-il ajouté. Cette annonce intervient après que le premier ministre britannique, David Cameron, s'est entretenu avec le président français, François Hollande, lundi matin. Les doutes de l'Allemagne sur la fusion EADS-BEA Systems. Le gouvernement allemand a de sérieux doutes sur le projet de fusion entre le groupe européen EADS et le britannique BAE, notamment concernant les garanties de maintien des sites, selon un rapport du ministère allemand de l'économie obtenu lundi 24 septembre.

Berlin critique notamment le fait qu'EADS, la maison-mère d'Airbus, ne détiendrait que 60 % du nouveau groupe en cas de fusion, selon ce rapport rédigé pour la commission des affaires économiques du Bundestag, la chambre des députés, et dont l'AFP a eu copie. Les garanties concernant le maintien des sites de production ne sont pas assez fermes, selon la même source, et les droits de veto des pays participants sont limités. En outre, l'achat prévu de la part du groupe Daimler dans EADS, via la banque publique allemande Kfw, va être rendu beaucoup plus difficile, voire retardé, selon les doutes énumérés dans ce rapport. Fusion EADS-BAE : entre déclarations et intentions, où en est la partie de poker ?

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le La partie de poker qui se joue à propos de la fusion entre les groupes européen EADS et britannique BAE Systems entre dans une phase critique à l'approche de la date butoir du 10 octobre. D'un côté, les entreprises parties prenantes, de l'autre, les Etats (dont l'un est actionnaire, la France) et, dernier côté du triangle, les actionnaires principaux (Lagardère et Daimler d'un côté, le fonds Invesco de l'autre). La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont encore quarante-huit heures pour tenter de s'entendre sur l'actionnariat des Etats dans le futur n° 1 mondial de l'aéronautique et de la défense, ce qui permettrait aux deux groupes de demander un report afin de boucler les modalités de l'opération. Cette opération accoucherait d'un champion européen, présent sur pratiquement tous les marchés de la planète, loin devant l'américain Boeing.

Problème, les "joueurs" en présence ont des intérêts divergents. Le premier actionnaire de BAE sceptique face à la fusion avec EADS. La société d’investissement Invesco Perpetual, premier actionnaire du groupe de défense britannique BAE Systems avec 13,3% du capital, a fait part lundi de «réserves significatives» concernant le projet de fusion avec le groupe européen EADS. «Invesco ne comprend pas la logique stratégique du rapprochement qui est proposé», indique le fonds dans un communiqué. Il pense en particulier qu’une fusion avec la maison mère d’Airbus remettrait en cause l’accès privilégié de BAE au marché de la défense américain et s’inquiète de la présence des Etats - Allemagne et France - au capital.

Le ministre britannique de la Défense Philip Hammond (photo Reuters) Fusion EADS/BAE : Londres menace d'un veto. La société d'investissements Invesco Perpetual, premier actionnaire du groupe de défense britannique BAE Systems avec 13,3 % du capital, a fait part lundi 8 octobre de "réserves significatives" concernant le projet de fusion avec le groupe européen EADS. La France, qui détient 15 % du capital d'EADS, veut y rester, ce qui lui donnera 9 % des actions de la nouvelle entité. L'Allemagne, qui n'est pas directement actionnaire d'EADS, insiste sur la parité avec la France. "Invesco ne comprend pas la logique stratégique du rapprochement qui est proposé", indique le fonds dans un communiqué. EADS : Paris et Berlin auront chacun 12 % des droits de vote. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le. EADS modifie sa gouvernance. Lagardère : 2 milliards de plus-value en sortant d’EADS.

La fusion EADS-BAE dans l'impasse ? EADS dément. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Les négociations sur une fusion des groupes d'aéronautique et de défense EADS et BAE Systems seraient dans l'impasse en raison d'un désaccord entre l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne sur leur présence au capital, a appris l'AFP vendredi 5 octobre. L'Allemagne entend monter au capital de la future société au même niveau que la France, soit 9 %. La Grande-Bretagne accepterait à condition que la France s'engage à ne pas acquérir les parts que le groupe de médias français Lagardère a l'intention de vendre à moyen terme, mais Paris s'y refuserait.

"Les Français disent : nous n'avons pas l'intention de racheter les parts de Lagardère mais nous ne vous donnerons pas une garantie écrite", a déclaré une source proche des négociations. Et si EADS-BAE se sentait au-dessus des lois. La fusion entre le géant aéronautique européen EADS et le groupe de défense britannique BAE Systems, actuellement en discussion, poserait une menace en termes de lutte contre la corruption, souligne un rapport, publié jeudi 4 octobre, par Transparency International UK. "L’ensemble fusionné, qui impliquerait trois gouvernements, serait énorme et pourrait se sentir au-dessus des lois, un peu comme les banques.

Fusion EADS-BAE : Lagardère demande un réexamen du projet. Fusion EADS/BAE : "Une occasion à saisir et non une nécessité" Pourquoi EADS et BAE veulent convoler, Dossier. EADS-BAE : «Une union parfaite», selon Enders. BAE ready to quit deal if US ties at risk. Fusion mit BAE: Frankreich will EADS-Anteile behalten - Industrie - Unternehmen. Flash Eco : EADS-BAE: multiplication des obstacles. Fusion EADS-BAE Systems : les Britanniques inquiets de l'avenir de leur relation avec les Etats-Unis.

Aides illégales à Boeing: les Etats-Unis montrent patte blanche. Aux Etats-Unis, le département du Commerce (USTR) a fait savoir dimanche dans un communiqué que Boeing ne recevait plus les subventions que l'Organisation mondiale du commerce (OMC) avait jugées illégales. EADS: les quatre défis qui attendent Thomas Enders. • Réussir le grand rééquilibrage dans la défense. Aéronautique : l’Europe veut créer un géant face à Boeing. La fusion EADS-BAE doit convaincre les États. BAE-EADS : questions pour une fusion géante. Airbus va assembler des A320 NEO à Tianjin après une commade de 50 avions.

Corruption en Arabie saoudite: les responsables d'EADS étaient-ils au courant? - (Navigation privée)

Industrie terre

Thales. EADS : il faut sauver le soldat Enders. Pourquoi Angela Merkel a bloqué le projet EADS-BAE. EADS et BAE attendent le feu vert de Berlin. EADS-BAE et le provincialisme de Mme Merkel. EADS-BAE : Berlin ne veut pas assumer seul l'échec, Pourquoi EADS et BAE veulent convoler. EADS-BAE : L'Allemagne accusée de toute part d'avoir tué les négociations, Pourquoi EADS et BAE veulent convoler. EADS-BAE : pourquoi l'Allemagne a dit non, Analyses de la rédaction. EADS et BAE renoncent à leur projet de mariage. EADS et BAE annoncent l'échec des discussions sur leur fusion. EADS-BAE : Paris et Londres s'accordent sur la participation des Etats.